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Comment êtes-vous venus au classique?

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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #101 par fedup » 13 Avr 2012 à 19:24

pascal94 » 21 minutes ago a écrit:En cas de récidive :

[ Video ]


Si ça c'est pas de la fourberie ! Nous attendrir avec ses "Ouin ! Je comprends rien à la grande musique, aidez-moi !  :cry: "

Puis nous laisser nous épancher, voire nous répandre, en réminiscences plus ou moins rances surannées...

Tout ça pour nous infliger ses horribles turpitudes technoïdes impossibles à supporter plus de 30 secondes  :evil:
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #102 par pascal94 » 13 Avr 2012 à 19:37

fedup a écrit:

Si ça c'est pas de la fourberie ! Nous attendrir avec ses "Ouin ! Je comprends rien à la grande musique, aidez-moi !  :cry: "

Puis nous laisser nous épancher, voire nous répandre, en réminiscences plus ou moins rances surannées...

Tout ça pour nous infliger ses horribles turpitudes technoïdes impossibles à supporter plus de 30 secondes  :evil:

Même pas, faut bien l'éduquer, l'ancètre.

Pascal.
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #103 par Jubilator » 13 Avr 2012 à 20:10

pdobdob » 13 Avr 2012, 10:35 a écrit:C’est bien de remettre les choses à leurs places.

La découverte de la musique classique c’est fait quand j’étais petit à l’heure du gouter avec un morceau de pain et un morceau de chocolat, allongé sous le piano écoutant ma maman jouer du Chopin.

Pierre.

Ps : aujourd’hui je n’écoute plus Chopin, j’ai été vacciné. :mrgreen:
Ps²: de toute façon c’est toujours la faute des parents. :neutral:

N'oublie pas les éclats de pistache sur le chocolat. Très important, ça, les éclats de pistache ! :wink:
Comme dit Jauni du Sud (un gars rare) : "C'était mieux à Vence"
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #104 par Pascal38 » 16 Avr 2012 à 23:29

pascal94 » 12 Avr 2012, 21:20 a écrit:Par contre, les photos des pochettes de classiques sont plutôt à chier, vous avez vu la tronche qu'il tire le gars?


Meuh non, meuh non, il suffit juste de choisir les bonnes. Par exemple :

ou

Accessoirement (et tant qu'à faire), ces disques sont également très bons !

Sinon, as-tu déjà essayé ce genre de trucs ? Et si oui qu'en penses-tu ?

ou

Évidemment, ce n'est ni mozarte, ni bite-au-vent, et encore moins barre ... Mais l'utilisation de la puissance de la masse orchestrale me semble particulièrement intéressante, sans compter la mise en valeur de la variété des couleurs des timbres des différents pupitres.



Hors-sujet ?
"Je ne peux rien expliquer, tout est dans la Musique". John Coltrane
Sax alto Selmer, Hautbois Rigoutat, et ... + de 2500 CD de tous styles, écoutés sur du 100% British non-vintage (CD / intégré Cambridge & boites à Musique Kef)
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #105 par fedup » 21 Avr 2012 à 02:30

Pascal38 a écrit:Hors-sujet ?

Oui.
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #106 par lcartau » 14 Aoû 2012 à 10:00

jeanpascalg » 12 Avr 2012, 10:40 a écrit:
Oui mes parents en écoutaient entre autre et à 5 ans on m'a offert mozart raconté aux enfants par gérard philippe.

Après effectivement les imf sont trop lentes pour bien restituer la musique classique. Pour le rock et la pop ce qui est primordial c'est la densité du message et la bande passante des enceintes pour la musique classique ce sont les transitoires la rapidité et la dynamique.

je rajouterais que tout dépand ce que tu as trouvé dans les brocantes, bien souvent à un euro on va trouver du bach par raymond leppard,   et autres choses pas vraiment terribles. Tu écoutes quoi par exemple ?


J'ajouterais volontiers l'image JP.
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #107 par lcartau » 14 Aoû 2012 à 10:43

pascal94 » 11 Avr 2012, 21:20 a écrit:Je ne sais pas comment vous faites, mais plus j'achète du classique (quand je vois des disques comme neufs dans les vides greniers je ne peut m'empécher et j'ai un tas de beaux coffrets que je n'écoute jamais) et plus ça me gave, il va falloir que j'arrête ou qu'on m'explique comment apprécier, car je pense que je perds beaucoup.

C'est quoi le truc, vos parents en écoutaient, auquel cas c'est niqué pour moi?
Si oui, y a-t-il encore une possibilité d'y venir plus tard?

Dernière possibilité : ne pas se forcer.

Pascal.


Salut Pascal, c'est un peu dommage que je n'ai pas lu cette interrogation avant le repas de l'autre soir  :wink:  .

