Les rencontres d’arles 2021
Vos photos, mes photos, celles de Monique, ...
Les rencontres d’arles 2021
#1 par airV » 01 Sep 2021 à 09:58
Après l’annulation de l’année dernière, cette reprise des Rencontres, associée à une nouvelle direction était très attendue.
Comme pratiquement tous les ans, j’ai eu l’occasion de m’y rendre, avec toutefois moins d’expos vues cette fois du fait de quartiers d’été réduits de moitié cette saison. Les venues en Arles sont passées de 4 - 5 à 2. J’ai néanmoins pu voir une bonne dizaine d’expositions.
Peut-être est-ce dû en partie à la situation d’attente qui fait que l’on projette souhaits et espérance, mais j’ai trouvé que cette édition était la moins passionnante de toutes celles que j’ai vues jusqu’à présent. Si de très belles expositions sont toujours présentées, la philosophie générale qui caractérisait les Rencontres comme une vitrine de la photographie contemporaine qui s’ancrait dans l’histoire de la photo semble s’être sinon envolée, tout au moins fortement diminuée. Un avis bien sûr relativisé par la vue partielle que j’ai eue de ces Rencontres.
De ce que j’ai vu et selon un avis librement subjectif :
Au Palais de l’Archevêché : la rétrospective consacrée aux photos de portraits de Pieter Hugo est sans nul doute la meilleure exposition. Une de celles qui rappellent l’époque où François Hebel dirigeait les Rencontres.
J’ai beaucoup aimé également celle, collective, qui se tenait à l’église des Trinitaires : Thawra ! Révolution ! Soudan, Histoire d’un soulèvement. Comme son titre l’indique elle retrace la récente révolution soudanaise ayant entraîné la chute d’Omar el-Bechir. Là encore une superbe exposition. De type collective, elle regroupe photographes amateurs et professionnels, regroupés dans une scénographie sophistiquée qui met à la fois en valeur le travail de chacun et la cohérence de ces différents regards.
Cette année, un nouveau lieu était ouvert : le musée Arlaten. C’est là qu’était présentée la rétrospective Sabine Weiss. À en juger par la queue des visiteurs qui patientaient avant d’entrer, il n’est pas impossible que ce soit la plus visitée des Rencontres. Ce qui est parfaitement justifié, vu que Sabine Weiss est une grande dame de la photographie. J’ai bien sûr beaucoup aimé également bien que je n’affectionne pas particulièrement la street. Et, pour conserver un œil critique face au travail d’une des plus grandes photographes, il y a une série de photos que je n’ai pas trop appréciée. Je suis toujours mal à l’aise avec le côté voyeur que parfois revêt la photographie. Mais, comme je disais en préambule, un avis hautement subjectif, car les personnes avec qui je visitais n’ont pas eu la même impression.
Généralement, je prends un grand plaisir aux expositions présentées à l’Espace Van Gogh. J’ai trouvé celle sur l’Orient Express inintéressante au possible, à l’exception d’une petite série de photos prises par le photographe d’une revue, dont le nom m’échappe, et de quelques affiches illustrées.
Il n’est pas rare que celles qui sont présentées au cloitre Saint-Trophime soient davantage des expériences plasticiennes qui interrogent le média photographique, tout au moins dans la salle qui accueille la Résidence BMW. C’était encore le cas cette année et j’ai trouvé interessant le travail que la lauréate Almudena Romero effectuait sur le pigment et le procédé photographique. La salle du haut peut, selon les éditions abriter une exposition photographique classique comme ce fut le cas avec les photos des statues déboulonnées de Lénine en 2017, ou être de type plus conceptuel comme cette année avec Blue Skies d’Anton Kusters sur le traumatisme et l’oubli. Un travail qui m’a évoqué le mémorial de Pingusson.
The New Black Vanguard installé à l’église Sainte-Anne est l’une des expos les plus médiatisées de ces Rencontres. Il s’agit là aussi d’une exposition collective. Elle est consacrée à la photographie de personnes noires par des jeunes photographes noirs dans le monde de la mode. Une exposition qui oscille entre le glamour et le sociologique avec certaines photos plastiquement superbes. Si j’ai bien aimé cette exposition, mon fiston un peu moins, et cela nous a valu une discussion un peu animée lors du déjeuner sur les aspects que peut revêtir le post colonialisme dans l’art et le politique.
