Configuration Hi-Fi: Ensemble Principal : Serveur OLIVE 04HD Récepteur AUNA FM/DAB+/IP/USB pour les radios sortie SPDIF Minidisc SONY MDS-JB980 Préampli TACT RCS2.2X 2 x amplis TACT S2150 en filtrage actif Basses/Mediums+Aigus Enceinte CONFLUENCE CANTILENE modifiées sur plaques de marbre avec patins STABREN Conditionneur secteur IREM Casques : sans fil SENNHEISER RS220 pour le jardin,Sony MDR-CD3000 pour la discrétion, STAX 252 + casque pour les écoutes détaillées.
Ensemble secondaire dans le labo : Interface Olive 03 Récepteur AUNA DAB+/IP/USB pour les radios sortie SPDIF Convertisseur DENON DA500 amélioré Syntoniseur SONY S770ES Minidisc MDS-JB730 Préampli B&K PRO10 Ampli PIONEER SPEC-4 Enceintes ELIPSON SIGNATURE 101 sur pieds de marque oubliée
Mulidine Harmony v3 Ennium P3 (made in Grenoble) Krell KSA50 MkII Drive MF CD PRO 2 DAC Audioresearch DAC8 Radio et démat LUMIN U2 VPI Aries 3 / Benz Référence Prepre Hiraga (made in Marseille)
RCA HMS Gran Finale HP HMS Gran Finale et En numérique : Wireworld Micro-Platinum Eclipse 8 AES/EBU digital cable Barette LH Audio 6 prises + NEOTECH NEP-3001 III Plaquage Argent 5.26mm² avec Viborg Cuivre pour la LH Audio (Après avoir joué au bonneteau c'est là qu'il excelle) HMS Gran Finale SL Jubilee sur Préamp Ennium Chinoiseries copie Nordost pour le Krell et le DAC ELECAUDIO CS-321B + Prises VIBORG VE512S argent pré phono
un personnage dans son art mais très sympa dans le relationnel ou au travail pour l'avoir côtoyé en longue résidence ce qui m'a permis de le découvrir et de m'intéresser à sa musique, n'ayant pas d'affinité jusqu'alors je suis triste !
Configuration Hi-Fi: jbl dd55000,pré et blocs 300b et gm70 Diafan lecteur cd Meridian 508, pc et dac Fx audio pour Quobuz cables:plats pour passer sous le tapis
On l'avait vu , avec ma Fleur, il y a peu à Nantes. Et puis ses disques tournent souvent à la maison. J'aimais le bonhomme et ses chansons. Ca fait toujours chier ces moments-là.
Configuration Hi-Fi: Syst du rdc: Harman Kardon 680 et des JBL LX 2005 + Cd: Marantz CD-75 II + DAC Alchemist STD1
syst du 1er: préampli Sumo Athena 2 ou Vincent LS1 + Marantz cd-42 II + 2 blocs Rega Exon mk3 et des Pierre Etienne Leon Engy ou Quattro Reference
Marantz CD-42 mk2, CD-75 mk2 et CD-60 mk2 (en drives)
DAC: Icos DAC A Rotel RDD 1580
Amplis: Prima Luna Prologue One Audionote Oto SE de 1996 tubé en Dario pour la partie préampli et en 6P14P-EV pour la puissance. Harman Kardon HK 680 Icos Init 350
Tuners: Marantz ST450 Uher UG-750
Enceintes: JBL LX 2005 Atantis Acoustique Miage mk1 Castle Durham et surtout des Pierre Etienne: LEON Quatro Référence ou Engy S2.3
Cables: modulation: VDH The First Ultima, HPK l'Espace (le bleu)
Sa voix résonnait étrangement en nous, sa tristesse était profonde et nous parlait, l'homme était un surdoué certes mais la singularité de son art, sa musique souvent sombre s'imposaient à nous avec une grande force... Son goût des ballades en Auvergne, mais son refus des régionalismes parlent en moi aussi... Adieu l'ami...