Bon si je dois résumer mon parcours personnel. Il tient surtout et principalement à ce que l'on est assez souvent d'ailleurs. Je suis sans doute un bel exemple de scientifique contrarié. J'exerce un métier lié à la science et j'ai été formé à cela, finalement tôt, peut être trop tôt. Nous vivons dans des sociétés, où en fonction du goût initial des gens, de ce dont ils sont capables, on les oriente. J'étais donc plutôt bon en mathématiques, et j'adorais la biologie. Naturellement, ça rassure pleinement des parents qui vous orientent fissa vers une seconde déjà très orientée vers une terminale scientifique. Jusque là bonheur total, sciences et mépris pour le reste des autres matières, poliment "entretenues" autant pour des raisons de bulletins scolaires à équilibrer, que de correction envers mes parents. Et ça que se niche le petit grain de sable... Une mère prof de Lettres Classiques et un père prof d'Arts Appliqués. Il est assez évident que j'ai fait une réaction adolescente à l'univers familial. Pas méchamment, mais l'incroyable puissance de la logique des sciences c'est imposé comme un dogme incontournable. Quand on a 14 ans et que l'on se dit que l'on va comprendre la matière, et que tout n'est que flux et organisation de la matière, on tombe dans le panneau.

Là ça peut paraitre bizarre: quel est le lien de tout cela avec la Musique ? Le même qu'avec toute forme d'Art en général. A 14 ans, je ne suis certainement pas envahi par la beauté formelle de l'Art, et pour autant que je puisse en appréhender le fond, je ne suis en mesure que de le concevoir comme une résonance à d'autres fonctions sociales collectives de groupes humains se posant des questions face à l'éternité et à leur réalité de mortels ( ce qui donna lieu finalement à la Religion). L'Art finissant et commençant à Lascaux. Je caricature, mais je reste persuader que nombre de mes collègues et de mes camarades de promo ont un regard bien veillant sur l'Art qui est de cet ordre ethnologique primaire.

Alors ce grain de sable? D'abord un père incroyablement cinéphile. Au début je me suis sans doute pris au jeu par curiosité d'approcher un peu l'animal solitaire et taiseux qu'était mon père face à ces deux adolescents de fils. Et puis... Et puis on ne peut pas rester insensible à la Soif du Mal dans un cinéma de quartier. On n'arrive pas à échapper aux Kurosawa, à La Ronde ,etc... Bref il y a un moment où la part de doute t'envahit. En seconde, je me suis mis à lire comme un forcené. Je dormais déjà peu, et j'ai englouti presque de manière boulimique les bibliothèques maternelles et paternelles.

Je ne sais pas comment le décrire, mais après la confrontation au Mot, qui finalement est un objet très scientifique, j'ai senti que la langue, et donc l'Art véhiculait plusieurs messages combinés. Que leur complexité, leur assemblage ouvraient des possibilités de messages moins "palpables" , moins "intelligibles" que je l'avais envisagé.

Au cinéma il y avait des chocs musicaux. Bien sûr Kubrick, mais cela restait une utilisation de la musique. Et puis bêtement, il y a eu un film qui m'a fortement interrogé. Pour beaucoup de mélomanes cinéphiles il est sans intérêt, mais pour moi il fut sans doute là au bon moment: Tous les matins du Monde. Je ne l'ai d'ailleurs jamais revu. Mais en sortant de la salle, le timbre et la structure de la Viole de Gambe, m'ont fortement poussé à aller plus loin. J'ai donc commencer totalement par hasard par le Baroque. J'allais écouter interrogatif des formations baroques, n'ayant aucune science de cette musique, mais je recherchais de la matière, et des échanges fabuleux avec le silence.

J'ai donc commencer par aller voir de fabuleuses choses à Saintes en Charente. Puis souvent, passaient d'excellents musiciens à Bordeaux. J'ai vu Jordi Savall, William Christie, Magloire, La petit bande etc... et j'ai découvert les grands musiciens français du XVIIème, ainsi que les italiens.

J'habitais non loin du grand théâtre à Bordeaux, un très bel Opéra XVIIIème, et par la force des choses, allant acheter mes places pour des concerts de musique baroque, j'ai petit à petit glissé vers la musique chambre, et les récitals instrumentaux. Et un jour j'ai assisté à un concert symphonique... Là c'était foutu. J'étais complétement transporté. Je ne sais pas si tu as déjà eu cette sensation de courant électrique qui te traverse la colonne vertébrale, mais c'est assez incroyable. J'avais l'Océan face à moi. Des échanges d'une incroyable beauté entre les différents éléments de l'orchestre, et un équilibre souvent magnifique entre un message global et les finesses des masses orchestrales qui se répondent.

