Lecture diapason

[Pseudo]

Vous êtes caustique !

Selon le principe qui veut qu'on ne tire pas sur une ambulance, je retire mes appréciations sur les prestations de M. Cousin.

Néanmoins j'estime que la revue décridibilise l'ensemble de ses articles en publiant cette rubrique Hifi si mal informée.

Si la revue veut prendre le train du vynil revival, elle pourrait offrir à son chroniqueur l'occasion d'apprendre comment s'opère l'inscription de la modulation sur une galette de 30 cm, et quelles sont les conditions de son décodage correct, auprès d'un technicien compétent.

En outre (et je suppose que les rédacteurs musicaux en place présentent toutes les compétences nécessaires), on pourrait lui offrir  l'occasion de découvrir les différents genres de la musique de culture occidentale, les instruments qui permettent de l'interpréter, et quelques critères d'écoute, afin qu'il évite de parler de la frappe des marteaux sur les cordes à propos de clavecin.

Amen.

[lupu]

En outre (et je suppose que les rédacteurs musicaux en place présentent toutes les compétences nécessaires), on pourrait lui offrir  l'occasion de découvrir les différents genres de la musique de culture occidentale, les instruments qui permettent de l'interpréter, et quelques critères d'écoute, afin qu'il évite de parler de la frappe des marteaux sur les cordes à propos de clavecin.
Amen.

Eh oui, cette bévue des marteaux dans un clavecin n'est pas si anecdotique et vous ne l'avez pas oubliée !  Jamais, quelque mal qu'on ait pu dire du chroniqueur précédent , on n'aurait lu une chose pareille sous sa plume.
Pour cause de confinement j'ai raté, pour la première fois depuis des décennies, un numéro de " Diapason ", celui d'avril. Pour cause de vulnérabilité je suis resté aux abris.
Aujourd'hui je ressors de la maison de la presse avec le numéro de mai. En le feuilletant je tombe par hasard tout de suite sur la rubrique " Les disques de ma vie ". Généralement intéressante, outre un éclectisme sans doute un peu obligatoire, mais de bon aloi. La formule a été un peu modifiée, modernisée  : désormais , une série de questions pour constituer la "playlist de " , nouveau titre: " Le disque qui... ?", " le disque que...? ", etc...
Et c'est là qu'on atteint les sommets, tenez-vous bien :  quel est " Le disque idéal ... pour faire l'amour ? ".  
Ah ben m... alors, on ne l'avait pas vue arriver celle-là !  Quelle décomplexion ! On ose tout chez " Diapason "!  Mais il est évident qu'entre gens de bonne compagnie on prononce " faire l'amour " avec le mélange de componction et de décontraction qui va bien. Alexandre Tharaud se prête à la question avec complaisance, et ajoute  même une petite touche d'humour délicate, coquine et bienvenue: " J'ai de merveilleux souvenirs sur les sonates de Scarlatti par Zhu Xia-Mei. Je précise que ce n'était pas avec elle... " . On a failli rougir de confusion.
On se demandait ce que serait " le monde d'après ". Ben voilà, ça , déjà, c'est le " Diapason d' après " . Il vous fait pas envie ? Ah mais je sens que vous êtes curieux du prochain interrogé et de sa réponse. Qui osera " Cavalerie légère " de F.V. Suppé ?

[Pseudo]

Bonjour lupu,

Ben oui, (presque) tout le monde ose (presque) tout pour assurer sa survie.

[Pseudo]

Diapason ne donne plus le La: 30 juin et toujours rien!

Il est vrai qu'à en croire Qobuz, les nouveautés ne pleuvent pas.

[micbog]

J’ai souvent observé que le dernier numéro se est disponible en kiosque avant qu’il ne parvienne chez l’abonné que je suis...

[Pseudo]

Est-ce le cas? A ma surprise, mon exemplaire me parvient d'ordinaire très tôt.

En tout cas, le numéro d'été n'est pas encore disponible en ligne.

[alexandret]

Reçu hier avec le courrier, avec Alagna en couv. Patience !

Mais c'est le premier depuis 3 mois. Les autres ont été perdus/volés avec le covid...

[Pseudo]

Reçu hier avec le courrier, avec Alagna en couv. Patience !

1er juillet: en ligne... et quelques heures plus tard, la revue "papier" dans la boîte à lettres.

[Pseudo]

Le numéro d'été est de bonne facture.

