Gadget visuel inutile ? / Qui doit mobiliser des circuits nuisibles à la cohérence de l'ensemble des bouzins ? / te niques la vision plutôt que "l'amour du scuin""
Z
ps;ne pas être confronté à ces zaiguilles en mouvment perpétuel (priez pour nous)/ leds en folie est reposant je trouve (A Mes Zoeils)
psbis: à la réflexion , ces zaiguilles servent A RIEN ....sinon à détourner l'attention de l'écoute ?
pster: bon , j'en ai pas donc surement jalouzie (je ne crois pas dans ce cas )
psquater: pas pareil du tout dans un studio , indispensable sur la table
[b]C’est Miller, pas Charlie Watts, qui joue de la batterie sur « You Can’t Always Get What You Want »article [/b]intéressant
Miller méritait une médaille pour « Exile on Main St. »
Les récits de la fabrication d’Exile sont légendaires. Une bonne partie de l’album a été enregistrée dans le sous-sol malfamé du manoir de Keith Richards, dans le sud de la France. Les Stones ne se présentaient que rarement aux sessions, et l’humidité abîmait les instruments. La salle de contrôle était installée dans un camion stationné à l’extérieur du manoir, ce qui rendait la communication entre l’équipe de production et les musiciens difficile. Et bien sûr, le maître de maison, Keith Richards, consommait une grande quantité d’héroïne, auquel Miller allait succomber. Il n’est pas étonnant que dans According to the Rolling Stones, Keith Richards déclare : « Le nom de Jimmy Miller est écrit en lettres d’or au paradis du rock’n’roll. Travailler dans de telles conditions sans piquer une crise, c’est admirable. »