02 Fév 2017 à 19:17
02 Fév 2017 à 20:27
raphant a écrit:Le direct to disc ça me rappelle les albums de Flim and the BB's.
......................
Ces albums ont une dynamique de dingue.
02 Fév 2017 à 23:12
jeanpascalg » 02 Fév 2017, 12:53 a écrit:Donc pour toi la musique classique s'arrête dans les années 70.
Nicodimdom » 01 Fév 2017, 12:55 a écrit:.Pour Mattera, toute la musique s'arrête aux années 70. ..
02 Fév 2017 à 23:37
mattera a écrit:c'est quand même l'âge d'or, époque KARAJAN et compagnie, et dans le classique que j'aime on n'a pas inventé l'eau chaude depuis bien longtemps, quand on aime MOZART, BEETHOVEN, BRAHMS, VIVALDI, TCHAÏKOVSKI, HAENDEL, WAGNER, etc, etc, etc , on n'a vraiment pas grand chose à chercher ( à part du "réchauffé") après les années 70, du moins sur le plan artistique et interprétation...
02 Fév 2017 à 23:48
02 Fév 2017 à 23:51
03 Fév 2017 à 00:08
PFB » 01 Fév 2017, 07:25 a écrit:
Le pitch, c'est le pas du sillon, soit l'espace qui sépare le sillon par tour de disque.
Effectivement avant l'ère numérique, le signal qui pilotait les graveuses était fourni par une machine disposant d'un retard analogique couplé à un système de mesure du volume sonore couplé à indicateur de la position radiale et angulaire de la tête de gravage pour les plus complexes
Il existe peut-être encore un ou deux systèmes en fonction.
Ou alors un pilotage manuel du pas.
Et il a y toutes les compensations de la tête de gravage qui sont depuis des lustres numériques, plus simple, de meilleure qualité et moins cher.
PFB
03 Fév 2017 à 00:15
03 Fév 2017 à 00:23
Gism » 01 Fév 2017, 09:03 a écrit:Toute la question est de savoir à partir de quelle année le retard numérique a commencé à être installé sur les machines à graver. My guess. Début des années 80.
PFB » 01 Fév 2017, 11:10 a écrit:Le master est généralement un support multi-pistes, il doit être mixé en stéréo pour être écoutable. Chaque piste mono subira des étapes d'équalisation, compression et de stéréophonisation (écho) puis elle sera mixée ou "pan-ée" selon qu'on veut le sax à gauche ou à droite.
Une fois la réduction en 2 pistes "stéréo" satisfaisante, le studio livre un master à l'entreprise chargée de le multiplier. Celle-ci adaptera certains paramètres à la technologie CD ou vinyle. En vinyle l'entreprise équalisera sévèrement la bande passante, elle appliquera un filtre mono (elliptique) sur une partie du spectre et compressera la dynamique pour s'adapter au support.
On fait de même pour un CD, mais le mastering peut être plus libre, exit le filtre elliptique, bande passante peut être plus large, dynamique plus large, mais faut y aller molo, au risque de faire péter les chaines d'audiophiles.
Le mastering soit en "mix down" ou soit pour s'adapter à un support sont des étapes clefs du "son". Et l'industrie n'a aucun intérêt à communiquer sur les procédés vu que par exemple l'entier de sa production et monaurale. Elle laisse l'audiophile dans la panade et celui-ci s'extasie de la "profondeur" de "l'espace" qui n'est que synthétique.
Il n'y a aucun intérêt à comparer les CD et LP's car le mastering induit par le "support" induira de grosses différences. Et il n'y a aucun intérêt à comparer un CD avec un fichier numérique si le procédé n'est pas décrit. Car même si le producteur décide de générer un fichier HD "super master" celui-ci ayant été "down-mixé" pour du CD il serait plus fin de tout reprendre pour un support full HD. Mais ça côute et en fin de chaine si c'est pour écouter de la FM ou comme musique de fond dans sa bagnole, au final personne ne fera la différence.
On trouve cependant des maisons qui ouvrent leur masters full HD avec juste une petite touche de -2dB de réduction dynamique mais en classique et en jazz généralement.
L'entier de la musique vendue a perdu sa dynamique et sa spatialité, car c'est la volonté du consommateur.
PFB
Nicodimdom » 01 Fév 2017, 12:55 a écrit:Pas de prise en mono dans un live de classique ou jazz en tout cas réalisé avec 2 (ou 3) micros.
