11 Déc 2012 à 12:40
12 Déc 2012 à 16:46
12 Déc 2012 à 17:11
12 Déc 2012 à 17:55
12 Déc 2012 à 18:03
12 Déc 2012 à 18:11
adol » il y a 15 minutes a écrit:Attention à ne pas tout mélanger, il s'agit d'une oeuvre d'art, "une sculpture acoustique" qui ne s'écoute que sur une seule musique composée par Rodelius.
Bref ne débarquez pas au Bon Marché avec vos disques sous le bras, je ne suis même pas sur qu'elle soit à vendre d'ailleurs !
Edit : Je corrige, je n'avais pas lu l'écriteau derrière. C'est bien une version "réduite" de l'oeuvre d'origine, conçue pour etre vendue. Dans un format plus compact d'ailleurs
La vraie est bien plus grande
[ Image ]
12 Déc 2012 à 19:16
12 Déc 2012 à 19:23
12 Déc 2012 à 20:38
Jodemontmartre » 12 Déc 2012, 15:46 a écrit:En " écoute " au Bon Marché à Paris...
D'accord c'est dans le hall d'entrée au rez de chaussée, ce ne sont pas des 38 comme on a pu le croire, ou alors c'est une version réduite...et la musique est un murmure.
[ Image ]
Ca s'appelle Gratefull Vanity. Vous voyez le rapport?
Maintenant, l'électronique associée:
Lampes et transistors + lecteur de CD.
Pas de marque apparente si ce n'est le nom des designers.
Légendé façon Ben.
[ Image ]
http://www.kuntzeldeygas.com/blog/
12 Déc 2012 à 20:42
12 Déc 2012 à 21:03
L'objectif explicite du Qoheleth est de découvrir comment tirer parti de la vie, un but en accord avec les orientations générales de la Littérature sapientale. Pour le Qoheleth, toutefois, tout avantage possible de la vie est anéanti par l'inéluctabilité de la mort. En tant que telle, le Qoheleth conclut que la vie (et tout le reste) est insensée. A la lumière de cette conclusion, le Qoheleth conseille à son auditoire de profiter au mieux de la vie, de se saisir du jour présent, car il n'y a aucun moyen de s'assurer un avenir favorable. Bien que cette dernière conclusion ait parfois été comparée à l'épicurisme, elle se présente pour le Qoheleth comme le résultat inévitable de son échec à donner du sens à l'existence.
Cette conclusion se reflète dans le refrain qui ouvre en même temps qu'il clôt les mots du Qoeleth :
"Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité."
Le mot traduit par vanité, הבל (hevel), signifie littéralement vapeur, buée, haleine, souffle léger. Il est à noter que c'est le même mot qui désigne l'un des tout premiers personnages de la Genèse et que la tradition a traduit par Abel. Qoheleth l'utilise métaphoriquement et son sens précis est intensivement débattu. Notons qu'en français, dans son utilisation courante, le mot vanité a plutôt tendance aujourd'hui à se rapprocher de la notion d'orgueil et désigne plus souvent le caractère d'une personne faisant preuve d'auto-satisfaction et qui se plaît à manifester ouvertement son goût du paraître. Ceci n'est pas le sens qu'il convient de retenir dans l'Ecclésiaste où le mot vanité est utilisé dans son acception plus ancienne et plus littéraire de "ce qui est vain", c'est-à-dire futile, illusoire, vide, de peu d'impact, voire sans aucune réalité.
Finalement, l'auteur de l'Ecclésiaste en vient à cette conclusion, dans l'avant-dernier vers du dernier chapitre :
Écoutons la fin du discours: Crains Dieu et observe ses commandements. C'est là ce que doit faire tout homme.
Certains soutiennent que ce vers est un ajout au manuscrit original du fait qu'il contraste avec toutes les affirmations précédentes. D'autres soutiennent qu'il complète en fait le message en affirmant que rien n'a de plus grande importance que l'œuvre de Dieu.

13 Déc 2012 à 19:00
13 Déc 2012 à 19:42
14 Déc 2012 à 18:57
14 Déc 2012 à 19:23
Nez : frais et doux, il est marqué par de subtiles notes de fruits (peau de pêche blanche) sur fond de tourbe grasse. A l'aération il révèle une très belle douceur où se mêlent des notes de fruits secs (noix de pécan), de vernis et d'herbes sèches (foin, feuille de tabac).
Bouche : onctueuse et huileuse, elle évoque avec précision des notes sucrées-salées (sucre d'orge, iode). Suave, elle se développe sur les fleurs, l'anis mentholé, les épices (clou de girofle, poivre) et le chocolat.
Finale : élégante, elle évolue sur le chocolat (chocolat amer, moka), le café et les agrumes (orange). Elle se prolonge, par rétro-olfaction, sur des notes de fruits frais (pêche blanche).
14 Déc 2012 à 19:42


14 Déc 2012 à 23:25
Coles » Aujourd’hui à 17:57 a écrit:Bon faudrait bien que je me décide pour une petite folie de find'an.![]()
Yoichi 15 ans pour ce qui est écrit plus bas...
Yoichi 89 single cask, c'est quoi cask ? :cheesygrin:
Yamazaki 18 ans sherry sherry, tablette de chocolat (en ai-ja jamais eu ? :cheesygrin: ) fourrée aux amandes et aux raisins, qui disent :cheesygrin:
Taketsuru 21 ans pure single malt, pas au taquet j'espère :cheesygrin:
Karuizawa 27 ans multi-vintage 81/82/83/84 cher oui cher oui, trop ? :cheesygrin:
Des, qui ont déjà goûté à ces soleils levants ?
Jusqu'à présent des "entrées de gamme" que j'ai goutté, ce sont les Yamazaki 12 et le Yoichi 10 qui m'ont le plus plu, pour diverses raisons, mais surtout parce qu'ils ont des personnalités bien plus marqués que le Hibiki 12 ans ou la Hakushu qui m'a laissé plus indifférent.
Le Yamazaki c'est élégant et délicat, un petit peu comme le sillage d'un parfum à la fois fleuri et poivré, une geisha qui traverse le jardin de cerisiers en fleurs quoi.
Le Yoichi est plus masculin, plus prégnant profond et complexe, une élégance plus incarnée, mais c'est aussi un saloupiaud de traitre, mais un haut de forme, pas un casque à pointe, quoi.
So Yo ou Ya ?
15 Déc 2012 à 00:24
15 Déc 2012 à 04:25
Coles » 12 Déc 2012, 18:23 a écrit:[ Image ]
Magnifique la Valvo. :wink:
De mon côté j'ai bien essayé une 80 EML, c'est joli aussi, moins que cette Valvo tout de même à mes yeux,
mais je n'ai pas eu l'envie d'en savoir plus, pas la peine, les Cunningham m'ont envoûté...![]()
Xav :cheesygrin:
15 Déc 2012 à 07:49
Coles » Hier à 23:24 a écrit:Sympa TJL. :wink: