Mono maniaque

[claude_m4]

j'ai pas dis que c''était une référence ! j'ai dis qu' a l'époque 'ils étaient moins épais !

toujours aussi casse-bonbons

claude

[Gism]

On ne doit vraiment pas parler de la même chose, le JOE COCKER pressage grande série de l'époque, est "fin comme une feuille de papier" comparé au MFSL, d'où mon propos sur l'incidence de l'inclinaison du bras qui influe obligatoirement sur la lecture, l'angle d'attaque n'étant pas du tout le même pour la cellule...

Et cet exemple est courant, les pressage récents actuels en petite série sont la plupart du temps (dans la quasi totalité de la production) bien plus épais qu'à l'époque de la fin de l'ère du vinyle en grande distribution, à l'époque où ces disques sont sortis sur le marché..

Christian,

L'épaisseur des vinyles décroit en fonction des années. Très épais au début (années 50) à très fin à la fin (années 80).

Les pressages audiophiles, c'est autre chose. Les audiophiles attribuant des vertus sonores à l'épaisseur d'un vinyle (à tort ou à raison), les pressages audiophiles ont toujours été très épais (le record étant probablement les Anadisc 200g  de MFSL).

[JérômeB]

Christian,

L'épaisseur des vinyles décroit en fonction des années. Très épais au début (années 50) à très fin à la fin (années 80).

Les pressages audiophiles, c'est autre chose. Les audiophiles attribuant des vertus sonores à l'épaisseur d'un vinyle (à tort ou à raison), les pressages audiophiles ont toujours été très épais (le record étant probablement les Anadisc 200g  de MFSL).

Vite!!!

Clément L7B

[PP_65]

j'ai pas dis que c''était une référence ! j'ai dis qu' a l'époque 'ils étaient moins épais !

toujours aussi casse-bonbons

claude

Si tu revenais au début : " à l'époque" , ça ne veut rien dire, la preuve : tu as considéré que Gism se trompait  . Les vinyles très fins c'est arrivé à la fin des 60s avec, en particulier, les Dynaflex de RCA US .
http://en.wikipedia.org/wiki/Dynaflex_%28RCA%29

-- 12 Mai 2014, 13:47 --

Christian,

L'épaisseur des vinyles décroit en fonction des années. Très épais au début (années 50) à très fin à la fin (années 80).

Les pressages audiophiles, c'est autre chose. Les audiophiles attribuant des vertus sonores à l'épaisseur d'un vinyle (à tort ou à raison), les pressages audiophiles ont toujours été très épais (le record étant probablement les Anadisc 200g  de MFSL).

D'ailleurs, un des arguments pour les 180 g et plus faisait référence à l'épaisseur des disques US des 50s et des 60s .

-- 12 Mai 2014, 13:54 --

J'ai comparé aussi un des tous premiers pressages originaux de TOMMY des WHO, avec une réédition soignée en SIMPLY VINYL 180gr, l'original n'a pas tenu 3mn, nullissime, bruit de fond plus important, sensation d'un son "sale" (pourtant sans craquements excessifs), etc..

A+

Ça demande des précisions : l'original , quelle était sa provenance et sa référence ? Pour Fremer la référence reste le 1er pressage Track UK .
Quant aux Simply Vinyl on n'a jamais su si les masters étaient analogiques ou pas ; Sony a même imposé que leur second pressage de Blonde On Blonde de Dylan soit réalisé à partir du mix de la dernière version CD disponible à la date de sortie de cette seconde version .

[claude_m4]

j'ai rien considéré ,tu me gonfle ,toujours en train de pinailler ...


a plus


claude

[mattera]

L'épaisseur des disques n'est qu'un critère parmi d'autres, évidemment, mais l'épaisseur est tout de même dans le sens de la qualité. Les derniers pressages produits en grande série à la fin de la grande époque étaient purement catastrophiques comparativement aux pressages  actuels.

