Un olivenstein de moins...

[ZORGL]

Quelle hécatombe cette semaine; Aprés Syl Sylvain, Spector, maintenant Vincent Denis, guitariste historique des Olivensteins..
Aprés no hell, ça continue de sentir le sapin..
Z

Vincent Denis, le guitariste du légendaire groupe punk rouennais Les Olivensteins, est décédé
https://actu.fr/normandie/rouen_76540/v ... 17280.html

[JérômeB]

Je ne connaissais pas.
Je ne dirais pas que c'est ma came préférée, mais ça s'écoute ...  
Merci pour la découverte.

[ZORGL]

Je te laisse découvrir la face B de ce 45T (3titres) culte en espérant que tu apprécieras autant ce morceau-hymne "Fier de ne rien faire" que le son de la Rickenbacker fétiche de Vincent Denis.


Les Olivensteins sont un groupe de punk rock français, originaire de Rouen, en Seine-Maritime. Il est formé en 1978 par le chanteur Gilles Tandy. Malgré une carrière éphémère, ils marquent l'histoire grâce à un 45 tours aux textes nihilistes, désormais très recherché ***** des collectionneurs. Leur plus grand succès est le titre Je suis fier de ne rien faire.

En mars 1979, les Olivensteins sortent en autoproduction un premier (et unique) 45 tours trois titres, qui est produit par Lionel Herrmani gérant du petit magasin de disque Mélodies Massacre et premier producteur des Dogs. Le disque est logiquement publié par Mélodie Massacre, dont le vendeur est Éric Tandy, le frère ainé du chanteur et parolier du groupe. Les 2 000 exemplaires du 45 tours sont rapidement épuisés et les critiques de la presse rock sont enthousiastes.


**** https://fr.shopping.rakuten.com/offer/b ... tours.html
https://www.cdandlp.com/les-olivenstein ... 116663986/
https://www.discogs.com/fr/sell/release/2561891?ev=rb
(je le posséde en état mint & il n'est pas à vendre...Comment que je me la pète sur ce coup !!)
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[freedavid]

Merci pour la présentation de ce groupe.
Un bon son punk rock de l'époque
Ils auraient mérité d'être plus connu!
PUNK'S NOT DEAD  

[pat55]

Ah oui,
je me souviens très bien de ce groupe et de cette chanson "Euthanasie“ que l'on écoutait en boucle.
Ils avaient piqué leur nom au psychiatre claude Olivenstein qui était assez connu à l'époque et menait un combat contre la drogue. Il me semble même qu'il les avait poursuivit en justice pour usurpation de son nom et qu'il avait été débouté.
Tout ça était bien drôle.
Cordialement
Patrick

[ZORGL]

Il me semble même qu'il les avait poursuivit en justice pour usurpation de son nom et qu'il avait été débouté.

Ben non, justement, et c'est ce qui a amené les Olivensteins à se séparer..
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[pat55]

Ben non, justement, et c'est ce qui a amené les Olivensteins à se séparer..

Ah bon ! Trahi par mes souvenirs.
Dommage, ils auraient pu juste changer de nom.

[ZORGL]

Avril 1978 : formation des Olivensteins. Janvier 1980 : dissolution des Oliventeins à l’issue d’un concert à la salle Sainte-Croix-des-Pelletiers à Rouen. L’aventure musicale des Rouennais, Gilles et Eric Tandy, Vincent et Romain Denis, Ludovic Groslier, n’a duré que dix-huit mois

Pourquoi avez-vous choisi ce nom ?

Mon frère avait croisé Olievenstein (psychanalyste très médiatique, ndlr) au concert de Johnny Tunders au Gibus. Il était là pour analyser ce qu’était un punk. A son retour, dans le train, il a pensé à ce nom. Ce qui nous amusait, c’est que cet homme représentait tout ce que l’on détestait. Il était moralisateur et avait tenu des propos cinglants sur le punk. Or, c’était la musique que nous écoutions à l’époque.

Comment avez-vous vécu la dissolution du groupe ?

Il a fallu relancer la machine. J’étais chanteur et je rêvais d’en faire mon métier. Très vite, six mois après, j’ai attaqué sur autre chose : Les gloires locales avec Antoine Massy-Perier, Christian Rosset.

L’arrêt d’un groupe, c’est toujours un peu confus. Nous commencions à avoir des problèmes avec le docteur qui nous menaçait de procès. De plus, nous n’avions personne pour nous conseiller s’il y avait eu une suite judiciaire. Et nous ne nous étions pas lancé dans cette aventure pour ça. Nous voulions nous éclater, nous amuser avec le public. Nous avions également enregistré un 45 tours sur le label Melodies Massacre mais nous nous sommes heurtés au blocage des maisons de distribution qui n’étaient pas prêtes à prendre des risques.

En fait, nous n’avons pas de regret à avoir parce qu’aucune expérience de groupes de cette époque n’a duré. Il n’y avait rien pour les lancer. De plus, ces groupes étaient en complet décalage avec le show-biz de ces années-là.

https://www.relikto.com/les-olivensteins-au-106/
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[ZORGL]

Le 3ème titre de ce 45T

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