Localisation: Grive La Braillarde -Brive la Gaillarde (Groland du centre CorréZou orienté sud ouest )
Configuration Hi-Fi: *VPI scout (réglage top by Jean mimi DutreiZe) /ZyX RH100 *Td Heybrook TT2(TiTiTou) + bras unipivot Ultracraft AC30 (recalbé en fils de blitZ du sol au plafond)+ bille céramique + Alim séparée "ZeddOn" + cellule mc ZyX R100H & dernier réglage d'AliNn zE king (aka ttman) /EN VENTE AU FAIT
*Brocksieper_ Arabesque3 *Leak 2060 (EN VENTE AU FAIT)
*préampli "LC pre" VRAI doublemono à tioubes de Brocksieper avé pho-noMC -( VRAI double mono phono MC - à tioubes)
*et toujours, en cas d'éventuel soucis, des blocs monos 100W Crimson cs630 totors
*Marantz CD80 *Tuner A&R Cambridge T21 *Ampli caX à tioubes diy + Sennheiser hd565 Ovation (inutilisés depuis des années) *Calbes sans ferrites en bois d'arbre , hélas! *2 prises élec Schukos dédiées au bouZin
Localisation au fond d'une impasse,voisin sourdingue, nickel !!!!!!!
Pas seulement , on a quelques témoignages intéressants ( et même touchants) mais , musicalement, on n'approfondit pas des masses . Je pense que Syd était bien conscient de son talent qu'il pouvait avoir pensé limité pour être un musicien du niveau de tout ce qu'il pouvait avoir entendu ; sachez que Joe Boyd ( qui était une des personnes en charge de l'UFO et qui a produit Arnold Layne ) , l'avait amené écouter l'AMM en studio . Il n'y a pas beaucoup d'artistes issus du Rock/Pop ayant pu assumer des influences d'avant-garde jusqu'au bout ( Bowie y a touché, Reed aussi mais aussi David Sylvian et Julie Tippets ) ; OK la drogue n'a pas arrangé la situation ...
PP_65 a écrit:Pas seulement , on a quelques témoignages intéressants ( et même touchants) mais , musicalement, on n'approfondit pas des masses . Je pense que Syd était bien conscient de son talent qu'il pouvait avoir pensé limité pour être un musicien du niveau de tout ce qu'il pouvait avoir entendu ; sachez que Joe Boyd ( qui était une des personnes en charge de l'UFO et qui a produit Arnold Layne ) , l'avait amené écouter l'AMM en studio . Il n'y a pas beaucoup d'artistes issus du Rock/Pop ayant pu assumer des influences d'avant-garde jusqu'au bout ( Bowie y a touché, Reed aussi mais aussi David Sylvian et Julie Tippets ) ; OK la drogue n'a pas arrangé la situation ...
Merci pour ces informations, influence de l'AMM... ma réponse ironique mettait en exergue l'insistance sur le LSD et autres poutingues à longueur de reportage sans vraiment un regard précis sur les compositions et le talent naturel créatif de SB, son apport au milieu musical du moment. Était-il du bon ou du mauvais côté de la barrière dont parle le psychiatre... marge créative vs "système socialement renforcé" JP
Dans le live à Pompei , Glimour joue d'une guitare à l'horizontale , comme Keith Rowe ; il ne faut pas oublier que le bouillon culturel du Londres 60s permettait des échanges .
j'ai commencé le documentaire et je fais une pose... c'est fatiguant de voir ce talent gaché... cette facilité à réussir dans tous les domaines de de savoir que ça va s'écraser lamentablement... Courage, je continue...
Dernière édition par dechab le 24 Fév 2024 à 22:42, édité 1 fois.
Amplis "home made: - PP de 6V6, - PP EL156 en triode , - Ampli Hitone H225i, - Ampli/préampli 300B SE "pour les Heil Essai AMT1a Bookshelf, - RADFORD STA25 rénové
Préamplis maison: - un 6H30 WOT avec TANGO NP126 - un E80CC SRPP "spécial" WOT" Tamura - GG à base de 5814A, Source: Sony SACD SCD555 ES (j'en ai 3 tellement j'adore...) CEC TL51X Convertisseur: Sonic Frontiers TRANSDAC Vynil: VPI SCOUTMASTER + cellule ZYX FUJI LENCO L75 Cellule ZYX Fuji 100R & AT VM95 RIAA: Correction: Jfet spécial audio maison Préampli MM maison RIAA sur schéma MJ Audio, Préampli MM Maison sur base schéma Conrad Johnson PV9A,
dechab a écrit:j'ai commencé et je fais une pose... c'est fatiguant de voir ce talent gaché... cette facilité à réussir dans tous les domaines de de savoir que ça va s'écraser lamentablement... Courage, je continue...
C'est quand même le fil rouge de beaucoup d'artistes dans le monde du rock, je crois que dans le monde du Jazz ils sont hors concours: que de talent disparus trop tôt.
FAYET a écrit:C'est quand même le fil rouge de beaucoup d'artistes dans le monde du rock, je crois que dans le monde du Jazz ils sont hors concours: que de talent disparus trop tôt.
La liste qui est intéressante à faire est en fait plus celle des stars qui ont parfaitement géré (sur le plan psy) leur célébrité Par ex Roy Orbison, qui faisait passer sa famille avant tout (le pauvre, quand on sait la suite...) George Harrison qui semble avoir toujours eu un certain recul dans ce qu'il faisait (la spiritualité devait primer...) Dans le Jazz (et classique), André Prévin : qui parait-il était resté simple, bienveillant et attentif à autrui... Je pourrais continuer encore mais ... pas tant que ça... ?
