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Aimons nous des qualités ou des défauts...

(JBL, VOT, Altec, Lansing, Klipsch, Charlin, Tannoy, Cabasse, Elipson...)

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Re: Aimons nous des qualités ou des défauts...

Message #21 par mambojet » 25 Déc 2019 à 11:11

Bruno D » 24 Déc 2019, 19:41 a écrit:Aucune comparaison en dehors du fait de brancher ou pas le "bidule vulgaire" sur mon installation, ce qui me pousse à conclure qu'une débauche de moyens sans une optimisation du local ou ses corrections relève davantage du snobisme, qui fait bien sûr partie de la panoplie de l'audiophile  :wink:

Mais on peut bien sûr prendre beaucoup de plaisir dans la valse des appareils couteux  et se bercer d'illusions quand à l'importance sur le  résultat sonore.
Brancher un "bidule vulgaire" sur une installation d'appareils très chers serait extrêmement risqué, le mépris est finalement la seule attitude juste dans ce contexte.
:cheesygrin:
Comme quoi le choix des mots...
J'aurais sans doute du employer "faible" à la place de "vulgaire"
Mais bon du coup je viens au moins de comprendre que tu as un Behringer!

A la grande époque des Tact, on a du avoir ce genre de débats des centaines de fois et on ne compte plus le nombre d'audiophiles ayant expérimenté ce genre d'appareils: certains avec succès, d'autre moins...
Personne ne nie l'importance de la pièce d'écoute qui est sans doute le premier maillon, ni celui de la nécessite d'adéquation entre celle ci et les enceintes utilisées. Tous les bons systèmes sont dans des pièces optimisées que ce soit avec des corrections actives ou passives (acoustiques).
Et on a tous connu (chez nous ou chez d'autres) le gaspillage que constitue l'implantation d'enceintes ambitieuses dans des pièces d'écoute mal adaptées. Mais bon, on enfonce des portes ouvertes en disant cela.
Et tant qu'on est dans les portes ouvertes, l'affirmation que le système est à la hauteur du maillon le plus faible me semble encore vrai. C'est ce que je voulais dire avec l'adjectif qui t'a visiblement vexé.
Je disais juste que dans un système optimisé avec correction active et les maillons du système à des niveaux comparables, le jeu des "subtiles" comparaisons avec les cables ou autres existait encore. Et je me demande même s'il n'est pas encore plus présent.

-- 25 Déc 2019, 10:21 --

Après sur le fond du débat, je crois en effet que le dosage entre recherche de certaines qualités et l'acceptation des défauts est propre à chaque audiophile.
C'est juste un dosage. J'espère que j'ai bien choisi le mot cette fois  :cool:
A une extrémité, on trouve certains audiophiles prêts à tout pour obtenir certaines qualités qui leur sont chères même au prix de défauts importants et à l'autre extrémité, on a des gens qui essaient de minimiser (au maximum! :cheesygrin: )les défauts de leur système.
Et entre les deux plein de gens avec des dosages différents
Dosage qui peut varier avec le temps pour un meme individu et dosage qui dépend également de la musique écoutée. L'amateur de lyrique et celui de jazz peuvent ne pas avoir les memes critères.
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Re: Aimons nous des qualités ou des défauts...

Message #22 par PP_65 » 25 Déc 2019 à 11:44

J'utilse du Tact mais,  depuis que je suis passé en JBL,  j'ai eu la flemme de faire des analyse pour en déduire une correction , par contre j'avais travaillé ce point avec mes ex Cabasse Pacific 600 Evo en tri-amp active . Lors de la mise au point, un ami passe me voir et nous tombons d'accord tous les deux pour dire que la correction ( du bas seulement) enève trop de grave . Passent quelques mois, je commençais à sentir une petite gêne sans vraiment réfléchir à son origine ;  arrive un membre de Delphi qui écoute , puis dans son CR il écrit que ça lui a plu mais qu'une bosse dans le bas-médium était présente , à tout hasard je remets en route la correction : bingo ! Je l'ai alors laissée en permanence jusqu'à l'arrivée des JBL .
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Re: Aimons nous des qualités ou des défauts...

Message #23 par Bruno D » 25 Déc 2019 à 12:33

mambojet » 25 Déc 2019, 10:11 a écrit::cheesygrin:
Comme quoi le choix des mots...
J'aurais sans doute du employer "faible" à la place de "vulgaire"
Mais bon du coup je viens au moins de comprendre que tu as un Behringer!

A la grande époque des Tact, on a du avoir ce genre de débats des centaines de fois et on ne compte plus le nombre d'audiophiles ayant expérimenté ce genre d'appareils: certains avec succès, d'autre moins...
Personne ne nie l'importance de la pièce d'écoute qui est sans doute le premier maillon, ni celui de la nécessite d'adéquation entre celle ci et les enceintes utilisées. Tous les bons systèmes sont dans des pièces optimisées que ce soit avec des corrections actives ou passives (acoustiques).
Et on a tous connu (chez nous ou chez d'autres) le gaspillage que constitue l'implantation d'enceintes ambitieuses dans des pièces d'écoute mal adaptées. Mais bon, on enfonce des portes ouvertes en disant cela.
Et tant qu'on est dans les portes ouvertes, l'affirmation que le système est à la hauteur du maillon le plus faible me semble encore vrai. C'est ce que je voulais dire avec l'adjectif qui t'a visiblement vexé.
Je disais juste que dans un système optimisé avec correction active et les maillons du système à des niveaux comparables, le jeu des "subtiles" comparaisons avec les cables ou autres existait encore. Et je me demande même s'il n'est pas encore plus présent.

-- 25 Déc 2019, 10:21 --

Après sur le fond du débat, je crois en effet que le dosage entre recherche de certaines qualités et l'acceptation des défauts est propre à chaque audiophile.
C'est juste un dosage. J'espère que j'ai bien choisi le mot cette fois  :cool:
A une extrémité, on trouve certains audiophiles prêts à tout pour obtenir certaines qualités qui leur sont chères même au prix de défauts importants et à l'autre extrémité, on a des gens qui essaient de minimiser (au maximum! :cheesygrin: )les défauts de leur système.
Et entre les deux plein de gens avec des dosages différents
Dosage qui peut varier avec le temps pour un meme individu et dosage qui dépend également de la musique écoutée. L'amateur de lyrique et celui de jazz peuvent ne pas avoir les memes critères.


Vexé non, le filtre est là depuis peu et ce n'est peut être pas une adoption définitive  :wink:
Mon impression est qu'en plus de la correction du local, l'égaliseur peut totalement remplacer le choix des appareils, l'optimisation des associations et donc que cela "casse le jouet" pour l'essentiel.
Restera quand même le visuel des beaux appareils superbement réalisés, le rougeoiement des tubes, toutes ces choses qui ont tellement  d'importance en HiFi .
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Re: Aimons nous des qualités ou des défauts...

Message #24 par tribal.one » 06 Jan 2020 à 16:30

AJMARS » 23 Déc 2019 à 17:03 a écrit:Aimons nous des qualités ou des défauts...

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