Le site des ateliers s’est profondément métamorphosé, et de ne pas l’avoir vu depuis 2 ans rend cette mutation encore plus visible. Il est aujourd’hui un parc qui commence à être arboré avec des installations permanentes et le souhait que ce site devienne un lieu de promenade pour les arlésiens est manifeste. On est loin de la friche industrielle des anciens ateliers de la SNCF où on errait entre les bâtiments étourdis par la chaleur. Toutefois, avec cette conversion on a perdu un grand nombre de bâtiments et avec eux, de fait, un grand nombre d’expositions puisque la quasi-totalité des ateliers servait de lieux d’accrochage pour les rencontres. Il en reste quelques-uns dont celui de Mécanique Générale (l’un des plus notoires) qui accueille cette année : Masculinité. Une « grosse » exposition dans ce qui était généralement la tradition de celles présentées aux ateliers. Des expositions collectives regroupées autour d’un thème. Celui de cette année est assez faible pour être réellement fédérateur et cette exposition est très inégale et bien souvent rébarbative. Certes les célèbres portraits »politiques » de Richard Avedon y sont montrés, mais ils l’avaient déjà été il y a peu à l’Espace Van Gogh et dans un accrochage autrement intéressant. Les autoportraits de Talibans retrouvés dans l’arrière-boutique d’un photographe font partie des belles choses présentées.
Comme pratiquement tous les ans, j’ai eu l’occasion de m’y rendre, avec toutefois moins d’expos vues cette fois du fait de quartiers d’été réduits de moitié cette saison. Les venues en Arles sont passées de 4 - 5 à 2. J’ai néanmoins pu voir une bonne dizaine d’expositions.
Peut-être est-ce dû en partie à la situation d’attente qui fait que l’on projette souhaits et espérance, mais j’ai trouvé que cette édition était la moins passionnante de toutes celles que j’ai vues jusqu’à présent. Si de très belles expositions sont toujours présentées, la philosophie générale qui caractérisait les Rencontres comme une vitrine de la photographie contemporaine qui s’ancrait dans l’histoire de la photo semble s’être sinon envolée, tout au moins fortement diminuée. Un avis bien sûr relativisé par la vue partielle que j’ai eue de ces Rencontres.
De ce que j’ai vu et selon un avis librement subjectif :
Au Palais de l’Archevêché : la rétrospective consacrée aux photos de portraits de Pieter Hugo est sans nul doute la meilleure exposition. Une de celles qui rappellent l’époque où François Hebel dirigeait les Rencontres.
J’ai beaucoup aimé également celle, collective, qui se tenait à l’église des Trinitaires : Thawra ! Révolution ! Soudan, Histoire d’un soulèvement. Comme son titre l’indique elle retrace la récente révolution soudanaise ayant entraîné la chute d’Omar el-Bechir. Là encore une superbe exposition. De type collective, elle regroupe photographes amateurs et professionnels, regroupés dans une scénographie sophistiquée qui met à la fois en valeur le travail de chacun et la cohérence de ces différents regards.
Cette année, un nouveau lieu était ouvert : le musée Arlaten. C’est là qu’était présentée la rétrospective Sabine Weiss. À en juger par la queue des visiteurs qui patientaient avant d’entrer, il n’est pas impossible que ce soit la plus visitée des Rencontres. Ce qui est parfaitement justifié, vu que Sabine Weiss est une grande dame de la photographie. J’ai bien sûr beaucoup aimé également bien que je n’affectionne pas particulièrement la street. Et, pour conserver un œil critique face au travail d’une des plus grandes photographes, il y a une série de photos que je n’ai pas trop appréciée. Je suis toujours mal à l’aise avec le côté voyeur que parfois revêt la photographie. Mais, comme je disais en préambule, un avis hautement subjectif, car les personnes avec qui je visitais n’ont pas eu la même impression.
Généralement, je prends un grand plaisir aux expositions présentées à l’Espace Van Gogh. J’ai trouvé celle sur l’Orient Express inintéressante au possible, à l’exception d’une petite série de photos prises par le photographe d’une revue, dont le nom m’échappe, et de quelques affiches illustrées.
Il n’est pas rare que celles qui sont présentées au cloitre Saint-Trophime soient davantage des expériences plasticiennes qui interrogent le média photographique, tout au moins dans la salle qui accueille la Résidence BMW. C’était encore le cas cette année et j’ai trouvé interessant le travail que la lauréate Almudena Romero effectuait sur le pigment et le procédé photographique. La salle du haut peut, selon les éditions abriter une exposition photographique classique comme ce fut le cas avec les photos des statues déboulonnées de Lénine en 2017, ou être de type plus conceptuel comme cette année avec Blue Skies d’Anton Kusters sur le traumatisme et l’oubli. Un travail qui m’a évoqué le mémorial de Pingusson.
