Version vinyle

[tribal.one]

   

Elle pose ces doigts sur le vinyle malheureux!!!  

[JérômeB]

Une blonde ...
Cela dit, n'étant pas de vinyle, je pourrais me laisser faire.  

[tribal.one]

Une blonde ...
Cela dit, n'étant pas de vinyle, je pourrais me laisser faire.  

For sure....

[Prisme71]

Une blonde ...
Cela dit, n'étant pas de vinyle, je pourrais me laisser faire.  :wink:

Et là plus personne ne s'invective sur la version ou le pressage !!!
Comme quoi une simple image peut fédérer  

[tambour]

bonjour,

je prend le train en route, j'ai visité machinalement un disquaire ce matin, pas mal achalandé,
il faut le dire, et en vinyl beaucoup de ces re-éditions en 180 grammes. y'a de tout.
mais que valent ces disques un peu épais?

[PP_65]

Je pense qu'il y a de tout indépendamment de la nature des sources (numériques ou analogiques) ; c'est impossible d'énoncer une règle générale à mon avis .

[JérômeB]

bonjour,

je prend le train en route, j'ai visité machinalement un disquaire ce matin, pas mal achalandé,
il faut le dire, et en vinyl beaucoup de ces re-éditions en 180 grammes. y'a de tout.
mais que valent ces disques un peu épais?

Comme pour le reste, la taille ne fait pas la différence.
(Parole de blonde qui met ses doigts partout).

[David Tépoch]

Là, je dois avouer que c'est la grande classe !
Et puis c'est beau un patron qui va au charbon pour faire remonter l'audience...

[JérômeB]

Contre de la soudure en argent, tu as tes chances ...

[daniel67]

je viens de lire les 4 pages.....et bein bravo....    

[MAZZONI]

Ne sois pas découragé ; tu y trouveras quand même quelques pistes de vinyles AAA récents, de rééditions de qualité, ainsi que de système économique pour les écouter.
Il y a eu bien pire ici en termes de passage en vrille d’un sujet ...

[lemario]

+1 avec les deux dernières interventions. Et j'ajoute, choisi toi un bon disquaire en qui tu as confiance, et te guidera dans tes choix pour l'essentiel.

[Gism]

A l'occasion du dernier Disquaire Day, on s'est fait (avec Gism) 7 ou 8 disquaires. Et au moins autant de bières (il faisait chaud).
Depuis la disparition de Rémi (Analog Collector) c'est la première fois que je sillonnais à cette occasion les échoppes parisiennes vinylesques.

On y voit de tout, et on y entend de tout.
Jusqu'à proposer l'écoute d'un disque qu'un client demandait à écouter, depuis les fichiers MP3 correspondants sur PC. Oui, j'ai vu ça !

J'ai acheté une petite dizaine de disques.
Des Ré-éditions. Certaines médiocres, d'autres bonnes.
Des pressages originaux. Certains bons, d'autres médiocres.

Bref, il faut parfois payer pour (sa)voir ...


PS. J'ai dévoré les disques que tu m'as vendus. Ils sont superbes à tous points de vue !  :wink:

Oui, c'est toujours un peu la loterie quand on achète des disques chez un disquaire. Même si on peut écouter, généralement le système d'écoute fonctionne avec un charrue et ne permet pas de se faire une vraie idée du son. Ainsi, le Nina Simone EO (soit-disant)  Silk & Soul était très décevant était très décevant (surtout après avoir payé 50 euros pour l'acquérir).

Je m'en doutais un peu. En effet, j'ai développé une sorte de sixième sens qui me permet d'anticiper la qualité sonore d'un disque à partir de son apparence et celle de sa pochette.

En effet, les disques qui sonnent le mieux, c'est à dire, en gros, ceux édités entre 1956 et 1966, ont aussi des pochettes magnifiques avec des couleurs que les procédés d'impression actuels n'arrivent plus à reproduire.

