JS Bach: les Sonates violon/clavecin prodigieuses de.....

[ERISSIM]

Bonsoir,

Si vous ne connaissez pas ces pièces dans la version de Victoria Mullova et Ottavio Dantone parue chez Onyxclassics en 2007 (2 CD réf:ONYX 4020) ne vous posez pas de question.
C'est prodigieux!! je n'en dirai pas plus, tout le reste serait superfétatoire.

Je ne recommande pas souvent des versions, mais là !!!, vous pouvez y aller les yeux fermés et les oreilles grandes ouvertes.....
Le charmante et discrète Victoria Mullova a gravé en compagnie d'Ottavio Dantone, sans nul doute l'une des toutes premières versions , pour ne pas dire "LA" version de référence, de ces pièces de JS Bach

Cdlt,

Erissim


PS: Enregistrement découvert grâce à Clodomire du bleu, je ne le remercierai jamais assez.

Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.

[Kaneda]

On le trouve sur Quobuz. La couverture est verte ce qui ne ressort pas vraiment sur la photo que tu as jointe  

[ERISSIM]

Effectivement, la photo (repiquée  sur Amazon ) ne reflète pas trop la réalité des couleurs !
Cela ne change en rien le contenu des CD !...qui n'a pas l'air de déchaîner les commentaires !...
Peut-être les "classiques" du vert, en sont-ils tous déjà équipé, auquel cas......!

cdlt
Erissim

[fedup]

Je ne connais pas la version dont tu parles, mais un ami m'a passé celle-ci... et je me régale !  

[ERISSIM]

Bonsoir,

Pour disposer de nombreux enregistrements du Café Zimmermann (ils ont fait l'intrégrale de la musique instrumentale de JS Bach chez Alpha) j'imagine assez bien ce que peut donner la version de Valetti/Frisch.

On doit être assez loin de Mullova/Dantone et matière d'interprétation V. Mullova joue un violon Guadagnini de 1756, et je ne connais pas celui de Valetti !.......
donc,

il faut (au moins!) les deux !  

[Pseudo]

Bonsoir,

Si vous ne connaissez pas ces pièces dans la version de Victoria Mullova et Ottavio Dantone parue chez Onyxclassics en 2007 (2 CD réf:ONYX 4020) ne vous posez pas de question.

Mullova est venue tardivement au violon "d'époque". Elle a certes fait recorder son Guadagnini, mais sa technique reste marquée par le violon "moderne". Le son reste assez "grand", elle n'est pas baroque.

Dans Beethoven, avec Bejuydenhout, la dimension artistique l'emporte, et j'apprécie beaucoup le résultat. Pas dans Bach, désolé.

Quant à Frisch et Valetti, ils sont admirables d'inventivité et de fluidité dans les concertos par Café Zimmermann récemment réunis en un coffret irrésistible. Mais les sonates sont autrement construites, et là aussi, je reste sur ma faim.

CT

[ERISSIM]

Dans Beethoven, avec Bejuydenhout, la dimension artistique l'emporte, et j'apprécie beaucoup le résultat. Pas dans Bach, désolé.

Je ne connais pas le "Beethoven" de Bezuidenhout, mais j'ai écouté attentivement son 3ème Mozart (2 sonates KV332 et 333, la Fantaisie K396) que j'ai trouvé admirable.
Et justement, j'ai trouvé en Bezuidenhout chez Mozart ce que j'ai retrouvé en Mullova chez Bach!. Ce coté ou "tout coule de source", pas d’affèterie, un équilibre, une couleur, une éloquence!. Pour résumer, une vision pure, instinctive, une séduction qui me ravit pour ces pièces qui comptent parmi les plus abouties de la composition pour le violon.

erissim

[Pseudo]

Je pensais à ces sonates (No 3 et Kreutzer):

Pour les sonates de Bach, je reste fidèle à Kuijken/Leonhardt (en LP si possible!).