Tout est dans le titre.
24 Nov 2025 à 19:01
Voilà , j'ai trouvé l'angle d'attaque des 80s : l'éclatement de l'unité culturelle du Rock 60s ; c'était déjà bien entamé pendant les 70s mais c'est devenu clivant pendant les 80s avec des conséquences qui ont rejailli sur mes achats liés comme toujours à mes moyens d'information .
R'nF & Best ont commencé à mettre en avant les gros vendeurs, des futilités ( je suis poli ) comme les interviews d' Ardisson , il fallait être à l'affut pour avoir des pistes intéressantes, les 1ers Inrock ont apporté un peu de fraîcheur mais le ver était dans le fruit ( j'en reparlerai) .
Des disques arrivent .
01 Déc 2025 à 12:28
D'abord, les vieux / survivants et les 80s , du moins ceux que je suivaient ; bref ce n'est pas trop la joie surtout avec Dylan même si il arrivait ( et arrive encore) à sortir sur des albums très moyens quelques grands titres , Reed s'en sortait mieux ( Blue Mask , Legendary Hearts et puis en 89 New York bien sûr) , les Stones ce fut la débandade complète même si j'ai marché quelques semaines avec leurs disques avant de les ranger dare dare ; Bowie ? Passé Let's dance j'ai dû attendre Outside pour l'écouter à nouveau . Et la couvée 77 ? Bon, le Clash ne m'a jamais déçu mais c'était terminé après Combat Rock, j'ai quand même écouté quelques Ramones mais bof, bof au final, en fait j'aurais dû les voir au CBGB en 76 pour accrocher . Jam, oui mais c'était devenu du Classic Rock assez rapidement ( j'ai aimé, une oreille dans la rétromania même si je ne le formulais pas encore comme cela) , les Saints période Chris B, j'ai adoré effectivement ; quant aux Buzzcoks, c'était fini après leur 3 ème ( 79) , j'avais cependant adoré le 1er ( en fait le second après son disque instrumental Sky Yen) Pete Shelley, ma seule incursion dans la Pop à synthé ^^
Costello avait commencé la décennie avec l'incroyable Get Happy , suivi de disques souvent moyens à cause de la production mais aussi quelques grands albums quand même : Imperail Bedroom , King of American selon moi . Son collègue G. Parker me déçut beaucoup même si avec Mona Lisa's Sister, il y eu un retrour de flamme . Je continuais à suivre Pere Ubu et me procurais quelques David Thomas en solo dont un magnifique dans lequel joue Richard Thompson qui faisait partie de ce passé qui était remonté à mes oreilles ces années là, en solo, duo avec son épouse ou avec Fairport ( surtout fin 80s début 90s via des rééditons CD) .
J'oubliais : Tom Waits qui n'a pas chômé pendant les 90s avec Swordfishtrombones , Rain Dogs et Frank's wild years .
Prochaine étape : les disquaires, les revues et bien sûr les nouvelles têtes des 80s ( mais aussi celles que j'ai totalement loupées ) .