C est peut être ce coté border Line qui les amennent à créer tous ces chefs d oeuvres ...les esprits torturés ont des choses à raconter . A défaut de verbaliser , la musique permet d extraire les non dits .le nectar d une vie de tumulte . Si nous étions tous artistes ne raconterions nous pas plus de choses sur nous mêmes .
Merci pour cette info-UFO, Olivier! Cette période me fascine et les débuts des Floyds en disent long sur toute une époque... Barrett je le vois comme un véritable et vénérable artiste de son époque, qui n'a pas sombré qu'à cause du LSD, c'est trop facile. Il n'a jamais accepté qu'on lui impose quoique ce soit. Bien entendu ce n'est pas le caractère de Waters, tout à fait opposé. D'ailleurs aussi amis fussent-ils, je me demande s'il n'y avait pas des rapports un peu pervers narcissiques déjà à cette époque, qui ont fait flancher notre ami en question! Bref peut-être ai-je tort, mais il m'a toujours paru comme un brave garçon bien fragile du casque...
J'aime bien vos propositions et questions d'ailleurs!
Son parcours en peinture a dû aussi le mettre en contact avec l'avant-garde de cet Art et je conjecture qu'il a pu faire le parallèle avec la musique et se poser la question de savoir comment injecter de la nouveauté structurelle dans la Pop ; ça tombait bien aussi puisqu'il n'était pas le seul , mid-60s, à chercher dans ce sens . Un qui est toujours là et qui, quelque part , a eu un trajet artistique, sur ce point, similaire, c'est Eno .
j'ai trouvé le docu plutôt ennuyeux, parce qu'il focalise sur la personne au travers de témoignages, et c'est tout. Comme cela a été dit, ce qu'était vraiment sa musique n'est pas approfondi. Je suis content d'avoir réentendu certains titres et avoir découvert un peu le contexte de la naissance de Pink Floyd, mais c'est un peu léger quand même.
Quant à sa trajectoire et ses prises de décisions, je pense qu'il aurait été intéressant de questionner le rôle de l'industrie musicale qui de puissante était en train de devenir monstrueuse. C'est évoqué, mais à peine. C'est facile de mettre sur le dos du LSD et d'une santé mentale fragile les effets délétères d'une industrie - quelle qu'elle soit - sur ceux qui la font tourner. Qu'ils soient ouvrier ou star de la pop n'y change rien, il faut se plier aux cadences ou dégager (et si on dégage toujours parce qu'on est faible, jamais parce qu'on refuse d'être exploité).
papilucio a écrit:j'ai trouvé le docu plutôt ennuyeux, parce qu'il focalise sur la personne au travers de témoignages, et c'est tout. Comme cela a été dit, ce qu'était vraiment sa musique n'est pas approfondi. Je suis content d'avoir réentendu certains titres et avoir découvert un peu le contexte de la naissance de Pink Floyd, mais c'est un peu léger quand même.
Quant à sa trajectoire et ses prises de décisions, je pense qu'il aurait été intéressant de questionner le rôle de l'industrie musicale qui de puissante était en train de devenir monstrueuse. C'est évoqué, mais à peine. C'est facile de mettre sur le dos du LSD et d'une santé mentale fragile les effets délétères d'une industrie - quelle qu'elle soit - sur ceux qui la font tourner. Qu'ils soient ouvrier ou star de la pop n'y change rien, il faut se plier aux cadences ou dégager (et si on dégage toujours parce qu'on est faible, jamais parce qu'on refuse d'être exploité).
"les effets délétères d'une industrie - quelle qu'elle soit - sur ceux qui la font tourner" > +1 Je ne connaissais pas sa personnalité, ce document est quand même assez bien fait (malgré les longueurs) car il développe ce sujet. Un surdoué qui vivait "pour l'art" et se fichait un peu de la notoriété et de l'industrie / star-system etc... Pour lui, peindre et déchirer ses toiles (qui vaudraient maintenant une fortune) était normal... Tout comme dire "m.rde" à ce que le publique attendait de lui en musique... Mais d'autres ont mieux géré leurs existences que lui quand même.
Dans la série des génies qui ont tout donné très jeunes et ont dit "m.rde" on peut penser à Rimbaud / précurseur /...
2/ Source/ Grundig Fine Arts CD-903 Amp/ Grundig Fine Arts A-903 Tuner/ Grundig Fine Arts T-903 Cables modul/ Ecosse The conductor Cables HP/ Amazon Speakers/ JM Lab DB13 Power/ Leroy Merlin
Ce documentaire m'a véritablement rendu triste et parfois mal à l'aise. Il n'y a pas de talent gâché car sans lui les Floyd n'explose pas de la même façon, c'est lui qui les mets sur les rails avec sa créativité débordante et ses textes en particulier. Mal à l'aise parce que trop étroit ce monde fut pour lui dès le départ, le prisme de la drogue l'a à mon sens enfermé dans la prison de sa déraison. Peut être avait t'il trop poussé le concept Rimbaldien du dérèglement des sens d’être absolument moderne.
Sa transformation physique en dit long sur son voyage intérieur...
C'est intéressant avec quelques longueurs, beaucoup d'images sans réel intérêt comme pour remplir le format...
Je pense aussi qu'au delà du LSD et comme dit plus haut la machine à broyer (ici l'industrie musicale) a eu raison de lui, artiste sensible et fragile. On le voit sombrer sans que cela ne préoccupe vraiment son entourage, c'est assez triste oui...