Concernant la dynamique. Discuter sur les possibilités théoriques des supports ne rime à rien. Parlons pratique, réalité à l'écoute chez soi. Comme nous le dit PFB, pour ne pas faire voler les membranes des HP des chaînes audiophiles (imaginez les autres alors :cheesygrin: ) il y a tripatouillage. Donc concentrons-nous sur les produits finis.
Si on s'entend sur la définition de la dynamique = différence entre les sons les plus faibles et les sons les plus forts, alors, il est facile de trancher la question.
A la mesure (décibelmètre) du volume sonore qui arrive à mes oreilles...
sur CD, j'ai mesuré une dynamique de 50 à 53 db à la place d'écoute sur le boléro de Ravel (Abbado et le LSO chez DG) et le live de la symphonie n° 3 de Mahler (Bernstein chez DG aussi). Ce sont des CD qui à l'oreille me paraissent être deux bons exemples de CD ayant la dynamique la plus grande (surtout le Bernstein).
Pouvez-vous faire la même chose avec vos vinyles et venir nous en parler? (Je n'ai plus de platine depuis longtemps). Ces mesures peuvent être faites sans problème avec votre smartphone et sur d'autres enregistrements en vinyle. Ceux qui vous donnent la plus grande impression de dynamique (pas de niveau sonore, attention!).
03 Fév 2017 à 00:37
-En même temps, depuis les années 80, sur un plan purement artistique, c’est quand même la pauvreté musicale à outrance ( il n'y a qu'à écouter FIP), et désolé, mais pour ma part, les "boîtes à rythme, et la musique électro et compagnie, ce n’est vraiment pas ma tasse de thé, et ce n'est pourtant pas faute d'avoir essayé à maintes reprises (c’est vrai que pour toutes ces "daubes" le numérique en MP3 ultra compressé suffit déjà amplement)..
03 Fév 2017 à 10:41
mattera » 02 Fév 2017, 22:12 a écrit:mais pour ma part, les "boîtes à rythme, et la musique électro et compagnie, ce n’est vraiment pas ma tasse de thé
mattera » 02 Fév 2017, 22:12 a écrit:Non bien sûr, mais c'est quand même l'âge d'or, époque KARAJAN et compagnie, et dans le classique que j'aime on n'a pas inventé l'eau chaude depuis bien longtemps, quand on aime MOZART, BEETHOVEN, BRAHMS, VIVALDI, TCHAÏKOVSKI, HAENDEL, WAGNER, etc, etc, etc , on n'a vraiment pas grand chose à chercher ( à part du "réchauffé") après les années 70, du moins sur le plan artistique et interprétation...
03 Fév 2017 à 10:54
03 Fév 2017 à 11:37
joperrot a écrit:Le trajet du signal numérique sur un mix d'orchestre peu être très destructeur...il faut vraiment évaluer ses logiciels.
joperrot a écrit:il faut vraiment évaluer ses logiciels.
joperrot a écrit:Juste une tête de prelecture sur le magneto, pas besoin de se compliquer la vie...sauf à partir de 1990
03 Fév 2017 à 18:21
jeanpascalg » Aujourd’hui à 09:41 a écrit:Je croyais que tu écoutais dépêche mode ?
Après la véritable techno n'as jamais été présente dans les médias. Tu as pleine choses ici:
Le coin de la musique techno
Pour Beethoven, Brahms Tchaikovski et Wagner peut être
Pour Mozart en partie mais pour Haendel ou Vivaldi l'age d'or c'est les années 90 quand on a redécouvert leurs opéras car avant Haendel c'était les Feux d'Artifice Royaux et la Water Music et pour Vivaldi les concertos pour violons. Pour les sonates de Scarlatti c'est l'intégrale Scott Ross des années des années 80 qui fait autorité.
Mais tu ne connais pas car ton approche est audiophile.
03 Fév 2017 à 18:24
Mais tu ne connais pas car ton approche est audiophile.
03 Fév 2017 à 19:47
03 Fév 2017 à 20:22
03 Fév 2017 à 20:51
Xkss a écrit:Ceci dit, Ross doit être le seul à avoir fait une vrai intégrale. Faut se les taper les 500 sonates!
03 Fév 2017 à 20:58
03 Fév 2017 à 21:19