Après ce critère purement mécanique, il y a ensuite bien sûr le contenu, et il y a de tout sur le marché, depuis la réédition à partir de la bande analogique (ex: fait par exemple pour "CAT STEVENS TEA FOR THE TILLERMAN" par ANALOGUE PRODUCTION), jusqu'au pressage avant tout "marketing" remixé et du niveau de qualité du MP3. Il faut faire le tri, les arnaques sont plus pernicieuses, car parfois, la présentation est belle, et le contenu médiocre, et parfois on a de bonnes surprises dans le sens inverse. Il n'y a pas de règles absolues, il faut juste être méfiant... les reprises bâclées sont évidemment moins chères, mais c'est tout de même de l'argent dépensé pour rien..

Sinon, les occases et les disques de brocantes, malheureusement, aujourd'hui c'est fini, c'est trop tard, dans 95% des cas on aura juste droit à des objets laminés, bref, des "daubes" tout juste bons "pour la benne" (sauf peut-être cas exceptionnel et rarissime en province profonde), et dans les conventions du disque, si le produit est correct, on est tout de suite dans des prix stratosphériques pour de l'occase toujours en état d'usure toujours incertain (même si visuellement c'est ok) , et c'est uniquement de la spéculation de collectionneur...donc une démarche différente.

[AJMARS]

Bon, je vais peut être surprendre, mais je trouve qu'il y a des disques très fins qui sonnent super bien et des très épais, grammage audiophile, qui sonnent super mal... et vice versa...

A plus
André

[claude_m4]

bonjour andré et a tous


tu ne me surprend pas ,c'est ce que j'ai constaté aussi ,après il faudrait retoucher le  vta suivant l'épaisseur du disque ,et puis il y a d'autres paramètres ,comme l'enregistrement ,la matrice ,etc etc

c'est pour cela ,que je ne spécule pas sur le résultat lorsque je ne connais pas le disque ,car un pressage banal peut se révéler très bon et un audiophile  


c'est aussi pour moi ,un aspect (le côté surprenant ) intéressant du vinyle ,un peu comme la nourriture normale (non standardisée ..) a l'inverse du fast food hyper calibré ...

claude

[mattera]

""Ça demande des précisions : l'original , quelle était sa provenance et sa référence ? Pour Fremer la référence reste le 1er pressage Track UK """

c'était bien celui là, provenant d'un collectionneur chevronné, il s'est bien pris sa beigne...

Pour les SIMPLY VINYL c'est exact, toute provenance possible, ils essayent de remonter au maximum jusqu'à la bande mère mais il y a effectivement tous les cas de figure possibles et ils ne s'en cachent pas..

J'en ai beaucoup également, et je suis rarement déçu par ce label...De toutes façons, pour certaines rééditions on n'a plus le choix, quand on était passé à côté des originaux à l'époque..

Pour les pressage fins, on a tout de même souvent droit un son pétillant et du style "montant", "pétillant", car le pas de gravure est en conséquence, pour moi le manque de "matière" (dans tous les sens du terme) du support est un manque évident à l'écoute, la "texture sonore" ne suit pas en général, même si certains sont parfois effectivement plaisants.

Quelques soient les enceintes ou la cellule, plus on dispose d'une analyse de lecture fine et performante du message (je parle d'un diamant "noble" multifacettes très analytique, et pas de la "charrue" à pointe conique type DL 103 qui n'explore même pas le fond du sillon), pire c'est pour cette "pauvreté du support"...

[AJMARS]

qui n'explore même pas le fond du sillon"...

Dans une gravure 45/45 (nos disques), il n'y a rien dans le fond du sillon si ce n'est éventuellement de la m... que l'on a pas spécialement à explorer.
L'info est gravée latéralement sur les flancs et la taille du diamant, conique, elliptique, shibata, fine line, méiocs, est destinée à améliorer le contact latéral...
Pas à explorer un quelconque fond (ou bas fond)... qui ne représente rien.

A plus
André

[PP_65]

Bon, je vais peut être surprendre, mais je trouve qu'il y a des disques très fins qui sonnent super bien et des très épais, grammage audiophile, qui sonnent super mal... et vice versa...

A plus
André

Dans la qualité sonore du résultat, c'est difficile d'établir une règle ; la mode du vinyle est allée de pair avec celle des 180g mais si le mastering a été fait par un gougnafier , à base de mp3 au fin fond d'une province d'un pays de l'Est ....