E. Dupuy y déplore le flou des décisions gouvernementales qui a conduit à l'annulation de nombreux festivals: la revue parvient tout de même à présenter 17 événements maintenus cet été.

I.A. Alexandre exprime le point de vue que les milieux artistiques se sont sentis passés par-dessous la jambe dans la gestion de la crise.

Petit cru en matière de cédés: Diap' s'efforce d'y trouver des perles.

A mes oreilles, une seule nouveauté s'impose: des Lamentations de Palestrina par l'ensemble Cinquecento. Encore faut-il se fier à l'extrait de 2 minutes, car cet enregistrement n'est pas repris par Qobuz. En outre, une réédition d'oeuvres de Sancez par Scherzi musicali chez Ricercar: c'est bien beau.

Et les rubriques habituelles.

Ah: Renaud Capuçon croit bon de nous informer qu'il choisit d'écouter Keith Jarrett pour faire l'amour  

Le carnet noir atteint de bien tristes proportions: Mady Mesplé (soprano), Gabriel Bacquier (baryton), Jan Talich (fondateur du quatuor éponyme), Martin Lovett (du quatuor Amadeus), Lynn Harrell (violoncelliste), Kenneth Gilberth (claveciniste), Janine Reiss (cheffe de chant), Norbert Balatsch (chef de choeur), Rosalind Elias (mezzo-soprano) nous ont quittés.

Sans oublier Penderecki, dont personne n'a parlé.

[micbog]

Reçu hier avec le courrier, avec Alagna en couv. Patience !

Mais c'est le premier depuis 3 mois. Les autres ont été perdus/volés avec le covid...

Alagna en couv’ ? Alors je commencerai la lecture par la fin...

[bdoc]

On ne doit pas dire du mal d'Alberto Ragnagna , sa suffisance incarnée !

[Pseudo]

Alagna en couv’ ? Alors je commencerai la lecture par la fin...

Alors tu tomberas sur les conseils sexologiques du Dr Capuçon  

[micbog]

J’attends vraiment ce numéro avec impatience !

[morillon]

plus que docteur capucon, peux etre, si peux t aider, surtout si des souccis de distribution ...:
https://www.europe1.fr/emissions/la-chronique-sexo
https://www.elle.fr/Love-Sexe/News/Sexu ... er-2397454
etc etc

ps ca risque de faire un sacré sujet ici...
"""l amour en musique! ou comment justifier au pres de votre conjoint-te d avoir une chaine hdg!!""""
tout ce tente...

[pdobdob]

“Ta gueule Capuson ! Ta gueule !”

Yves Riesel    On peut se faire virer de Classica pour s'être embrouillé avec Diapason ! Surtout quand Renaud Capuçon et ses amis s'en mêlent.
Voici comment :
Il y a une dizaine de jours j'ai publié ici un post relatif à l'interview-tribune que le site de Diapason et Vincent Agrech avaient offert à qui vous avez compris. …
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https://www.facebook.com/yvesriesel

Pierre

[Pseudo]

Le lien ci-dessus ne fonctionne pas. Celui-ci semble le faire:
https://m.facebook.com/story.php?story_ ... =544123449

Mais, pour être sûr que ce billet ne soit pas effacé, le voici en intégralité:

Yves Riesel:

On peut se faire virer de Classica pour s'être embrouillé avec Diapason ! Surtout quand Renaud Capuçon et ses amis s'en mêlent.
Voici comment :

Il y a une dizaine de jours j'ai publié ici un post relatif à l'interview-tribune que le site de Diapason et Vincent Agrech avaient offert à qui vous avez compris.

Cette personnalité éblouissante du violon français a, chacun l'a constaté, admirablement saisi l'opportunité du confinement et du silence imposé à tant d'artistes et de salles pour travailler à fond ses réseaux promotionnels de toutes espèces : faire vanter son livre, l'inauguration de sa statue au musée Grévin, sa nomination à la tête d'un orchestre de chambre au pays des coffre-forts, ses prestations quotidiennes de "Violin Bonbons" sur Internet, la promotion de l'application NomadPlay dont il est investisseur, sa spiritualité chrétienne d'abord en peau de cosmonaute à Notre-Dame de Paris puis en uniforme Le Quesnoy cool, jeans-baskets en couverture du magazine La Vie (Catholique)...
J'en oublie beaucoup. Au demeurant, il fallait aussi, question de standing, cerise sur le gâteau de ce printemps spécial, que Rc soit d'une manière ou d'une autre au menu du Diapason spécial été. Ce qui fut fait : Vincent Agrech lui consacre une page, et aux "disques de sa vie".