En fait, la musique polyphonique est une matière magnifique. Elle m'a souvent subjuguée par sa capacité à offrir une multitude de point de vue. Et la vision simultanée de ces points de vue, me ravit incroyablement.
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #108 par lcartau » 14 Aoû 2012 à 10:50

PP_65 » 13 Avr 2012, 12:19 a écrit:
Moi, à 15 ans, j'ai décidé d'être vieux, le problème est résolu . Ce qui me permet d'éviter tous ces machins .


Fabuleux  :wink:  ! C'est assez fantastique, plein d'autodérision, et sans doute de lucidité. J'aime beaucoup, on dirait le début d'un roman. "A 15 ans, j'ai décidé d'être vieux". Du Sallinger peut être ?
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #109 par PP_65 » 14 Aoû 2012 à 11:04

Jamais lu Salinger !
Je l'ai déjà dit, tout petit, j'adorais , lorsque l'ORTF diffusait des concerts  de musique symphonique, le court moment où les musiciens s'accordaient, après, tout le monde marchait au pas, je trouvais cela d'un grand ennui ; je garde aussi un bon souvenir d'une prof de musique nous passant Pacific 231, malheureusement pas sur une chaîne Autruchienne , parce que j'avais une envie furieuse de monter le volume .
Le rock prog et ses esbroufes a tout fait pour me pousser hors du Classique, heureusement que Zappa revendiquait d'autres influences que les perruqués , ce qui m'a permis ( grâce au Jazz aussi) d'écouter un peu de Classique , de manière précise, je m'arrête presque à Bach pour recommencer à Debussy .
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #110 par lcartau » 14 Aoû 2012 à 11:20

PP_65 a écrit:Jamais lu Salinger !
Je l'ai déjà dit, tout petit, j'adorais , lorsque l'ORTF diffusait des concerts  de musique symphonique, le court moment où les musiciens s'accordaient, après, tout le monde marchait au pas, je trouvais cela d'un grand ennui ; je garde aussi un bon souvenir d'une prof de musique nous passant Pacific 231, malheureusement pas sur une chaîne Autruchienne , parce que j'avais une envie furieuse de monter le volume .
Le rock prog et ses esbroufes a tout fait pour me pousser hors du Classique, heureusement que Zappa revendiquait d'autres influences que les perruqués , ce qui m'a permis ( grâce au Jazz aussi) d'écouter un peu de Classique , de manière précise, je m'arrête presque à Bach pour recommencer à Debussy .


C'est déjà pas mal  :wink: . Après je peux totalement comprendre que l'on ait envie que la musique soit autre chose qu'une répétition bien "orchestrée" d'un truc déjà écrit. Bien que, si tu réfléchis à l'infiniment possible dans un cadre contraint, on arrive aisément à parcourir d'innombrables territoires dans un exercice borné.

Sinon lis l'Attrape-Coeurs, je suis persuadé que ça devrait te plaire.
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Message #111 par CC44 » 14 Aoû 2012 à 11:35

Tout ça me fait penser ( donc être ) que j'ai un gros stauque de vinyls classiques de Abba, Albinoni  à Wagner ZZ TOP dont je me dis que j'en garderai finalement que certains du genre des petites sonates façon larme à l'oeil ( pas cher ) ou des p'tites nocturnes façon coin du feu d'hiver et âme errante ( à 4% avant impôts ).

Mais vu que ça me fait chier grave de chez grave ( y en a! ) de faire des PA comme lou Cartau de Bordeaux , je me dis que laisser mon tél en mp, me faire appeler et faire un inventaire rapide au téléphone selon le goût de l'appelant ( pour faire vite ) façon j'ai / j'ai pas  vu que c'est classé, ce serait pas con?

Qu'en disent les irradiants de ce forum?
Le meilleur moyen de voir à moitié pleine une bouteille à moitié vide est de la vider.


En attendant ce qui arrivera , posons-nous les vraies questions : http://www.youtube.com/watch?v=T3wCaIO7wPY
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #112 par lcartau » 14 Aoû 2012 à 11:57

CC44 a écrit:Tout ça me fait penser ( donc être ) que j'ai un gros stauque de vinyls classiques de Abba, Albinoni  à Wagner ZZ TOP dont je me dis que j'en garderai finalement que certains du genre des petites sonates façon larme à l'oeil ( pas cher ) ou des p'tites nocturnes façon coin du feu d'hiver et âme errante ( à 4% avant impôts ).

Mais vu que ça me fait chier grave de chez grave ( y en a! ) de faire des PA comme lou Cartau de Bordeaux , je me dis que laisser mon tél en mp, me faire appeler et faire un inventaire rapide au téléphone selon le goût de l'appelant ( pour faire vite ) façon j'ai / j'ai pas  vu que c'est classé, ce serait pas con?