Il m'a bien fait chier ces dernières années, car je ne retrouvais plus dans ses albums récents l'émotion du "Manteau de Pluie" (d'accord avec Christian) ou de "Dolorès" pour ne citer qu'eux. Ces dernières œuvres m'exaspéraient (inspiration un peu simpliste, profitant peut-être de sa facilité d’écriture, manie de se prendre pour un faux Neil Young, voix forcée sortant du nez...). Mais là, malgré tout, ça fait un choc. Ça fait bizarre. Sa disparition me rend inéluctablement triste. Il est un ami qu’on avait perdu de vue et qui redevient soudain un ami. Ça avait commencé avec ce morceau, « Si je devais manquer de toi », entendu par hasard, une nuit à la télévision en 1987. Et là, c’est lui qui s’est « glissé sous ma peau », insidieusement et sans discussion. Un peu comme l’avait fait « Tous les garçons et les filles » en 1964. Il se passait un truc.
Depuis il a quand même traversé nos vies, voix unique, sensibilité à fleur de peau, vrai poète et personnalité entière. Bien sûr sa causticité était un peu gratuite, brutale parfois, même si elle pouvait me faire rire. Sensibilité et aigreur, fragilité et carapace, Docteur Jekyll et Monsieur Hyde, comme Serge ? Mais son amour pour « son » Sancy rattrapait beaucoup de choses. Et il y avait dans sa voix enveloppante ce petit nodule d’écorché vif caché dans l’arrière gorge qui faisait la différence. Il n’était pas fait pour la médiocrité, il était comme un troubadour fragile et amoureux, comme un berger qui marche dans la montagne, chantant l’amour et ses souffrances en dehors des sentiers battus du show business.
Et aujourd’hui sort son « Best of », le seul en 30 ans de carrière, celui qu’il avait toujours refusé auparavant. Sa grand-mère était sorcière, racontait-il. On le croit volontiers et à l’écoute l’émotion nous reprend.
Il m'a bien fait chier ces dernières années, car je ne retrouvais plus dans ses albums récents l'émotion du "Manteau de Pluie" (d'accord avec Christian) ou de "Dolorès" pour ne citer qu'eux. Ces dernières œuvres m'exaspéraient (inspiration un peu simpliste, profitant peut-être de sa facilité d’écriture, manie de se prendre pour un faux Neil Young, voix forcée sortant du nez...). Mais là, malgré tout, ça fait un choc. Ça fait bizarre. Sa disparition me rend inéluctablement triste. Il est un ami qu’on avait perdu de vue et qui redevient soudain un ami. Ça avait commencé avec ce morceau, « Si je devais manquer de toi », entendu par hasard, une nuit à la télévision en 1987. Et là, c’est lui qui s’est « glissé sous ma peau », insidieusement et sans discussion. Un peu comme l’avait fait « Tous les garçons et les filles » en 1964. Il se passait un truc.
Depuis il a quand même traversé nos vies, voix unique, sensibilité à fleur de peau, vrai poète et personnalité entière. Bien sûr sa causticité était un peu gratuite, brutale parfois, même si elle pouvait me faire rire. Sensibilité et aigreur, fragilité et carapace, Docteur Jekyll et Monsieur Hyde, comme Serge ? Mais son amour pour « son » Sancy rattrapait beaucoup de choses. Et il y avait dans sa voix enveloppante ce petit nodule d’écorché vif caché dans l’arrière gorge qui faisait la différence. Il n’était pas fait pour la médiocrité, il était comme un troubadour fragile et amoureux, comme un berger qui marche dans la montagne, chantant l’amour et ses souffrances en dehors des sentiers battus du show business.
Et aujourd’hui sort son « Best of », le seul en 30 ans de carrière, celui qu’il avait toujours refusé auparavant. Sa grand-mère était sorcière, racontait-il. On le croit volontiers et à l’écoute l’émotion nous reprend.
..Merci beaucoup pour ce très bel éloge....moi aussi je suis immensément triste...je l'avais rencontré à plusieurs reprises dans les restaurant ou je travaillais....le fait d'être Auvergnat nous avait rapproché, nous parlions avec le même coeur de notre Auvergne! J'adore son oeuvre...son insolence...