25 Mai 2024 à 20:27
25 Mai 2024 à 20:52
25 Mai 2024 à 21:34
26 Mai 2024 à 11:00
26 Mai 2024 à 14:45
Jubilator a écrit:Est-ce que tu connais la Cappella Mediterranea de Leonardo García Alarcón ?
26 Mai 2024 à 22:22
simon33 » 18 Mai 2024 à 11:26 a écrit:J'ai cette intégrale depuis longtemps , je n'ai jamais vraiment "accroché" à cause de la prise de son du piano qui est lointain et "maigre" .
Le son du violon de R.Podger est "correct" mais loin des autres enregistrements "superlatifs" de la violoniste sur le même label .
Pseudo » 22 Mai 2024 à 23:26 a écrit:Voici un autre album qui risque de susciter la controverse:
[ Image ]
Près de trente ans après son enregistrement avec l'ensemble 415 de Chiara Banchini, Andreas Scholz revient au Stabat mater de Vivaldi.
Comme Jean-Baptiste Grenouille dans la composition de son extraordinaire Parfum, il l'entoure de jolies choses qui servent de faire-valoir à cette œuvre extraordinaire.
Il ne faut pas tenter de juxtaposer ces deux prestations car le temps a exigé un lourd tribut de la voix de l'interprète: si le médium est assez bien préservé, l'aigu a perdu sa fluidité et son éclat si particulier, et le grave une bonne partie de son aisance.
Mais l'essentiel n'est pas là. On peut grossièrement distinguer, dans l'interprétation de cette oeuvre, ceux, et généralement celles, qui choisissent la Mimésis (l'identification au personnage marial) et ceux qui choisissent l'angélisme, à savoir la plupart des altos masculins.
Pour son retour dans le chef-d'oeuvre vivaldien, Andreas Scholl choisit d'exploiter sa voix, qui est désormais celle d'un homme qui a vécu, pour adopter une posture semblable à celle de l'évangéliste dans les Passions de Bach: le voici témoin et rapporteur de ce drame humain et religieux. Il s'incarne dans ce rôle avec une humanité profondément bouleversante.
L'Accademia bizzantina lui offre un soutien plus varié et imaginatif que le très appréciable Ensemble 415, qui se montrait certes intense, mais moins inventif et précis, dans l'approche de 1995. Les deux enregistrements restent séduisants chacun à sa manière: le plus récent par son son raffinement et la complexité des sentiments qu'il exprime, le plus ancien par sa ferveur portée par une voix unique.
09 Juin 2024 à 22:05
10 Juin 2024 à 11:09
16 Juin 2024 à 14:27
22 Juin 2024 à 22:14
23 Juin 2024 à 07:43
23 Juin 2024 à 08:35
bandit a écrit:un Bösendorfer et un Stenway
23 Juin 2024 à 10:16
23 Juin 2024 à 22:36
Pseudo » Aujourd’hui à 08:35 a écrit:Reste à espérer que les instruments n'aient pas été disposés comme sur la photo pour l'enregistrement...
L'écoute de l'extrait Diap' m'a laissé très sceptique, hélas.
24 Juin 2024 à 10:59
bandit a écrit:A ma gauche, le B, à ma droite, le S. Où se situe le problème, ils sont évidemment parfaitement dissociables à l'écoute.
24 Juin 2024 à 13:44
24 Juin 2024 à 14:16
Nicodimdom a écrit:Je ne vois pas ce qui te permet d'affirmer que les micros sont en opposition de phase.
24 Juin 2024 à 14:42
24 Juin 2024 à 14:48
Pseudo a écrit:Si on les dirige vers la table d'harmonie de manière identique pour les deux instruments, ils seront opposés à 180 degrés, pour les cordes aiguës du moins. Pour le grave, qui devient omnidirectionnel quand la longueur d'onde augmente, c'est moins problématique.
24 Juin 2024 à 15:37