The New Black Vanguard installé à l’église Sainte-Anne est l’une des expos les plus médiatisées de ces Rencontres. Il s’agit là aussi d’une exposition collective. Elle est consacrée à la photographie de personnes noires par des jeunes photographes noirs dans le monde de la mode. Une exposition qui oscille entre le glamour et le sociologique avec certaines photos plastiquement superbes. Si j’ai bien aimé cette exposition, mon fiston un peu moins, et cela nous a valu une discussion un peu animée lors du déjeuner sur les aspects que peut revêtir le post colonialisme dans l’art et le politique.
Le site des ateliers s’est profondément métamorphosé, et de ne pas l’avoir vu depuis 2 ans rend cette mutation encore plus visible. Il est aujourd’hui un parc qui commence à être arboré avec des installations permanentes et le souhait que ce site devienne un lieu de promenade pour les arlésiens est manifeste. On est loin de la friche industrielle des anciens ateliers de la SNCF où on errait entre les bâtiments étourdis par la chaleur. Toutefois, avec cette conversion on a perdu un grand nombre de bâtiments et avec eux, de fait, un grand nombre d’expositions puisque la quasi-totalité des ateliers servait de lieux d’accrochage pour les rencontres. Il en reste quelques-uns dont celui de Mécanique Générale (l’un des plus notoires) qui accueille cette année : Masculinité. Une « grosse » exposition dans ce qui était généralement la tradition de celles présentées aux ateliers. Des expositions collectives regroupées autour d’un thème. Celui de cette année est assez faible pour être réellement fédérateur et cette exposition est très inégale et bien souvent rébarbative. Certes les célèbres portraits »politiques » de Richard Avedon y sont montrés, mais ils l’avaient déjà été il y a peu à l’Espace Van Gogh et dans un accrochage autrement intéressant. Les autoportraits de Talibans retrouvés dans l’arrière-boutique d’un photographe font partie des belles choses présentées.
Dernière édition par airV le 01 Sep 2021 à 10:10, édité 1 fois.
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Re: Les rencontres d’arles 2021
#2 par jeanpascalg » 01 Sep 2021 à 10:09
airV a écrit:Après l’annulation de l’année dernière, cette reprise des Rencontres, associée à une nouvelle direction était très attendue.
Ton avis est intéressant mais sans photos illustrant ton propos c'est un peu abstrait.
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Re: Les rencontres d’arles 2021
#3 par airV » 01 Sep 2021 à 10:22
jeanpascalg a écrit:Ton avis est intéressant mais sans photos illustrant ton propos c'est un peu abstrait.
Je ne fais pas de photos type documentaire des expos, et même je ne photographie quasiment plus dans les expositions. J’ai du faire 2 ou 3 photos que je n’ai pas encore produites, ni même éditées.
Ce que l’on fait sur un film, à savoir formuler un avis subjectif, sans l’illustrer de quelques moment peut aussi se concevoir pour une exposition.
De toute façon quelques photos resteraient une vue très partielle de ces expositions. Même le catalogue officiel n’arrive à en rendre compte.
Les articles d’expo des revues sont parfois accompagnée d’une image (pas toujours) mais c’est davantage au titre d’une illustration que pour rendre compte de l’exposition.
En revanche j’ai mis les références de ce dont je parle et je pense que tu devrais facilement trouver des images qui s’y rapportent sur le net
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Re: Les rencontres d’arles 2021
#4 par JérômeB » 01 Sep 2021 à 11:40
Plus que la photographie de rue en générale, de mon point de vue, c'est plutôt une façon de la pratiquer qui peut la faire dévier vers une forme de voyeurisme.
Le travail de Sabine Weiss est plutôt documentaire et c'est davantage un témoignage (précieux) de la condition humaine d'après-guerre, que du voyeurisme.
A mon avis ...
Le travail de Sabine Weiss est plutôt documentaire et c'est davantage un témoignage (précieux) de la condition humaine d'après-guerre, que du voyeurisme.
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Re: Les rencontres d’arles 2021
#5 par airV » 02 Sep 2021 à 08:48
A propos du voyeurisme je n’ai parlé que d’une série dans l’expo, et absolument pas de la totalité du travail.
Il s’agit de celle sur le cimetière des chiens.
J’ai également écrit que cela était éminemment personnel et précisé que les personnes qui m’accompagnaient n’avaient pas du tout ressenti ce malaise (nous étions 4). Mon fiston n’était même pas du tout d’accord avec moi.