Bien sûr, sont des aigris et des jaloux ceux qui critiquent. En attestent les centaines de témoignages d'encouragement des ménagères de plus de 50 ans, public exigeant, ému aux larmes à chaque post de leur vedette proprette sur les réseaux sociaux ou lors de ses passages à la télé. Ces commentaires racontent l'affection sincère et généreuse de ce public merveilleux et gentil, le vrai, le populaire, qui sait reconnaître les vrais talents qui lui font du bien.

***

A la suite de mon post sur Agrech j'ai reçu un coup de fil furibard d'Emmanuel Dupuy, rédacteur en chef de Diapason. Il m'enjoignait de retirer mes propos, me menaçait des foudres d'un procès, me vantait l'efficacité du service juridique de Reworld Media, son employeur. Il fallait, disait-il, "cesser le "Capuçon-bashing".

Comme je lui faisais remarquer que le site de Diapason avait déjà publié puis amendé en loucedé un article à-propos du frère de l'autre dans lequel on parlait initialement de "vanité" des polémiques suscitées et de "poujadisme musical" à-propos de ses contestataires, il me fit l'aveu que l'auteur anonyme de cet article c'était lui, Emmanuel Dupuy. Et que Diapason avait aussi donné la parole au camp adverse, dans un article consacré à ces gens virulents de la "Convergence des Luths" : preuve d'un réel souci d'objectivité.

Je lui ai répondu que je ne corrigerai en rien mon texte initial, moi. Et nous en sommes restés là après qu'Emmanuel eut évoqué ma paranoïa, et autres gracieusetés.

***

Le surlendemain, mon répondeur fumait cette fois d'un message plus maîtrisé mais non moins rageur de Jérémie Rousseau, rédacteur en chef de Classica : la maison d'en face.

Il m'y faisait valoir que vraiment, j'avais exagéré dans mes propos sur Facebook, que j'étais insistant et même insultant dans mon post titré "Ta gueule, Capuçon ! Ta gueule ! " ; et que j'avais été tout autant insultant à l'égard du confrère Vincent Agrech avec lequel on pouvait ne pas être d'accord mais qui ne méritait pas ça. Eu égard à cette attitude, ma chronique mensuelle "COUACS" dans Classica serait supprimée : ce serait " mieux pour le magazine, et pour toi ".

J'ai répondu par mail à Jérémie que la décision concernant ma chronique lui incombait, et que ce qu'il m'avait proposé il pouvait le reprendre. Et que je lui gardais mon estime pour ce courage qu'il avait eu. Car franchement j'avais été étonné que ma dernière chronique Classica, celle de mai, dans laquelle j'évoquais le fameux violoniste et feu son voisin co-fumeur de cigares Chancel, ait été publiée. Clairement, jamais Diapason n'aurait osé publier ça. Mais cela a du faire beaucoup jaser et susciter protestations courroucées de l'artiste comme de ses défenseurs.

Sur le reproche de vulgarité, auquel je ne peux pas ne pas être sensible, j'ai fait aussi remarquer à Jérémie Rousseau que les vrais vulgaires sont les démagogues Du Quesnoy et que ma vulgarité ("Ta gueule, Capuçon !" ) était en vérité une rupture du ton volontaire, je n'ose dire un effet de style. Il y a en effet un moment où seule la vulgarité verbale peut en effet choquer un peu les Du Quesnoy. Qui tournent la tête et continuent pourtant, pas d'illusion.

J'avais d'ailleurs l'intention d'inclure ce souvenir dans ma chronique de septembre :
Georges Cherriere, qui fut jadis le fondateur de Diapason, lançait des pétards sur les maisons de disques chaque mois dans son éditorial, ce qui lui valait souvent des rétorsions (en particulier publicitaires) qui n'étaient pas bonnes pour ses comptes. Mais il tenait bon. Il disait crânement : "Chez Diapason, il faut toujours être fâché avec une grosse maison de disques, c'est important — mais jamais avec toutes à la fois". Ses fâcheries se résolvaient quelques temps plus tard avec la major X. Peu de temps après, il allait en taquiner une autre...

***

Avec cette chronique COUACS, j'avais rêvé un moment : à-côté des chroniques du sérail d'un IAA, d'un Duault ou d'un Duteurtre, la presse bourgeoise pourrait donc publier les propos d'un type libre, qui connait vraiment ce qui se passe dans les cuisines pour y avoir exercé à peu près tous les métiers du classique. SAUF... celui de la connivence... qui y est le plus couru.

