Que d'eau, que d'eau...
Présentation des nouveaux venus.
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Que d'eau, que d'eau...
#1 par pipolemarquis » 24 Jan 2013 à 00:56
Bonjour à tous et merci par avance pour votre indulgence et le temps que vous aurez (peut-être) pris pour lire ces quelques lignes de présentation.
Que d'eau a passé sous les ponts depuis le temps où ma passion précoce, dévorante et envahissante me poussa à consacrer l'essentiel de mon temps de loisirs, mon temps de travail, mon argent, mes amis, mes amours, mes emmerdes à cette magnifique discipline qu'est la Hi-Fi depuis l'après-midi du 26 juin 1976, ce samedi où parti en goguette avec un copain de lycée fêter mes 13 ans je passai devant la vitrine d' un petit magasin de radio (ça je connaissais)-télévision (ça aussi)-Hi-Fi (tiens ça c'est plus gros que mon électrophone France Electronique) du bas de l'avenue Secrétan, artère animée du 19ème arrondissement de Paris.
Manque de chance un employé se tenait devant la porte vitrée et grande ouverte du magasin et remarquant que mon pas pressé s'était soudainement ralenti à la vue d'une chaine en éléments séparés qui fonctionnait à volume suffisamment raisonnable pour me faire tourner la tête dans sa direction, cet employé à la mine bonhomme m'invita d'un mouvement de tête à entrer et apprécier la sonorité suave qui s'échappait de ce que j'appelais à l'époque, et comme tout le monde, des baffles. Un disque 33 tours de marque Philips tournait sur une platine et un autre vendeur me lança un "alors c'est beau ça, non?" qui ne pouvait produire sur mon visage opinant lentement qu'une mimique admirative. Il me tendit alors un casque aux écouteurs carrés et ultra-plats, à l'arceau large et gainé de cuir et m'aida, on ne rit pas, à le poser sur ma tête. Et là nouveau choc, le son qui m'avait épaté en sortant des enceintes se sublima littéralement à mes oreilles. Ma décision fut immédiate: un jour je posséderai cet équipement et je passerai mes jours et mes nuits à l'écouter par les enceintes, par le casque et si nécessaire par les deux en même temps.
Je me mis alors à arpenter les rues de plus en plus loin de chez moi à la recherche du moindre magasin commercialisant ce genre d'appareils et je fus récompensé au-delà de mes espérances avec la multitude de magasins qui de la rue Lafayette à la gare du Nord, autour de la Place de la Nation, du Chatelet offrait à mes yeux gourmands des kilomètres de linéaires d'appareils aux noms plus exotiques les uns des autres, moi qui étais habitué par le biais de la radio et de la télévision à n'entendre que des patronymes allemands à la limite du prononçable. Cibot, Téral, Panthère, Comptoir Electronique, Nord Radio, Pigmalion j'en passe et des meilleurs, tous disparus aujourd'hui ces magasins m'ont appris mes premiers et mes derniers rudiments de japonais.
Quelques années plus tard j'en fis mon métier et simultanément se déroula sur vingt-cinq ans une course effrénée à la perfection technique, une quête continue du graal sonore, une soif jamais étanchée de musicalité. Alors bien sûr en commençant par ce que mes modestes moyens me permettaient de m'offrir, quelques marques japonaises grand public Pioneer, Denon, Kenwood et les autres, puis les anglais Sügden, Nad, Proton... Et à partir de là tout a dégénéré: Mark-Levinson ML-2, les convecteurs les plus musicaux dont j'ai jamais équipé mon appartement, McIntosh à tubes, Audio-Research, EMT, Studer, Rogers, Sonus-Faber, Voix du théâtre, et j'arrête là par respect pour l'ulcère de mon banquier. Puis un jour on devient grand, on fait des projets "autres" et on range ses jouets, au besoin on en fait profiter d'autres. Pourtant, comme un virus qu'on porte en soi malgré l'absence de ses manifestations l'amour de la Hi-Fi reste là et ne demande qu'à s'exprimer à nouveau. Et comme après un voyage dont on revient sans plus trop comprendre ce qui s'est passé en son absence, je reviens en découvre un foisonnement de nouvelles marques, de rubicons franchis par des fabricants réputés pour leur conservatisme, d'appareils dont on a du mal à comprendre l'hérédité, de technologies ressuscitées, de polémiques stériles et de convictions chevillées au corps, mais aussi de bonne vieilles recettes toujours valables et appréciées. Je reviens sur ce site me retremper dans l'ambiance électrisante du débat entre passionnés...
