Tout est dans le titre.
20 Oct 2024 à 22:04
une vision personnelle d'une artiste sur les techniques de prises de son numérique. Plutôt rare. Moyennant convaincu toutefois par le résultat audio final, mais il est vrai que le Bösendorfer est un instrument très délicat à capter. Dommage également que le fichier soit déjà passé à la moulinette, un simple 16/44 aurait pu servir de démo intéressante. Peut-être un auditeur dans la salle qui a acheté le LP?
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20 Oct 2024 à 22:08
Déjà, rien que le titre est affreux. La photo, "moi je".
Je passe.
21 Oct 2024 à 12:23
La mégalomanie maximale est une spécialité des chefs d’orchestre et des interprètes dans le monde de la musique classique. Ça n’est pas très original.
21 Oct 2024 à 21:46
pourquoi cette artiste serait-elle mégalo? développe, ça en vaudra peut-être la peine, mais j'en doute...
21 Oct 2024 à 22:15
Je ne parle pas de cette interprète en particulier.
Mais c’est un fait quand tu observes les couvertures de disques en musique classique.
Dans le petit livret du CD de Latry, jouant sur l’orgue de Notre Dame de Paris, il y a environ 15 portraits de lui dans des poses variées…
Je n’évoque même pas le cas Karajan
22 Oct 2024 à 05:38
Ce qui est sûr, c'est que je déteste les interprétations de cette dame. Je ne saurais dire vraiment pourquoi, mais il y a quelque chose de prétentieux, de scolaire dirais-je, qui me hérisse. De plus, elle se pique, maintenant, de donner des conférences. Tout ce qu'on lui demande, c'est de jouer, et de remporter l'adhésion des auditeurs.
22 Oct 2024 à 07:11
EMT » 21 Oct 2024, 22:15 a écrit:Je ne parle pas de cette interprète en particulier.
Mais c’est un fait quand tu observes les couvertures de disques en musique classique.
Dans le petit livret du CD de Latry, jouant sur l’orgue de Notre Dame de Paris, il y a environ 15 portraits de lui dans des poses variées…
Je n’évoque même pas le cas Karajan

c'est la faute à la Nature
c'est pour contenter la quête inconsciente obsessionnelle de Dieu parmi les consommateurs
prenez soin de vos dalles
22 Oct 2024 à 22:31
Pseudo » Aujourd’hui à 05:38 a écrit:Ce qui est sûr, c'est que je déteste les interprétations de cette dame. Je ne saurais dire vraiment pourquoi, mais il y a quelque chose de prétentieux, de scolaire dirais-je, qui me hérisse. De plus, elle se pique, maintenant, de donner des conférences. Tout ce qu'on lui demande, c'est de jouer, et de remporter l'adhésion des auditeurs.
hmmm, pseudo, "de cette dame". "de plus, elle se pique maintenant de donner des conférences". Faut-il déceler ici un quelconque mépris dans tes propos? certes, cette artiste ne semble pas très connue, pourtant, sa discographie est relativement abondante. Disons que certaines de ses interprétations suscitent pour ma part une réflexion, sans nécessairement les apprécier. Elle semble vouloir cultiver une forme de différence. Cela en fait-il une pianiste médiocre, je ne pense pas.
23 Oct 2024 à 01:28
J'avais acheté ce CD, bien intéressant:
mtw0ocbhem8vc_600.jpg
Mais j'ai écouté un bout de ce " Schubert on tape " sur YouTube. Sans soute pas un support idéal pour juger une prise de son, mais tout de même assez significatif il me semble, si j'en crois mon expérience CD vs YouTube.
Mon impression est que cette "dame " a bien tort de se passer des sortilèges d'une prise de son digne de ce nom. Le résultat est d'une matité absolue qui ferait passer le jeu des plus grands pour celui d' amateurs en panne d'inspiration et de technique. A moins qu'on ne soit mis en contact direct avec une vérité, fruit une intention qui se retourne contre l'artiste: elle joue très mal Schubert.
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23 Oct 2024 à 21:25
Accessoirement, je ne peux m'empêcher de lire: "Schubert, on s'en tape"...
25 Oct 2024 à 12:55
Autre fleuron de l'édition phonographique, cette mortadelle de Bach par M. Bartaro la main sur le cœur (qui concède tout de même les caractères gras au nom du compositeur apposé au sien):
- concerto en ré mineur: adagio
- suite pour luth en mi mineur: bourrée
- Passion selon St-Jean: choeur d'ouverture
- sonate pour flute en Mi: siciliano
- ...les trois derniers transcrits par M. Tharaud himself, et ainsi de suite pour 25 numéros du même genre.
https://www.amazon.fr/Bach-Tharaud-Alex ... 117&sr=8-1
25 Oct 2024 à 22:46
J'ai écouté attentivement ce Schubert; enfin attentivement jusqu'au moment où au bout de 5 minutes et 33 secondes j'arrête les frais. Interprétation beaucoup trop mécanique pour moi.
++
26 Oct 2024 à 13:54
ruddy a écrit:J'ai écouté attentivement ce Schubert; enfin attentivement jusqu'au moment où au bout de 5 minutes et 33 secondes j'arrête les frais. Interprétation beaucoup trop mécanique pour moi.
Ses Bach ne valent pas mieux: du sous-Gould, mâtiné d'un peu de Tureck, assaisonné de préciosité pour faire joli.
26 Oct 2024 à 14:33
Le problème avec Gould, c’est qu’il chante (mal) en jouant. C’est assez rédhibitoire.
26 Oct 2024 à 15:41
C'est le mot juste, car dans rédhibitoire j'entends comme "raidi"
26 Oct 2024 à 16:32
Vous êtes bien durs avec Edna Stern.
Son 2ème disque Bach en 2009 est une petite merveille à mon goût : Bach (+ Bach/Busoni, Brahms) : Nun komm, der Heiden Heiland
Et le disque "Chaconne" avec l'extraordinaire Amandine Beyer est plus qu'intéressant.
Enfin, j'aime aussi son disque Chopin de 2010, notamment les nouvelles études (avec le sentiment presque de la découvrir).
26 Oct 2024 à 16:47
je préfère la photo de l’interprète
… pour qu’il n’y ait pas d’ambiguïté je préfèrerai toujours la photo des interprètes à celle du compositeur (en l’occurrence la peinture) mort depuis 2 siècles. c’est elle qui interprète et ça compte pas pour du beurre
Cliquez sur l'image pour l'agrandir
26 Oct 2024 à 21:34
Certes. Mais il joue de manière intéressante en vocalisant les voix secondaires du maître de Leipzig (ou autre lieu, au choix).
.
26 Oct 2024 à 22:17
je n'ai jamais supporté Gould et son jeu ultra-maniéré. Et Dieu sait si j'aime Bach...
27 Oct 2024 à 01:01
bandit a écrit:je n'ai jamais supporté Gould et son jeu ultra-maniéré. Et Dieu sait si j'aime Bach...
A un moment où personne ne se souciait de jouer ou de restaurer des clavecins historiques (1955 tout de même), et d'imaginer, simplement, comment on pouvait jouer Bach au clavier en son temps (si l'on excepte l'incroyable Kirkpatrick sur son clavicorde, qui restait, et reste, inaudible pour beaucoup), Glenn Gould a fait entendre des aspects de Bach qu'on croyait perdus dans la mélasse post-romantique.
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