Qu'en disent les irradiants de ce forum?


Qu'a minima tu devrais faire une liste. ça veut dire pour aller vite que tu peux faire cela avec Compositeur(s) , interprète(s), label et n° du disque au sein du label. Après bien sûr Etat du dit disque. C'est un peu chiant, mais il te faut les écouter un par un. Parce que je peux te dire que j'ai vu des disques intacts visuellement, voir parfaits, complétement labourés par des cellules sur lesquelles il ne devait rester que le cantilever.

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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #113 par PP_65 » 14 Aoû 2012 à 12:31

Après je peux totalement comprendre que l'on ait envie que la musique soit autre chose qu'une répétition bien "orchestrée" d'un truc déjà écrit. Bien que, si tu réfléchis à l'infiniment possible dans un cadre contraint, on arrive aisément à parcourir d'innombrables territoires dans un exercice borné.

Sinon lis l'Attrape-Coeurs, je suis persuadé que ça devrait te plaire.

Toutes les musiques , mêmes les improvisées, opèrent dans un cadre précis qui induit de répétitions des reproductions de gestes musicaux ;  je pense que mon problème avec le Classique tient à la fois à l'harmonie que je ne trouve pas assez dissonante et au fait qu'il est trop une musique à programme .
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #114 par CC44 » 14 Aoû 2012 à 12:39

lcartau » 14 Aoû 2012, 11:57 a écrit:

Qu'a minima tu devrais faire une liste. ça veut dire pour aller vite que tu peux faire cela avec Compositeur(s) , interprète(s), label et n° du disque au sein du label. Après bien sûr Etat du dit disque. C'est un peu chiant, mais il te faut les écouter un par un. Parce que je peux te dire que j'ai vu des disques intacts visuellement, voir parfaits, complétement labourés par des cellules sur lesquelles il ne devait rester que le cantilever.

Loïc


Je vais suivre ton conseil et je ferai alors un taupe haut ( taupe est invariable , mais peu le savent ) par compositeur.
Pas à pas...
Le meilleur moyen de voir à moitié pleine une bouteille à moitié vide est de la vider.


En attendant ce qui arrivera , posons-nous les vraies questions : http://www.youtube.com/watch?v=T3wCaIO7wPY
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #115 par lcartau » 14 Aoû 2012 à 12:57

PP_65 » 14 Aoû 2012, 12:31 a écrit:
Toutes les musiques , mêmes les improvisées, opèrent dans un cadre précis qui induit de répétitions des reproductions de gestes musicaux ;  je pense que mon problème avec le Classique tient à la fois à l'harmonie que je ne trouve pas assez dissonante et au fait qu'il est trop une musique à programme .


Et pourtant ! Dutilleux et Debussy (mais tu l'as déjà dit). Tu as aussi essayé Philip Glass je suppose.
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #116 par PP_65 » 14 Aoû 2012 à 13:53

Glass, je n'accroche pas trop mais je n'ai pas approfondi, au contraire de Reich .
Tu as raison , il y a du programme chez , par exemple,  Debussy , mais je ne l'entends pas , dans "jeux d'eau", je me noie juste dans le son .
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #117 par lcartau » 14 Aoû 2012 à 14:22

PP_65 a écrit:Glass, je n'accroche pas trop mais je n'ai pas approfondi, au contraire de Reich .
Tu as raison , il y a du programme chez , par exemple,  Debussy , mais je ne l'entends pas , dans "jeux d'eau", je me noie juste dans le son .


Oui et dans La Mer également. C'est splendide de dissonance. Je pense que Debussy a réinventé la Musique. Son influence est quand même déterminante pour la suite.
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #118 par lcartau » 14 Aoû 2012 à 15:16

Sinon juste une remarque d'un forumeur en MP, Jeux d'eau est de Ravel. Je pense que PP voulait parler de Reflets dans l'eau, une superbe pièce par ailleurs, bien de Debussy.
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #119 par Flo27 » 14 Aoû 2012 à 18:17

PP, pour le dissonant, essaye Ohana.
Ou pourquoi pas tout simplement Bartok ?
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Re: Comment êtes-vous venus au classique?

Message #120 par PP_65 » 16 Aoû 2012 à 11:27

lcartau » 14 Aoû 2012, 14:16 a écrit:Sinon juste une remarque d'un forumeur en MP, Jeux d'eau est de Ravel. Je pense que PP voulait parler de Reflets dans l'eau, une superbe pièce par ailleurs, bien de Debussy.

Me suis mélangé les pinceaux, j'avais bien dans l'oreille la pièce de Ravel, la dernière fois que je l'ai entendue, c'est dans un récital où il y avait aussi celle de Debussy , d'où la confusion .
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