Hey merci Axel... C'était un chouette moment en effet et je vois que ma passion pour la Clément et l'andouillette de M. Tomaselli de la Châtre est communicative (pas d'ordre préférentiel particulier pour les deux assertions précédentes...).
Quelques corrections hein... tout d'abord on a écouté qu'un seul disque d'opérette... Par contre on a beaucoup écouté Dietrich Fischer Dieskau chez Glück et Schubert... Un exemple ci-dessous...
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Pour moi ça ne manque pas de "précision", même bien au contraire : c'est surprenant pour l'époque. Là j'écoute des 7" des Platters et c'est bluffant.
Sur le jazz comme sur la magnifique reprise de Sentimental Mood de Shepp...
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Le vibraphone est parfaitement retranscrit et les différentes prises de sons du sax de d'Archie sont parfaitement intelligibles. C'est surprenant! Comme quoi la Clément peut faire aussi dans la finesse même si au final elle a une pêche surprenant qui s'explique certainement par une certaine forme de générosité dans le bas... (un peu comme les beautés de l'époque? ) Mais comme tu l'as fait remarquée : la dynamique est monstrueuse et j'ajouterai que les timbres (et tout particulièrement des voix) sont assourdissant de réalisme.
Te souviens-tu aussi de l'enregistrement de Monk à Paris... qui tirait beaucoup sur l'aigu? J'ai l'impression que mes nouveaux réglages ont réglé pour parti ce problème.
Prochaine étape? Une boite à équalisations multiples pour me permettre d'avoir plus de flexibilités entre les divers types de gravures.
P.S. : tu as aimé mon étage phono made in maison? :D