D'ailleurs, j'avais un doute pour le Nina Simone. Pochette un peu trop brillante à mon goût (les pochettes aux couleurs mates ou satinées sont un meilleur prédicateur de qualité sonore) et à la réflexion l'étiquette aurait du me faire douter. En effet, elle ressemble à ça (avec les textes en Français) :

Cliquez sur l'image pour l'agrandir

Alors que la tronche de l'étiquette qui annonce le bonheur dans mon inconscient audiophile ressemble plutôt à ça :

Cliquez sur l'image pour l'agrandir

J'ai, lors de cette virée vinylique avec Jérome, également acheté un Yves Montand qui, pour le coup cochait toutes les cases en termes d'apparence. More Yves Montand chez Columbia Records.

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La pochette est d'un carton solide sans trace de rabat sur la partie arrière et donne une grande impression de solidité. Les couleurs sont très douces et nuancées, avec une teinte et une subtilité que les procédés actuels ne rêvent même plus d'approcher. Le disque par son épaisseur et sa rigidité, et le luxe de la dorure de son étiquette renforce ce sentiment que l'achat va s'avérer judicieux.

Et l'écoute est à la hauteur de l'attente. J'ai en particulier découvert le morceau les Amants, que je passe désormaisen boucle, et dont la version numérique ne donne qu'une misérable idée de sa richesse poétique, mélodique, harmonique et émotionnelle.

[PP_65]

Et bien, pour un soit-disant spécialiste , tu t'es fait avoir comme un bleu : pressage espagnol de 72 à la place d'un US de 67 . Si tu n'avais pas découvert le vinyle après le CD , tu saurais que les différences entres les pressages du pays d'origine et les autres peuvent réserver de mauvaises surprises ; les raisons sont davanatge à chercher dans tout ce qui touche au mastering que dans le pressage en lui même .
Et un disque sonne bien surtout à cause de son contenu musicial et de la façon dont il a été capté puis monté , ça ne c'est pas arrêté en 66 .

[Gism]

Et bien, pour un soit-disant spécialiste , tu t'es fait avoir comme un bleu : pressage espagnol de 72 à la place d'un US de 67 . Si tu n'avais pas découvert le vinyle après le CD , tu saurais que les différences entres les pressages du pays d'origine et les autres peuvent réserver de mauvaises surprises ; les raisons sont davanatge à chercher dans tout ce qui touche au mastering que dans le pressage en lui même .
Et un disque sonne bien surtout à cause de son contenu musicial et de la façon dont il a été capté puis monté , ça ne c'est pas arrêté en 66 .

La photo du label en espagnol n'est pas celle de mon disque. J'ai pris ce que j'ai trouvé sur discogs. Le disque m'a été vendu comme une EO Française. Mais Discogs montre un label différent du mien sur cette EO. Donc, dans tous les cas, je me suis fait avoir. j'aurai du me fier à mon intuition.

Sinon, je vois que les années passent et que tu ne changes pas. Tu es toujours aussi con !

[NAFI]

Les couleurs sont très douces et nuancées, avec une teinte et une subtilité que les procédés actuels ne rêvent même plus d'approcher. Le disque par son épaisseur et sa rigidité, et le luxe de la dorure de son étiquette renforce ce sentiment que l'achat va s'avérer judicieux.

Ce n'est pas du domaine du sixième sens mais de celui de la vision tout simplement.
Et la vision ça influe, le luxe, la dorure, tiens ça me rappelle quelque chose.
L'ouïe, remet heureusement les pendules à l'heure…

… et PP aussi

JP

[Gism]

Ce n'est pas du domaine du sixième sens mais de celui de la vision tout simplement.
Et la vision ça influe, le luxe, la dorure, tiens ça me rappelle quelque chose.
L'ouïe, remet heureusement les pendules à l'heure…

… et PP aussi

JP

Je n'ai pas compris un traitre mot de ton message.

