pdobdob » Hier, 10:40 a écrit:Amis des ondes, il existe une très bonne émission sur France Musique le jeudi soir à 22h30 animé par Thierry Jousse « Cinéma Song » qui traite des multiples facettes de la musique au cinéma.
Je suis actuellement en train d'écouter et de découvrir avec grand plaisir cette émission (dédié à Brian de Palma). Un grand merci Pierre, belle découverte !
Revu hier soir Casino, de Scorsese...pour la 10ème fois peut-être
Y'a rien à faire, la première demi-heure tout en voix off est à couper le souffle. Je ne sais pas si j'ai déjà vu un montage mieux maîtrisé. Quant à la musique...en 30 minutes de film, tu passes du classique au jazz, en passant par la soul bien moite et le blues/rock Jeff Beckien...sacré voyage.
Vraiment un super film, qui réussit en prime à te faire croire à Sharon Stone en actrice...
En fait, je me demande simplement si ce n'est pas le meilleur Scorsese (et pourtant Dieu sait que j'ai été fan de Taxi Driver et Raging Bull, entre autres)
Tiens, j'avais vu ce Rocky Horror Picture Show à l'époque où on le repassait dans des salles qui acceptaient (?) le spectacle interactif: jet de riz, d'eau, interpellations des acteurs ("boriiiiiiing!!!....), dialogue avec eux, etc.
Une chouette expérience cinématographique voire musicale, surtout avec le délicieux Tim Curry:
popeyo » 20 Fév 2013, 14:53 a écrit:Je suis d'ailleurs en quête de composition d'Armando Trovaioli (cinéma italien) suite à la vision du film "Parfum de femme" après avoir écumé les compo de Nino Rota, Riz Ortolani, Ennio Moriccone ou Nicola Piovani (découvert à travers le cinéma de Nanni Moretti et Roberto Begnini)
Je viens d'apprendre avec un très grand tristesse que ce compositeur de génie nous a quitté il y a quelques jours (Armando Trovaioli)
Les grand artistes cinématographiques du XXeme nous quittent peu à peu, laissant derrière eux, un extraordinaire patrimoine musical, en posant bien souvent les bases que beaucoup reprendront par la suite.
popeyo a écrit:Coppola était un très bon exemple. Les exemples sont multiplies, tout comme dans Philadelphia avec la Mamma Morta de la Callas. En revanche, dans cette exemple, c'est plus une remise au goùt du jour de l'oeuvre qu'une accaparation par le réalisateur. Mais la scène reste sublime.
On se retrouve toujours Simon et de surcroit sur Philadelphia.