Que d'eau a passé sous les ponts depuis le temps où ma passion précoce, dévorante et envahissante me poussa à consacrer l'essentiel de mon temps de loisirs, mon temps de travail, mon argent, mes amis, mes amours, mes emmerdes à cette magnifique discipline qu'est la Hi-Fi depuis l'après-midi du 26 juin 1976, ce samedi où parti en goguette avec un copain de lycée fêter mes 13 ans je passai devant la vitrine d' un petit magasin de radio (ça je connaissais)-télévision (ça aussi)-Hi-Fi (tiens ça c'est plus gros que mon électrophone France Electronique) du bas de l'avenue Secrétan, artère animée du 19ème arrondissement de Paris.
Manque de chance un employé se tenait devant la porte vitrée et grande ouverte du magasin et remarquant que mon pas pressé s'était soudainement ralenti à la vue d'une chaine en éléments séparés qui fonctionnait à volume suffisamment raisonnable pour me faire tourner la tête dans sa direction, cet employé à la mine bonhomme m'invita d'un mouvement de tête à entrer et apprécier la sonorité suave qui s'échappait de ce que j'appelais à l'époque, et comme tout le monde, des baffles. Un disque 33 tours de marque Philips tournait sur une platine et un autre vendeur me lança un "alors c'est beau ça, non?" qui ne pouvait produire sur mon visage opinant lentement qu'une mimique admirative. Il me tendit alors un casque aux écouteurs carrés et ultra-plats, à l'arceau large et gainé de cuir et m'aida, on ne rit pas, à le poser sur ma tête. Et là nouveau choc, le son qui m'avait épaté en sortant des enceintes se sublima littéralement à mes oreilles. Ma décision fut immédiate: un jour je posséderai cet équipement et je passerai mes jours et mes nuits à l'écouter par les enceintes, par le casque et si nécessaire par les deux en même temps.
Je me mis alors à arpenter les rues de plus en plus loin de chez moi à la recherche du moindre magasin commercialisant ce genre d'appareils et je fus récompensé au-delà de mes espérances avec la multitude de magasins qui de la rue Lafayette à la gare du Nord, autour de la Place de la Nation, du Chatelet offrait à mes yeux gourmands des kilomètres de linéaires d'appareils aux noms plus exotiques les uns des autres, moi qui étais habitué par le biais de la radio et de la télévision à n'entendre que des patronymes allemands à la limite du prononçable. Cibot, Téral, Panthère, Comptoir Electronique, Nord Radio, Pigmalion j'en passe et des meilleurs, tous disparus aujourd'hui ces magasins m'ont appris mes premiers et mes derniers rudiments de japonais.
Quelques années plus tard j'en fis mon métier et simultanément se déroula sur vingt-cinq ans une course effrénée à la perfection technique, une quête continue du graal sonore, une soif jamais étanchée de musicalité. Alors bien sûr en commençant par ce que mes modestes moyens me permettaient de m'offrir, quelques marques japonaises grand public Pioneer, Denon, Kenwood et les autres, puis les anglais Sügden, Nad, Proton... Et à partir de là tout a dégénéré: Mark-Levinson ML-2, les convecteurs les plus musicaux dont j'ai jamais équipé mon appartement, McIntosh à tubes, Audio-Research, EMT, Studer, Rogers, Sonus-Faber, Voix du théâtre, et j'arrête là par respect pour l'ulcère de mon banquier. Puis un jour on devient grand, on fait des projets "autres" et on range ses jouets, au besoin on en fait profiter d'autres. Pourtant, comme un virus qu'on porte en soi malgré l'absence de ses manifestations l'amour de la Hi-Fi reste là et ne demande qu'à s'exprimer à nouveau. Et comme après un voyage dont on revient sans plus trop comprendre ce qui s'est passé en son absence, je reviens en découvre un foisonnement de nouvelles marques, de rubicons franchis par des fabricants réputés pour leur conservatisme, d'appareils dont on a du mal à comprendre l'hérédité, de technologies ressuscitées, de polémiques stériles et de convictions chevillées au corps, mais aussi de bonne vieilles recettes toujours valables et appréciées. Je reviens sur ce site me retremper dans l'ambiance électrisante du débat entre passionnés...