[PP_65]

La photo du label en espagnol n'est pas celle de mon disque. J'ai pris ce que j'ai trouvé sur discogs. Le disque m'a été vendu comme une EO Française. Mais Discogs montre un label différent du mien sur cette EO. Donc, dans tous les cas, je me suis fait avoir. j'aurai du me fier à mon intuition.

Sinon, je vois que les années passent et que tu ne changes pas. Tu es toujours aussi con !

Il faudrait savoir qui est le plus con, tu proposes des éléments qui ne sont pas en rapport avec les faits ; bref,  tu restes un bleu élevé aux K7 de disco écoutées dans une caisse passée chez un Kéké du tuning de l'auto-radio . Et dans le fond il n'y a rien de changé sur la nature des différences sonores entre les pressages , le fait d'avoir des copies de copies  des bandes masters, le fait d'avoir un travail de mastering  non contrôlé par le muscien /producteur d'origine sont plus à même de faire entendre des différences que l'usine et l'année où est pressée le disque .

[Gism]

Il faudrait savoir qui est le plus con, tu proposes des éléments qui ne sont pas en rapport avec les faits ; bref,  tu restes un bleu élevé aux K7 de disco écoutées dans une caisse passée chez un Kéké du tuning de l'auto-radio . Et dans le fond il n'y a rien de changé sur la nature des différences sonores entre les pressages , le fait d'avoir des copies de copies  des bandes masters, le fait d'avoir un travail de mastering  non contrôlé par le muscien /producteur d'origine sont plus à même de faire entendre des différences que l'usine et l'année où est pressée le disque .

Mais qu'est-ce que tu y connais à l'audiophilie ?

Réponds d'abord à cette question : est-ce que tu es audiophile ?

[woodix]

Oui, c'est toujours un peu la loterie quand on achète des disques chez un disquaire. Même si on peut écouter, généralement le système d'écoute fonctionne avec un charrue et ne permet pas de se faire une vraie idée du son. Ainsi, le Nina Simone EO (soit-disant)  Silk & Soul était très décevant était très décevant (surtout après avoir payé 50 euros pour l'acquérir).

Je m'en doutais un peu. En effet, j'ai développé une sorte de sixième sens qui me permet d'anticiper la qualité sonore d'un disque à partir de son apparence et celle de sa pochette.

En effet, les disques qui sonnent le mieux, c'est à dire, en gros, ceux édités entre 1956 et 1966, ont aussi des pochettes magnifiques avec des couleurs que les procédés d'impression actuels n'arrivent plus à reproduire.

D'ailleurs, j'avais un doute pour le Nina Simone. Pochette un peu trop brillante à mon goût (les pochettes aux couleurs mates ou satinées sont un meilleur prédicateur de qualité sonore) et à la réflexion l'étiquette aurait du me faire douter. En effet, elle ressemble à ça (avec les textes en Français) :

[ Image ]

Alors que la tronche de l'étiquette qui annonce le bonheur dans mon inconscient audiophile ressemble plutôt à ça :

[ Image ]

J'ai, lors de cette virée vinylique avec Jérome, également acheté un Yves Montand qui, pour le coup cochait toutes les cases en termes d'apparence. More Yves Montand chez Columbia Records.

[ Image ]

La pochette est d'un carton solide sans trace de rabat sur la partie arrière et donne une grande impression de solidité. Les couleurs sont très douces et nuancées, avec une teinte et une subtilité que les procédés actuels ne rêvent même plus d'approcher. Le disque par son épaisseur et sa rigidité, et le luxe de la dorure de son étiquette renforce ce sentiment que l'achat va s'avérer judicieux.

Et l'écoute est à la hauteur de l'attente. J'ai en particulier découvert le morceau les Amants, que je passe désormaisen boucle, et dont la version numérique ne donne qu'une misérable idée de sa richesse poétique, mélodique, harmonique et émotionnelle.

[ Vidéo ]