"35 mm"
C Robert Fine enregistrait sur le format 35mm pour le label
« Mercury Record Living Presence » mais également pour le label
« Everest » dont il racheta en
1950 l’ancien studio et les machines 35 mm, puis installa en 1958 un complexe d’enregistrement
« Fine Recording Inc »

Ces machines d’enregistrement sonore sur film 35mm étaient transportable et dans les années 1961-63 plusieurs voyages ont permis à Mercury l’enregistrement à Moscou d’orchestres soviétiques.

également pour
« Command Classics Record » l’enregistrement de l’Orchestre Symphonique de Pittsburgh et aussi l’enregistrement de la final de Pittsburgh 35mm, décrite dans le magazine
Hight Fidelity Juillet 1968.« Fine Recording Inc » 
«
Fine Recording Inc. » était situé dans le grand
Hôtel du Nord sur la
57 rue de Manhattan démoli en 1980, dont l’ancienne salle de bal le
studio A faisait office d’espace d’enregistrement pouvant contenir des orchestres de 70 musiciens, la salle de services le
studio B pour de plus petites formations, deux autres salles servaient pour les re-recording et traitement des bandes.
Ce complexe à fonctionné jusqu’en
1971.

Ci-dessus: La salle de bal du Grand Hôtel du Nord c. 1900, qui deviendra plus tard Beaux Recording Studio A.
Le plafond de verre Tiffany est resté tout au long. (SOURCE: T. Fine)


Constatez le prix des séances en 1959 qu’il faudrait maintenant multiplier par 11. (Source T.Fine)
La première console d’enregistrement du studio A était une
Dualux dont les préamplis utilisaient comme tube des
5879 plutôt que des
EF86.

en out board il y avait également des compresseurs
Altec -322CC’est grâce à ces compresseurs que fut enregistré pour le label
« Command Record» les fameux disques de percussion.
Lien
LienLe
Studio A était à l’origine mono et stéréo, puis en trois pistes
RCA 35mm et
Ampex, puis en 16 pistes.
En 1969 ce studio était équipé d’une console
Audio Designs & Manufacturing la plus grande console à NY.

Le
Studio B une console
RCA, 4 entrées avec3 départs et des retours d’écho, puis fut équipé en 8 pistes avec une console
SMA, puis 16 pistes, le contrôle dans la régie ce faisait sur des
Altec 604, puis des
JBL 4310.
LienLe
Studio C fut construit à la suite de demandes croissantes d’enregistrements pour des musiques de films, nécessitant des équipements spéciaux cinématographique, projections, écrans.
La console de mixage était une
Western Electric / MGM .

Salle des machines 35 & 16 pour la synchronisation du son et de l’image.
Le
Studio D fut équipé de la première console à
transistors en 1966 avec des modules
AD&M assemblé par l’ingénieur
Bob Ederenz.
Le monitoring était fait sur des
Altec A7 avec comme amplification des
McIntosh.
Dans ces studios les magnétophones étaient généralement des
Ampex ou des
Scully 8 ou 16 pistes,
des égaliseurs
Pultec
les micros étaient des
Neumann U47 (électrostatique)

des
RCA 77DX & 44BX (ruban)

des
Electro Voice 666 (dynamique)

des
Schoeps (électrostatique)
Il est amusant de constater que dans le même immeuble au 12° étage se trouvait le représentant des synthétiseurs «
Moog »

il donnait la primeur des ces machines aux clients du studio.
Apres le premier succès de
Walter (programmation Moog) l’album Moog Carlos «
Switched on Bach » pour Columbia, d’autres artistes
Dick et
Richard Hayman ont enregistrés plusieurs albums.
LienFine Recording fut vendu en 1971 à
Reeves Cinetel.Pierre toujours

Ps: sources archive Popular Science
Ps² :

à suivre
Rydy Van Gleder
Dernière édition par
pdobdob le 12 Jan 2016 à 22:12, édité 8 fois.