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Re: Que d'eau, que d'eau...
#2 par Cartel » 24 Jan 2013 à 13:16
Holà votre Seigneurie personne pour vous accueillir ? Et vous sollicitez l'indulgence de ces rustres ? Vous méritent-ils seulement, ces anabaptistes, mélomanes défroqués qu'ils sont devenus !
Et vous d'intervenir de fort belle manière à propos d'enceintes de foire dont vous connaissez les fourberies le plus vicieuses. Monseigneur est bien trop généreux avec les manants. C'est donner à déguster de la confiture aux pourceaux.
Alors, je m'avance et toute révérence faite j'accueille votre Grandeur cataclysmique en ces lieux nauséabonds. Quel honneur Divine Majesté ! Bien le bonjour, Divin Marquis.
Et vous d'intervenir de fort belle manière à propos d'enceintes de foire dont vous connaissez les fourberies le plus vicieuses. Monseigneur est bien trop généreux avec les manants. C'est donner à déguster de la confiture aux pourceaux.
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Re: Que d'eau, que d'eau...
#3 par Electronlibre » 24 Jan 2013 à 13:25
Bienvenue chez nous.
J'espère que tes jouet rangés avec amour sont toujours entre tes mains et l'envie de les ressortir de leur carton est imminente.
Verdict?
Did
J'espère que tes jouet rangés avec amour sont toujours entre tes mains et l'envie de les ressortir de leur carton est imminente.
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Re: Que d'eau, que d'eau...
#4 par pipolemarquis » 24 Jan 2013 à 16:07
Merci pour votre accueil, j'espère que mes futures contributions à ce site en intéresseront le plus possible, autant que la passion que je vois s'exprimer des différents membres dont j'ai parcouru les posts réveille à son tour et de plus en plus bruyamment la mienne après quelques années de pause... Quant à mes joujous j'en ai gardé quelques uns, je m'attaque à la remise en état d'une paire de PEL M2 et d'une paire de Vision Acoustique MV2. Mon métier n'étant plus du tout dans cette branche je dois reconstituer l'organigramme du Qui fait quoi dans cette industrie car en peu d'années je m'aperçois que des cartes ont changé de mains, il y a eu des naissances, des mariages, des enterrements, des apparitions, des disparitions, des cours de bourse qui sur certains produits se sont envolés, bref, on va y aller lentement mais sûrement... 

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Re: Que d'eau, que d'eau...
#5 par Jubilator » 24 Jan 2013 à 21:01
Bien le bonjour, marquis ! J'ai vécu avec des MV2 pendant plusieurs années (mon premier achat hi-fi, l'année où j'ai commencé à gagner ma vie) : je garde de ces enceintes un excellent souvenir. Elles chantent toujours chez mes parents… Il y a une belle présence sur les voix, et je les avais préférées, en confrontation directe, à des Castle Trent (bien timbrées, mais moins séduisantes pour l'impression d'espace). Avec quoi comptes-tu les faire fonctionner ?
Comme dit Jauni du Sud (un gars rare) : "C'était mieux à Vence"
Hyène, we can !
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Re: Que d'eau, que d'eau...
#6 par Luxmanu » 24 Jan 2013 à 21:12
pipolemarquis » 24 Jan 2013, 14:07 a écrit:Merci pour votre accueil, j'espère que mes futures contributions à ce site en intéresseront le plus possible, autant que la passion que je vois s'exprimer des différents membres dont j'ai parcouru les posts réveille à son tour et de plus en plus bruyamment la mienne après quelques années de pause... Quant à mes joujous j'en ai gardé quelques uns, je m'attaque à la remise en état d'une paire de PEL M2 et d'une paire de Vision Acoustique MV2. Mon métier n'étant plus du tout dans cette branche je dois reconstituer l'organigramme du Qui fait quoi dans cette industrie car en peu d'années je m'aperçois que des cartes ont changé de mains, il y a eu des naissances, des mariages, des enterrements, des apparitions, des disparitions, des cours de bourse qui sur certains produits se sont envolés, bref, on va y aller lentement mais sûrement... :wink:
Il n’est pas nécessaire de regarder ce qui se fait, les joyaux du passé sont toujours dans le coup


(Are we not men ? We are DEVO)
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Re: Que d'eau, que d'eau...