Je ne suis pas fan de la street mais pour plusieurs raisons, ce qui ne signifie pas non plus que je n’apprécie pas le travail de certains photographes qui travaillent dans ce genre.
Il s’agit de celle sur le cimetière des chiens.
J’ai également écrit que cela était éminemment personnel et précisé que les personnes qui m’accompagnaient n’avaient pas du tout ressenti ce malaise (nous étions 4). Mon fiston n’était même pas du tout d’accord avec moi.
Je ne suis pas fan de la street mais pour plusieurs raisons, ce qui ne signifie pas non plus que je n’apprécie pas le travail de certains photographes qui travaillent dans ce genre.
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Re: Les rencontres d’arles 2021
#6 par JérômeB » 02 Sep 2021 à 08:51
airV a écrit:A propos du voyeurisme je n’ai parlé que d’une série dans l’expo, et absolument pas de la totalité du travail.
Il s’agit de celle sur le cimetière des chiens.
J’ai également écrit que cela était éminemment personnel et précisé que les personnes qui m’accompagnaient n’avaient pas du tout ressenti ce malaise (nous étions 4). Mon fiston n’était même pas du tout d’accord avec moi.
Je ne suis pas fan de la street mais pour plusieurs raisons, ce qui ne signifie pas non plus que je n’apprécie pas le travail de certains photographes qui travaillent dans ce genre.
En quoi la série sur le cimetière d'Asnières te paraît-elle relever du voyeurisme ?
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Re: Les rencontres d’arles 2021
#7 par airV » 02 Sep 2021 à 09:07
Il s’agit d’un ressenti qui est de l’ordre du malaise.
Si il faut expliquer davantage : je dirai que ce malaise est l’émotion que provoque chez moi cette série de photos. Il y a une intimité de la douleur et du recueillement dans ces photos qui est parfaitement saisie, du fait que Sabine Weiss est une excellente photographe et qui est donnée à voir à n’importe qui. C’est ce qui provoque ce malaise. Mais il s’agit de l’émotion provoquée par la série de photos qui est une soudaineté de mes sensations vis-à-vis de l’œuvre dans son rapport au lieu physique (la scénographie) et temporel. Peut-être que dans une autre expo, à un autre moment je pourrais avoir une autre émotion.
C’est d’ailleurs ce phénomène de cristallisation vis-à-vis de mon ressenti que je tentais de photographier dans ma série sur les expositions.
Si il faut expliquer davantage : je dirai que ce malaise est l’émotion que provoque chez moi cette série de photos. Il y a une intimité de la douleur et du recueillement dans ces photos qui est parfaitement saisie, du fait que Sabine Weiss est une excellente photographe et qui est donnée à voir à n’importe qui. C’est ce qui provoque ce malaise. Mais il s’agit de l’émotion provoquée par la série de photos qui est une soudaineté de mes sensations vis-à-vis de l’œuvre dans son rapport au lieu physique (la scénographie) et temporel. Peut-être que dans une autre expo, à un autre moment je pourrais avoir une autre émotion.
C’est d’ailleurs ce phénomène de cristallisation vis-à-vis de mon ressenti que je tentais de photographier dans ma série sur les expositions.
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Re: Les rencontres d’arles 2021
#8 par JérômeB » 02 Sep 2021 à 09:44
... et cela s'entend mieux encore quand on voit tes sujets photographiques (sans ironie).
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Re: Les rencontres d’arles 2021
#9 par airV » 14 Sep 2021 à 07:55
jeanpascalg » 01 Sep 2021, 09:09 a écrit:Ton avis est intéressant mais sans photos illustrant ton propos c'est un peu abstrait.
Comme je te l’écrivais un peu plus haut, je ne prends quasiment plus aujourd’hui de photos dans les expos, n’étant plus vraiment dans le même mood que lorsque j’avais constitué la série. Toutefois j’en prends de temps en temps. Je viens de commencer l’editing et la production des quelques photos faites aux Rencontres cet été.
Voici celle de l’expo Big Skies que j’évoquais dans le premier post.
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Re: Les rencontres d’arles 2021
#10 par 6gale13 » 14 Sep 2021 à 08:40
Merci pour ce beau compte rendu, airV.
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Re: Les rencontres d’arles 2021
#12 par airV » 18 Oct 2021 à 14:44
jeanpascalg » 01 Sep 2021, 09:09 a écrit:Ton avis est intéressant mais sans photos illustrant ton propos c'est un peu abstrait.
Je viens de produire une des photos prise dans l'exposition ÊTRE PRÉSENT de Pieter Hugo, présentée au palais de l’Archevêché.
Je la poste également dans ce fil pour illustrer

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