14 Déc 2012 à 12:35
14 Déc 2012 à 12:50
14 Déc 2012 à 12:53
PP_65 » 13 Déc 2012, 11:53 a écrit:
Comme je l'ai écrit plus haut, donne la définition d'un master ; et la seule étiquette qui compte, c'est ce que dit l'éditeur sur ses sources, ce qui est généralement indiqué dans les livrets des CDs, livrets qu'on ne peut lire avant achat lorsqu'ils sont scellés .
http://www.qobuz.com/album/complete-rec ... 7396307568
Qualité CD , c'est donc aussi du mensonge ; à vous lire, il faudrait même détruire tous les CDs physiques des repiquages des 78 T . Vous êtes une bande de névrosés gogaudiophiles , c'est tout ; je précise que je n'ai jamais rien acheté à Qobuz et que je ne suis pas prêt de le faire tant que les supports physiques existent , ce qui me fait marrer, c'est que , sous-jacent à ce débat , on trouve toujours le même réflexe audiophile : le son avant la musique .
14 Déc 2012 à 20:29
Phil » 13 Déc 2012, 22:16 a écrit:Libre à toi de dévier du sujet en ergotant sur la notion de support "original" ou de "master". ce n'est pas de cela dont il était question.
17 Déc 2012 à 13:42
pierrep » 14 Déc 2012, 11:35 a écrit:Bonjour
Là je crois que l'on dépasse de très loin les bornes de la mauvaise foi.
1) Donc le lieu de la manipulation (de bande, 78T ou fichier) détermine le statut du résultat: c'est fait dans un studio, donc "Studio Master" ? Ce n'est pas l'idée que je me faisais de la chose. Voici ce que dit Wikipedia concernant le travail sur bande : From the 1950s until the advent of digital recording in the late 1970s, the mastering process typically went through several stages. Once the studio recording on multi-track tape was complete, a final mix was prepared and dubbed down to the master tape, usually either a single-track mono or two-track stereo tape. Tu vas peindre une huile à Giverny et tu auras le droit de la signer Monet ? Une bouteille de piquette mérite le droit de s'appeler château-margaux si elle en porte l'étiquette ? La justice a déjà eu à traiter d'affaires de ce genre. On pourrait multiplier les exemples à l'infini.
2) Si les bandes analogiques ont disparu ou n'ont pas existé, est-il interdit de le préciser et de donner l'origine de son repiquage (cela se faisait bien pour les repiquages 78T en 33 T)? Cela autorise-t-il à appeler le résultat "Studio Master" ?
Quant à dire que le diffuseur n'a pas le temps d'écouter ce qu'il va vendre par la suite (en ayant pris son bénéfice : quel pourcentage au fait?), cela porte à sourire.
Personne ne songe à opposer la musique et la technique, l'une est au service de l'autre. Mais appelons un chat un chat et la dématérialisation n'est pas, tant s'en faut, synonyme de qualité technique ni musicale.
Le moutardier » 14 Déc 2012, 11:53 a écrit:Je te parle de droit et tu me réponds gogaudiophiles ... pourquoi pas !
mkl » 14 Déc 2012, 19:29 a écrit:
PP a sans doute raison d'ergoter. Studio Master est un terme assez flou qui permet de vendre tout et n'importe quoi en faisant croire que c'est un fichier de "qualité supérieure". Comme cela a été dit, le repiquage d'un 78tr pourri fait l'objet d'un mastering, et si celui-ci est fait en 24 bits, on peut te vendre le fichier comme un "Studio Master 24 bits/192kHz". Le vendeur ne te ment pas, tu as réellement un fichier master 24 bits sur ton disque dur, mais avec le son d'un 78tr pourri.
Et "qualité supérieure au CD", ça veut dire quoi? Si on s'en tient à de bêtes caractéristiques techniques, un fichier 24/192 est supérieur à un fichier 16/44,1. On peut imaginer que certains n'auront pas de scrupules à utiliser cet argument.
Il semble que certains vendeurs de fichiers musicaux abusent de ce flou, il parait donc urgent (ça a été dit également) de faire apparaitre clairement à partir de quelle source ces fichiers 24 bits ont été fabriqués. Mais, si ça se trouve, il n'y a pas tant de monde que ça qui s'inquiète de ces problèmes, donc les revendeurs en profitent.
17 Déc 2012 à 20:27
17 Déc 2012 à 20:37