#7 par pipolemarquis » 25 Jan 2013 à 14:39
Merci! je pense en effet que ceux qui prétendent réinventer ceci ou cela ou comme on lit souvent "remettre à plat" tel ou tel principe sont en effet au mieux présomptueux au pire prétentieux. Mais on n'est jamais à l'abri d'une bonne surprise quoique la tendance que j'observe chez la pluspart des fabricants d'introduire le iPode comme source hi-fi ne me dit rien qui vaille, c'est pour moi se disperser sur un effet "mode" en oubliant ses fondamentaux. Que penser aussi des serveurs et autres raccordements issus du monde informatique que je ne rejète pas à priori mais qui m'apparaissent comme un contre-feu destiné à masquer l'impasse dans laquelle les hifistes sont arrivés, incapables de franchir un pas de plus dans l'amélioration de la reproduction sonore proprement dite et on peut le comprendre tant certains sont allés loin déjà. Je suis étonné d'ailleurs que les hifistes louchent à ce point du côté du monde informatique et aussi peu du côté de celui du studio pro. J'assistais il y a peu à la démonstration de la dernière version du séquenceur Cubase dans un magasin spécialisé de Pigalle. Après moulte démonstrations graphiques des possibilités de ce logiciel est arrivé le moment de la démonstration. L'ingénieur du son qui en était chargé envoya le multipistes de "Off the wall" de M.Jackson dans des enceintes de studio haut de gamme: le choc ! cela faisait longtemps que je n'avais pas pris dans le bide une telle dynamique, une telle aération, une telle précision des aigus et fermeté dans le grave, bref le son tel que j'avais eu autrefois l'occasion de l'entendre en studio d'enregistrement et que je n'ai je crois jamais ré-entendu sur des systèmes audio. Alors pourquoi ce qui était possible dans ce magasin de 30 m2 à travers des enceintes de volume tout à fait waf et à des prix qui sont ceux d'un bon niveau hi-fi ne le serait-il plus dans un salon de même dimension? on a l'impression que certaines technologies, certaines recettes sont destinées aux pro et que le grand public lui doit déployer des moyens considérables, notamment financiers, pour approcher à peine, et encore, le même résultat. En hi-fi on tourne autour du pot, on fonctionne sur des modes (ah les enceintes colonnes, une incongruité selon moi) ce qui entretient le marché, chez les pro on a ce qu'il faut même si la présentation cosmétique n'est pas forcément là: a-t-on jamais vu des enceintes colonnes dans un studio d'enregistrement? les amplis intégrés dans les enceintes de studio certes ils ne se la pètent pas par leurs chromes et leurs filaments rougeoyants mais ils sonnent! Voilà, sonner, c'est tout ce qu'on de demande...
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Re: Que d'eau, que d'eau...
#8 par Jim75 » 25 Jan 2013 à 15:09
Bonjour Monsieur Pipo
Pardon pour cette digression mais quand même je peux pas m'en empêcher
Toi qui est un p'tit gars du 20 moins 1 (XIXème) comme disent les d'jeuns d'aujourd'hui, tu te souviens du Secrétan Palace ?
Ce bon vieux cinoche avec balcon ... mes premiers films de môme, les ouvreuses qui passaient dans les rangs avec leur panier de glaces et de bonbèques
Quelle tuerie !!!
Côté vintage c'est de la bonne le Secrétan Palace
Ok, je sors
Jim

Pardon pour cette digression mais quand même je peux pas m'en empêcher

Toi qui est un p'tit gars du 20 moins 1 (XIXème) comme disent les d'jeuns d'aujourd'hui, tu te souviens du Secrétan Palace ?
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Re: Que d'eau, que d'eau...
