Pas MOOC, la connexion est trop zombifiquement instable
Notre première bavasserie sera ceci :
Il faut donc savoir reconnaître des sons d'apparence parfaitement vivante, naturelle, dans le son en boîte.
L'écoute live on pratique ça chacun très quotidiennement depuis notre an 0, notre jour 1 et notre minute 1 car vous n'êtes pas sans oublier que l'on baigne dans un environnement où les corps physiques vibrent à leur manière non électronique et nous tissent un bréviaire des corps naturels vibrant de manière naturelle
Car bien que nous n'ayons la finesse d'oreille de l'animal qui en dépend pour sa survie au jour le jour, notre ouïe a aussi servi et sert à l'espèce humaine pour différencier le péril du tranquille, le voisin du coquin, etc......il faut donc que ce soit un organe de première bourre associé à un réseau neuronal sophistiqué....d'ailleurs n'a-t-on pas du mal à réaliser des micros aussi fins qu'une oreille, n'est-ce pas Ajmars ?
Ce préambule pour conclure que si l'on y fait un peu attention, on sait reconnaître avec peu de risque d'erreur un son naturel d'un son frelaté même un tout petit peu par de l'électronique ou des membranes, et cela vaut également pour les fichiers ou vinyles pourris que l'on s'offre
et pour cela je ne suis pas sûr du tout que l'expérience de musique live soit même nécessaire
Donc amha, on peut reconnaître la transparence d'une reproduction à partir de notre expérience commune de la vie ordinaire depuis tout petit.
et si ce n'est pas assez transparent, justement ça paraît non naturel, non réel, trop monotone acoustiquement parlant par rapport à ce que la vie offre, et parfois semble mort
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shushu le 02 Avr 2023 à 19:56, édité 1 fois.