01 Déc 2012 à 22:50
01 Déc 2012 à 23:43
Cartel » 26 Nov 2012, 09:41 a écrit:En qqes mots. Je pense que sous couvert d'indulgence coupable, Proust tisse ici un éloge de la "mauvaise" musique qui émeut jusqu'à conduire à la transcendance. Cela à condition qu'on abandonne tout mépris. Il fait donc primer l'émotion spontanée née de l'abandon de critères esthétiques acquis, appris qui brideraient la perception et la jouissance. La question demeure : qu'est-ce que le beau ? Est-il réservé à une élite à laquelle d'ailleurs Proust appartient ? Il répond que le beau est partout et en toute chose et que chacun peut s'en saisir pour en jouir sans être entravé par des critères contraignants.
Proust est un Mao spontex. :cool:
CC44 » 01 Déc 2012, 21:03 a écrit:
T'es sûr?
"Sa place, nulle dans l'histoire de l'Art, est immense dans l'histoire sentimentale des sociétés."
02 Déc 2012 à 10:39
02 Déc 2012 à 11:39
02 Déc 2012 à 12:20
02 Déc 2012 à 12:39
PP_65 » 02 Déc 2012, 10:39 a écrit:J'adore : de Proust , on passe à prout-prout .
02 Déc 2012 à 12:44
02 Déc 2012 à 13:45
04 Déc 2012 à 15:00
04 Déc 2012 à 16:15
04 Déc 2012 à 16:40
peyrerouge » 04 Déc 2012, 14:00 a écrit:Tu n'as pas le choix tu commences par "Du côté de chez Swann".... Et tu poursuis....
http://www.livre-rare-book.com/search/c ... initSearch