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Diggers factory, des archives de l'ina aux vinyles

24 Avr 2022 à 11:26

Présent sur discogs, Diggers Factory semble s'inscrire dans le marché de niche du vinyle.
Lors de sa création, Diggers Factory est parti à la recherche de nouveaux catalogues à éditer. « L’INA a tout de suite répondu présent » affirme Cyril Roux. Trois références (des enregistrements live de Gainsbourg, Dalida et Ray Charles) ont ainsi vu le jour dans une collection baptisée 33 tours avec l’INA. Dans un premier temps, les ventes étaient destinées aux fans. Aujourd’hui, un large circuit de distribution a été développé. On retrouve ainsi les disques de l’INA aussi bien en Corée du Sud, aux Etats-Unis, en Australie, qu’en Espagne ou au Portugal. Pour limiter son emprunte carbone, Diggers Factory travaille principalement avec deux usines de presse françaises. Une démarche « made in France » chère à la start-up.

https://www.ina.fr/actualites-ina/disquaire-day-des-vinyles-ina-a-forte-valeur-historique

https://www.discogs.com/fr/label/1277275-Diggers-Factory

https://www.diggersfactory.com/fr

Re: Diggers factory, des archives de l'ina aux vinyles

24 Avr 2022 à 14:09

Je reçois la newsletter de Digger Factory depuis que je leur ai acheté un vinyl de Robin McKelle.

Suite à la lecture de ton post, j’ai vérifié qu’il s’agissait bien de la même boîte tant j’avais du mal à associer le contenu de ton post avec celui de la newsletter mensuelle ainsi que des propositions qui y sont attachées.

Cette remarque ne se veut pas porter la qualité de leur production car de mémoire ce vinyl, le seul que j’ai de chez eux, est tout à fait correct, mais sur l’aspect éditorial.

Ton post m’a fait penser à des label tels que Mosaic, Sam Records, etc. ou encore Frémeaux & Associés en CD. La newsletter donne la sensation "d’arroser" très large et aussi d’une production conséquente. Ce point est d’ailleurs confirmé par le nombre de disques sur la page Discogs de ton lien.

Mais peut-être y a-t-il deux activités : une de production à tendance archéologique et une davantage de diffusion au catalogue très éclectique et constitué en grande partie de série limitée ?
Dernière édition par airV le 24 Avr 2022 à 14:18, édité 1 fois.

Re: Diggers factory, des archives de l'ina aux vinyles

24 Avr 2022 à 14:11

babaas » 24 Avr 2022, 10:26 a écrit:Présent sur discogs, Diggers Factory semble s'inscrire dans le marché de niche du vinyle.
Lors de sa création, Diggers Factory est parti à la recherche de nouveaux catalogues à éditer. « L’INA a tout de suite répondu présent » affirme Cyril Roux. Trois références (des enregistrements live de Gainsbourg, Dalida et Ray Charles) ont ainsi vu le jour dans une collection baptisée 33 tours avec l’INA. Dans un premier temps, les ventes étaient destinées aux fans. Aujourd’hui, un large circuit de distribution a été développé. On retrouve ainsi les disques de l’INA aussi bien en Corée du Sud, aux Etats-Unis, en Australie, qu’en Espagne ou au Portugal. Pour limiter son emprunte carbone, Diggers Factory travaille principalement avec deux usines de presse françaises. Une démarche « made in France » chère à la start-up.

https://www.ina.fr/actualites-ina/disquaire-day-des-vinyles-ina-a-forte-valeur-historique

https://www.discogs.com/fr/label/1277275-Diggers-Factory

https://www.diggersfactory.com/fr

Rien que leur patronyme pue .

-- 24 Avr 2022, 13:13 --

Ton post m’a fait penser à des label tels que Mosaic, Sam Records, etc. ou encore Frémeaux & Associés en CD.

En tirant par les cheveux ou les poils des oreilles .

Re: Diggers factory, des archives de l'ina aux vinyles

24 Avr 2022 à 14:25

PP_65 a écrit:
Rien que leur patronyme pue .

.


Alors ça c'est de l'argumentation !!

Re: Diggers factory, des archives de l'ina aux vinyles

24 Avr 2022 à 14:27

Tu veux que je développe sur la notion d'employer un terme anglo-saxon pour mettre un vernis de valorisation à une activité de mange merde ?

Re: Diggers factory, des archives de l'ina aux vinyles

24 Avr 2022 à 14:48

+1

Cliquez sur l'image pour l'agrandir


Je serais bien curieux de connaître les deux usines de pressage françaises…ça sent le MPO à cents mètres!

Re: Diggers factory, des archives de l'ina aux vinyles

24 Avr 2022 à 14:56

airV » 24 Avr 2022, 14:09 a écrit:Mais peut-être y a-t-il deux activités : une de production à tendance archéologique et une davantage de diffusion au catalogue très éclectique et constitué en grande partie de série limitée ?


Effectivement, c'est possible.
En fait, je suis tombé dessus par hasard en surfant sur le site de l'INA. Et le travail commun me semblait intéressant.


PP_65 » 24 Avr 2022, 14:27 a écrit:Tu veux que je développe sur la notion d'employer un terme anglo-saxon pour mettre un vernis de valorisation à une activité de mange merde ?


Une activité de mange merde ?
Chacun appréciera.

Re: Diggers factory, des archives de l'ina aux vinyles

24 Avr 2022 à 15:02

PP a raison. Rien que leur nom, leur postulat de départ et ce qu’ils proposent sur leur site est éloquent.

Re: Diggers factory, des archives de l'ina aux vinyles

24 Avr 2022 à 15:04

Comment qualifier l'activité qui consiste à fouiller des bacs dans le but de trouver , non pas un disque important jamais réédité , mais un exemplaire d'un vinyle qui cote vendu par quelqu'un qui en ignore la valeur marchande ? Comment qualifier cette ignorance et paresse esthétique crasses qui consiste à valoriser le CD qui s'use sous prétexte que l'objet a/aurait plus de valeur marchande ?

Re: Diggers factory, des archives de l'ina aux vinyles

24 Avr 2022 à 17:32

Le mot digger peut designer un archeologue, pas seulement un chercheur d'or.

Re: Diggers factory, des archives de l'ina aux vinyles

24 Avr 2022 à 17:47

L'archéogalvanoplastie est une discipline encore balbultiante. Celle des chercheurs d'or l'est déjà beaucoup moins.

Re: Diggers factory, des archives de l'ina aux vinyles

24 Avr 2022 à 17:54

babaas » 24 Avr 2022, 13:56 a écrit:Effectivement, c'est possible.
En fait, je suis tombé dessus par hasard en surfant sur le site de l'INA. Et le travail commun me semblait intéressant.


Je suis tombé également par hasard il y a quelque temps.
Comme je l’ai écrit plus haut c’était suite à l’achat d’un album de Robin McKelle en vinyl.
J’en avais eu connaissance par mailing de la part de la chanteuse qui en faisait la promo et commandé sur son site. Dans cette présentation on pouvait penser que Digger Factory était un "fabricant", et peut-être l’était-il pour cet album en particulier.

En fait depuis que je suis abonné à cette newsletter je ne suis pas certain d’avoir compris qu’elles étaient les activités exactes de Digger Factory. J’ai toutefois l’impression qu’elles sont multiples.

Mais j’avoue que très rapidement j’ai consulté cette newsletter que d’une manière très sommaire, en me disant par ailleurs que j’allais me désabonner.

Néanmoins je vais regarder d’un peu plus près ce travail conjoint avec l’INA dont tu parles.
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