[claude_m4]

bonsoir



la ,je suis d'accord !

claude

[Cartel]

Bon, la question qu'il faut bien se poser : comment savoir ?
Peut-on faire confiance à Fremer par exemple ?
Et pour le répertoire francophone genre Brel, Brassens, Ferrat, Ferré, etc., on se fie à qui ?

[reglisse]

Aux pressages Français.

[Cartel]

OK !  

[mattera]

Dans une gravure 45/45 (nos disques), il n'y a rien dans le fond du sillon si ce n'est éventuellement de la m... que l'on a pas spécialement à explorer.
L'info est gravée latéralement sur les flancs et la taille du diamant, conique, elliptique, shibata, fine line, méiocs, est destinée à améliorer le contact latéral...
Pas à explorer un quelconque fond (ou bas fond)... qui ne représente rien.

A plus
André

Tu as mal compris, je vais être alors plus précis. Quand je parle d'explorer le fond du sillon c'est pour moi d'explorer bien évidemment les parois latérales le plus profondément possible pour avoir le maximum d'infos.

Sur une DL 103 (ou tout autre cellule à gros diamant conique), la pointe ne descend pas, le bruit de surface du fond du sillon est donc alors réduit au point d'avoir la sensation au premier abord que le disque semble plus "propre", puisque la pointe de lecture est loin de s'en approcher. Si tu passes ensuite à une cellule qui explore mieux le fond (les parois latérales, si tu préfères), tu peux ramasser de la m.., certes, sur un disque sale, mais tu as aussi une quantité impressionnante de détails qui ressortent de "nulle part" et qui font aussitôt passer la cellule précédente à diamant conique pour une "caricature" qui n'explore qu'une petite partie des trésors cachés au fond du sillon.

Les cellules à gros diamant conique qui ne descendent pas, pour moi c'est juste bon pour faire du "scratch" de DJ en discothèque. Ensuite on passe aux cellules dignes de ce nom, à diamant mutifacettes, pour bien explorer le sillon.. (j'ai horreur des "caricatures" données par les cellules basiques). J'aime bien pouvoir tirer un maximum d'infos de la galette noire...

[AJMARS]

OK, tu voulais dire descendre en travers.... fallait le dire...    

Moi je mixe, j'ai une conique (103), une elliptique (SPU) et une micro ridge (ZYX Airy)....

Et finalement la SPU me convient bien car elle reste tolérante.... en fait je passe peu de temps avec des disques audiophiles... la plupart sont du tout venant.... C'est plus ce qu'il y a dessus qui m'intéresse.

A plus
André

[Hollow]

Ensuite on passe aux cellules dignes de ce nom, à diamant mutifacettes, pour bien explorer le sillon..

En fait, il n'y a que 2 facettes qui comptent  
C'est la "quantité" de contact que tu recherches.
Sur ces aspect, c'est l'aigue qui va en bénéficier en premier.

a+

[PP_65]

Bon, la question qu'il faut bien se poser : comment savoir ?
Peut-on faire confiance à Fremer par exemple ?
Et pour le répertoire francophone genre Brel, Brassens, Ferrat, Ferré, etc., on se fie à qui ?

Tout dépend de ce que tu recherches et de tes finances , je n'achète des LPs récents et neufs que parce que j'y suis obligé ( = pas de version CD) même si l'enregistrement est numérique , j'évite les rééditions des labels audiophiles et surtout les rééditions au sens large en LP , là aussi , je prends le CD . Si on a des $$ , on recherche l'original , si possible du  pays d'origine .

[Cartel]

Toutafé.
Disons que je favoriserais plutôt le neuf (ou NOS NIB) bien gravé par ex. Canned Heat (mono) chez Sundazed parce que je n'ai plus l'original   . Quand je pense que je les avait tous ! Shame on me! Che sciagura!
En outre, je ne suis pas collectionneur.
Mais, depuis qqes mois, j'achète aussi des LP d'occase. Ici par ex.  
Bref, lentement je fais retour vers le futur. Des écoutes en stéréo et en mono sur Raven et Dual 1019 m'ont surpris et ont aiguisé mon appétit.