#9 par pipolemarquis » 25 Jan 2013 à 16:03
et bien écoute quand je suis arrivé dans le 19ème, avenue secrétan justement, le Secrétan Palace n'existait plus. Il était situé à côté de ce fameux magasin de meubles et de radio-tv-hi-fi qui déclencha mes premiers émois hifistes. Puis ce magasin ferma et fit place plus tard à un nouveau cinéma "les 3 secrétan" qui vécut jusqu'à la fin des années 80 pour laisser ensuite la place à un magasin Ed. Il y avait un autre ciné dans le coin le Ryalto, rebaptisé Ryalto Banana peu avant sa disparition vers la même époque au moment de l'élargissement de la rue de Flandre. Sans parler de l'Eden, autre cinéma situé à l'entrée de l'avenue Jean jaures côté pair mais qui avait fermé depuis longtemps quand j'arrivai dans le quartier. Ma petite enfance avait commencé dans le XXème du côté de la Porte des Lilas où le cinéma des Tourelles, un vrai cinoche à la Eddy Mitchell, était notre cinéma de quartier, mes parents y allaient en 5 minutes et en chaussons quand il n'y avait rien de bon à voir sur l'unique chaine de télé que notre poste noir et blanc était capable de recevoir!
Bon trèves de digressions et sans vouloir jouer aux vieux schnoques, je ne sais pas si tu partages mon avis sur la hifi mais j'ai vraiment l'impression que comme l'assène Bernard Blier dans "le grand blond avec une chaussure noire": on tourne en rond !
Bon trèves de digressions et sans vouloir jouer aux vieux schnoques, je ne sais pas si tu partages mon avis sur la hifi mais j'ai vraiment l'impression que comme l'assène Bernard Blier dans "le grand blond avec une chaussure noire": on tourne en rond !
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Re: Que d'eau, que d'eau...
#10 par Cartel » 25 Jan 2013 à 16:16
Ton expérience avec le matos pro rejoint la mienne. J'écoute régulièrement les PSI 17 de mon fils sur sa table Allen & Heath avec jubilation. Nos sommes même allés écouter de petites Funktion One et c'était excellent.
Funktion-One
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Re: Que d'eau, que d'eau...
#11 par pipolemarquis » 25 Jan 2013 à 16:38
Allen and heath, Soundcraft, Neve: un son de folie qui semble venir de partout. On se demande bien de quoi ce qui sort de la plus-part des systèmes audio manque pour donner le même plaisir et surtout pourquoi un tel abysse entre les 2 mondes. Aussi beau et abouti soit-il, et j'ai écouté des systèmes magnifiques à des prix frisant le paranormal, il manque toujours cette dimension irrationnelle qu'on ne perçoit qu'en studio... on me dira oui mais le disque, notamment le CD de mes deux (pardon...) est passé par là, mais justement qui du disque ou de l'oeuf a poussé l'autre à rentrer dans un carcan audio?
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Re: Que d'eau, que d'eau...
#12 par Cartel » 25 Jan 2013 à 17:30
Je n'ai pas la réponse à ta question sur le paradoxe de l'œuf et de l'audio même si ici nous aimons la coquille. En revanche, nous sommes quelques-uns à nous intéresser au matos pro. Je pense que la fascination vient d'une envie de simplification de notre système. Une sorte de retour à l'essentiel sans prise de tête avec en prime la délicieuse surprise du prix.
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Re: Que d'eau, que d'eau...
#14 par pipolemarquis » 29 Jan 2013 à 02:57
Jim75 » 25 Jan 2013 à 14:09 a écrit:Bonjour Monsieur Pipo :wink:
Pardon pour cette digression mais quand même je peux pas m'en empêcher :wink:
Toi qui est un p'tit gars du 20 moins 1 (XIXème) comme disent les d'jeuns d'aujourd'hui, tu te souviens du Secrétan Palace ?
Ce bon vieux cinoche avec balcon ... mes premiers films de môme, les ouvreuses qui passaient dans les rangs avec leur panier de glaces et de bonbèques :cool: Quelle tuerie !!!
Côté vintage c'est de la bonne le Secrétan Palace :wink:
Ok, je sors
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Déslé Jim je t'ai répondu une grosse c... quand tu m'as parlé du Secrétan Palace, je l'ai confondu avec un autre cinéma du quartier, et en fait ce ciné je l'ai bien connu il était rue de Meaux en face du marché Secrétan, il est resté ouvert encore un an ou deux après mon arrivée dans le quartier puis transformé en supermarché coop, puis en autre chose je crois et maintenant ça doit être un magasin de bricolage. Il y avait aussi un autre cinéma à deux salles rue de Flandre au métro Crimée juste à côté du centre de sécu, j'y suis allé peu de temps avant qu'il ne ferme lui aussi. On pourrait en citer des dizaines des cinémas de quartier dans les 19 et 20ème arrondissement...
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