Audioclinique
28 Nov 2013 à 16:44
Je ne sais pas trop où poster ce msg. On va dire que ça ira ici...
Il me semble que nous avons tous (+ ou -) des enregistrements "références" à l'aune desquels nous jugeons de la qualité/des défauts de systèmes connus ou qui font l'objet d'une première écoute. Par enregistrement de référence, j'entends classiquement un enregistrement que l'on connait parfaitement et que l'on a eu l'occasion d'écouter sur des systèmes différents.
Bref. Avant-hier soir je fais une écoute d'un disque que plusieurs d'entre nous doivent posséder :
Je ne le connais pas sur le bout des pavillons (ça fait partie des disques que l'on a dans sa discothèque, parce qu'il faut les avoir, ou que l'on a achetés sur une impulsion et que l'on oublie un peu). L'idée est de cerner un peu mieux les caractéristiques du lecteur Sony ES acquis il y a peu. Assez rapidement je me désintéresse du lecteur et me laisse prendre par la musique. Comme d'habitude avec DFD, que l'on aime ou pas, il y a un engagement, une implication, un travail sur l'articulation du texte, assez bluffants même si un peu "scolaire". On peut ponctuellement préférer Wunderlich, Hotter, Goerne ou d'autres mais ça force le respect.
Et puis je me dis que malgré tous les défauts de mon système, qui m'agacent parfois terriblement, ça marche qd même pas mal. Ca monte joliment, ça descend qd il le faut, c'est en place, les instruments sont bien localisés, les couleurs de l'orchestre sont agréables, il y a de l'énergie. Sauf que : sur les passages où DFD pousse un peu la voix, ça devient dur et assez désagréable. Alors que l'orchestre qui continue de pousser de son côté sans contrainte audible ne présente pas cette dureté.
Question : ça vient d'où ? De l'enregistrement ? Du système ? Et dans ce dernier cas quelle pourrait en être l'explication la plus plausible ?.. En attendant de tester le CD sur une autre installation, j'ai une ou deux idées d'explication possible mais je serais curieux d'avoir des retours de ceux qui pratiquent ce disque...
Pascal
Il me semble que nous avons tous (+ ou -) des enregistrements "références" à l'aune desquels nous jugeons de la qualité/des défauts de systèmes connus ou qui font l'objet d'une première écoute. Par enregistrement de référence, j'entends classiquement un enregistrement que l'on connait parfaitement et que l'on a eu l'occasion d'écouter sur des systèmes différents.
Bref. Avant-hier soir je fais une écoute d'un disque que plusieurs d'entre nous doivent posséder :
Je ne le connais pas sur le bout des pavillons (ça fait partie des disques que l'on a dans sa discothèque, parce qu'il faut les avoir, ou que l'on a achetés sur une impulsion et que l'on oublie un peu). L'idée est de cerner un peu mieux les caractéristiques du lecteur Sony ES acquis il y a peu. Assez rapidement je me désintéresse du lecteur et me laisse prendre par la musique. Comme d'habitude avec DFD, que l'on aime ou pas, il y a un engagement, une implication, un travail sur l'articulation du texte, assez bluffants même si un peu "scolaire". On peut ponctuellement préférer Wunderlich, Hotter, Goerne ou d'autres mais ça force le respect.
Et puis je me dis que malgré tous les défauts de mon système, qui m'agacent parfois terriblement, ça marche qd même pas mal. Ca monte joliment, ça descend qd il le faut, c'est en place, les instruments sont bien localisés, les couleurs de l'orchestre sont agréables, il y a de l'énergie. Sauf que : sur les passages où DFD pousse un peu la voix, ça devient dur et assez désagréable. Alors que l'orchestre qui continue de pousser de son côté sans contrainte audible ne présente pas cette dureté.
Question : ça vient d'où ? De l'enregistrement ? Du système ? Et dans ce dernier cas quelle pourrait en être l'explication la plus plausible ?.. En attendant de tester le CD sur une autre installation, j'ai une ou deux idées d'explication possible mais je serais curieux d'avoir des retours de ceux qui pratiquent ce disque...
Pascal
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Re: Audioclinique
28 Nov 2013 à 16:57
Ça peut venir de l'enregistrement : j'ai un phénomène semblable sur un disque que j'aime beaucoup par ailleurs : le Stabat Mater de Pergolèse (le père Golese diraient certains 
), version Concerto Vocale, Sebastaina Hennig et René Jacobsn chez Harmonia Mundi, des stridences et duretés dans les aigus, voire même de légères distorsions, et c'est pas le système qui veut ça.
Kenavo
Philippe
), version Concerto Vocale, Sebastaina Hennig et René Jacobsn chez Harmonia Mundi, des stridences et duretés dans les aigus, voire même de légères distorsions, et c'est pas le système qui veut ça.Kenavo
Philippe
Re: Audioclinique
28 Nov 2013 à 17:52
Oui mais là ce n'est pas vraiment sur une bande de fréquence, c'est uniquement sur la voix qd elle monte en volume. Comme si le micro n'arrivait plus à "encaisser" le surcroit d'énergie émise.
Re: Audioclinique
28 Nov 2013 à 18:35
VOui voui, moi aussi, c'est pareil, juste sur la voix de Sébastien Hennig, quand elle monte dans les aigus extrèmes, je penserais aussi à un micro qui sature...
Kenavo
Philippe
Kenavo
Philippe
Re: Audioclinique
01 Déc 2013 à 20:58
Personne n'a ce disque ? Etonnant...
Re: Audioclinique
19 Déc 2013 à 18:42
..........
Dernière édition par zeroundemi le 06 Jan 2014 à 18:17, édité 1 fois.
Re: Audioclinique
19 Déc 2013 à 20:51
zeroundemi a écrit:Désolé pour cette réponse tardive
Pas de quoi, merci pour la réponse.
Entre temps j'ai été faire une écoute chez un vert (David Tépoch). Je vais essayer de prendre le temps de faire un rapide cr ce w-e...
J'avais amené le Mahler pour me faire une idée. C'était un peu moins "violent" que chez moi mais j'ai retrouvé ce déséquilibre entre l'orchestre et la voix dans les forte. Le coupable serait donc plutôt l'enregistrement (indépendamment des mesures de saturation).
P.