Les PCM1704 et R2R revienne en force

[bphil]

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Rappel sur les signaux PCM

Un signal analogique audio peut être assimilé, en simplifiant au maximum, à une courbe pseudo-sinusoïdale dont la fréquence et l’amplitude varient dans le temps. La technologie de numérisation la plus répandue (le PCM pour Pulse-Code Modulation, en français : Modulation par Impulsion et Codage) consiste à prendre, à des intervalles réguliers, des mesures du voltage de la courbe d’entrée. Deux mesures permettent de qualifier la « qualité » du signal numérique résultant :

La fréquence d’échantillonnage, qui va donner la fréquence à laquelle sont mesurés les voltages et permet donc de calculer l’intervalle temporel entre deux mesures (valeur typiques : 44.1kHz pour un CD, 48kHz pour les DVD, 96 ou 192kHz pour les enregistrements en haute définition). Pour des raisons de calcul de phase et de détection des fonts montants ou descendants, la fréquence d’échantillonnage limite également la fréquence mesurable la plus haute. Le théorème de Niquist-Shannon stipule que les fréquences supérieures à ½ de la fréquence d’échantillonnage ne pourront pas être reconstruites par la conversion numérique-analogique.

La précision de la quantification, qui va indiquer le nombre de paliers qui vont permettre de coder la hauteur du signal mesuré. Dans le domaine de l’audio, les paliers sont linéaires, l’écart de voltage entre deux paliers étant, pour une quantification donnée, unique. Cette mesure est donné en bits, le nombre de palier étant égal à 2^n, avec n la précision de quantification exprimée en bits. 1 bit = 2 paliers. 16 bits = 65536 paliers, pour ce qui est la valeur de quantification utilisée pour les CD audios.

Les flux numériques représentent une suite de mots binaires, chaque mot représentant un échantillon (la longueur du mot dépend donc de la précision de la quantification). Le signal ne porte pas de codage temporel, c’est au lecteur de reconstruire le comportement dans le temps du signal en adaptant la vitesse de décodage des mots à la fréquence d’échantillonnage. Autant vous dire que le lecteur, il a un peu de pression !

[AJMARS]

AJMARS inside....

A plus
André

[bphil]

oui tu l'avais déjà dit ou nous sommes au moins d'accords ce qui est rare pour être dit.

Avant j'étais en 24/357 un truc comme cela, ce qui se passe est que le medium est bien moins résolvant, ainsi que la dynamique, le seul défaut serait une bande passante moins large en comparaison direct.

mais en écoutant plus profondément, on se rend compte que cette largeur est au détriment des autres secteurs.

[AJMARS]

Le mien travaille en x8 généralement avec deux surech au choix DF1704 (ce qui est installé en ce moment) ou Pacific Microsonic PMD100 que la carte accepte aussi...

avec une entrée en 44.1 kHz, le DAC est alimenté en 352.8 kHz (24 bits) avec deux types de transitions possibles dans l'aigu avec le DF1704 (slow ou fast).

Après des tonnes d'essais sur le convertisseurs I/V, passif, transfo, tubes, fets, etc, je suis revenu au AD797...

PS... en fait on est d'accord sur pas mal de choses à part la taille des boomers....    

A plus
André

[xela]

mon DAC audio gd a cette même configuration:

BB PCM 1704, et au choix un module avec DF1704 ou un autre avec PDM100

et j'ai des 38 Altec

Alex

[bphil]

Pour moi le 38 cm 416-8B est le HP le plus rapide que j'ai entendus.......

[AJMARS]

mon DAC audio gd a cette même configuration:

BB PCM 1704, et au choix un module avec DF1704 ou un autre avec PDM100

et j'ai des 38 Altec

Alex

On a vu pas mal de suréchantillonneurs différents associés à ces DACs y compris des DSP avec des programmes "propriétaires", filtres suréchantillonneurs, interpolation polynomiale...etc ...

A plus
André

[xela]

oui tu as certainement raison car je n'y connais rien  

j'ai simplement suivi tes conseils au niveau du choix du DAC et mes oreilles en sont satisfaites

A+

Alex