Il fallait forcément s'y attendre, les légendes de nos sixties adorées vont tirer leur révérence les unes après les autres maintenant.
Les sixties, on peut les aimer sans les avoir vécues. Mais les avoir vécues, cela laisse dans sa vie une marque indélébile, comme un élément fondateur. La musique alors était la bande-son nécessaire, partie intégrante de nos bouleversements et de note libération.
Les Pretty Things, et leur iconique chanteur, Phil May, font partie de ma légende. Ils font désormais partie, pour l'éternité, de la pépinière des groupes anglais plus ou moins connus qui, à côté des Stones et des Beatles, ont construit cette histoire.
Phil May vient de décéder à l'âge de 75 ans.
Je vous laisse avec le beau portrait de Télérama :
https://www.telerama.fr/musique/mort-de ... 1589628443"Come see me" me faisait, à l'époque, un effet de dingue !