27 Nov 2013 à 15:34
07 Jan 2014 à 23:03
jeanpascalg » 24 Fév 2013, 14:33 a écrit:ce n'est pas la première fois que je les entends mais sur ses nouvelles électronique poppulse qui remplacent un perreaux c'est mieux surtout dans le grave.
Cette électronique classe D si petite par la taille sonne comme un petit ampli à tube, belle sonorité raffinée mais il ne faut pas écouter trop fort car dès que le message est complexe comme du mahler ou des choeurs d'opéra il n'y arrive plus.
La puissance serait de 90W mais à l'oreille ce serait plutôt 25w, l'audiolab 8000A lui est très supérieur et sa puissance est réellement de 50W mais dans les pointes de dynamique l'audiolab reste lisible sans agressivité.
Effectivement le mariage audiolab harbeth me rappelle que la même association fonctionne aussi très bien sur des monitor 30. Bien mieux que l'ampli étalon que l'on avait écouté avant.
les harbeth semblent bien fonctionner avec une électronique brittanique qui leur donne la vivacité qu'elles n'ont pas.
11 Jan 2014 à 00:19
pianistocrate » 24 Fév 2013, 17:19 a écrit:Ah la la, cette mode du revival !
La nouvelle Coccinelle, la nouvelle Mini, la nouvelle DS, la nouvelle 3/5, les nouveaux HP pour les 3/5 (voir le fil dédié)…
Qui d'entre vous a réellement pu écouter de vraies LS3/6 ?
Il s'en est vendu quelques paires en France ; et encore c'était un exploit !
Invendable, ce truc, avec son boomer qu'il fallait périodiquement retourner, parce que la suspension ne tenait pas (exactement le même problème que le médium des BC3), incapable de tenir la moindre puissance…
C'est d'ailleurs pour ça que Rogers a très rapidement remplacé la pièce originale par un HP de son crû et changé l'appellation. Il y a plein de docs sur cette évolution sur la toile.
Mais les authentiques 3/6, celles que j'ai pu entendre - et qui ne fonctionnaient vraiment bien qu'avec un ensemble Quad 2/22 (c'est vous dire la puissance qu'elles pouvaient encaisser…) - c'était, comment vous expliquer ? Fin comme les panneaux Quad (les vieux, les radiateurs), avec ce petit grain de matière en plus qui donnait du corps aux instruments et aux voix ; ça descendait plus bas et ça filait plus haut que les panneaux tout en étant parfaitement homogène, et ça vous donnait une scène magnifique. Une pure merveille, à condition d'écouter vraiment très très doucement.
Mais cette espèce d'idéal acoustique, n'est-ce pas le Graal de tous les constructeurs ? Il y a de belles enceintes qui tendent aujourd'hui vers ça, chez Spendor, chez Harbeth, et chez d'autres sans doute.
Je ne vois pas pourquoi Stirling ressuscite cette appellation de légende, d'autant qu'il avouent eux-mêmes ne pas pouvoir faire des écoutes comparatives sinon pour de vulgaires raisons mercantiles.
Ceci dit, il faudra bien sûr prêter une oreille attentive à leur production, et les comparer aux enceintes contemporaines se réclamant de la même tradition.
Mais de grâce, laissons aux enceintes de légende les auréoles de gloire de leurs noms passés.
11 Jan 2014 à 14:06
Dans les ls3/6 tu décris les bc1 qui fonctionnes au taquet.
11 Jan 2014 à 23:18
11 Jan 2014 à 23:37
on doit être dans la même proche famille.