Pendant 25 ans j'ai vendu des disques et ensuite pendant 10 ans de Qobuz j'ai eu cette chance de tout voir des deux côtés dans un confort assez remarquable, sans que ma subsistance en dépende directement : je m'occupais d'apporter à un public intéressé des disques que le milieu français, les HM, Erato et consorts auraient volontiers tenus confinés à l'étranger.

Quant à la presse musicale, je l'ai beaucoup arrosée en publicité quand je faisais fortune (!) en vendant Raff, Lyatoshynsky, Louis Aubert, Sergio Fiorentino ou Ida Haendel. Ce n'est pas une question passionnante de savoir si la presse musicale est bonne ou mauvaise : elle est nécessaire, et il faut la soutenir, et j'y ai cotisé. Ce serait à refaire, je le referais.

***

Moralité ?

Les magazines musicaux spécialisés ont toujours eu du mal, c'est peu dire, à faire du journalisme. Ils confondent et comprennent le mot "spécialisé" comme "professionnel" à la manière de "Libre-Service Actualités", (LSA) cette revue pour les supermarchés qui expose semaine après semaine les dernières trouvailles de l'industrie agro-alimentaire, ne manquant pas de souligner que le packaging de la Vache qui rit a changé le 1er juillet de logo, et se décline désormais en nouvelle version familiale 36 parts de 12,5 grammes chacune.

Encore existe-t-il quelques exemples de bonne presse pro dans d'autres secteurs, et la Lettre du Musicien s'est-elle fendue récemment d'un article où elle levait utilement le lièvre des coûts que Capuçon Frère se proposait de faire payer aux municipalités pour sa tournée "bénévole" d'été.

La presse musicale ne sait pas faire de journalisme. Elle ne sait que donner la parole. Pourtant, la complaisance ne la mènera nulle part. Quand elle se sent obligée de rendre compte d'une polémique elle ne sait pas s'y prendre: au lieu d'exposer une situation, un débat, même avec un point de vue orienté, au lieu d'exposer les opinions et de conclure en synthèse, elle résout sa gêne en produisant de l'interview juxtaposé. Ce qui ne mange pas de pain. Alors, rêver à des enquêtes...

Un coup de cirage (Agrech), une tribune ensuite à la contestation de la Convergence des luths MAIS sous une signature différente : on ne dérangerait pas Môssieur Agrech pour la piétaille. Et bien sûr sous cette apparence d'objectivité, on en rajoute une couche par derrière sur Capuçon : ses disques préférés. En attendant une prochaine couverture, qui doit j'imagine se negocier en haut lieu entre la maison de disques et le magazine tracassé par tout ce raffut tout de même bien embarrassant.

La politique promotionnelle de Rc travaille d'ailleurs avec soin pour ne pas se déraciner trop de sa base classique même si il n'y passionne pas grand monde. Il est assez facile de faire gober des sornettes aux journalistes de la presse grand public. Avec la presse spé c'est souvent plus subtil. Ce n'est pas qu'elle soit systématiquement réticente : si Capuçon plait au public de Paris Match, le faire paraître dans un magazine spécialisé pourrait peut-être attirer un plus vaste public, celui qu'on recherche depuis si longtemps... Car la démocratisation de la musique classique est le grand fantasme de ces consanguins depuis si longtemps quand, en fait, il leur manquera toujours cette fraîcheur compétente, essentielle pour y parvenir, que possédait par exemple Lodéon. Et une capacité à explorer le présent indépendamment des agents de publicité, des communiqués de presse des puissants ou supposés tels. Comme disait Satie : "Que préférez ? La musique ou la charcuterie ? "

Les vedettes ne sont pas la solution magique à la "démocratisation de la musique classique" qui est une mauvaise réponse à une question mal posée. Tout comme les orchestres DEMOS ne sont certainement pas en mesure de remplacer ce que devraient être des écoles de musique bien conçues pour faire aimer la musique à des gamins de toutes sortes, aux destins musicaux les plus variés.

COUACS continuera autrement ailleurs : je ne vais pas en faire un tout un plat. D’ici là, bon été !

Quelle poilade! "Caustique", moâ? Du tout.

[alexandret]

“Ta gueule Capuson ! Ta gueule !”

Yves Riesel  :arrowr:  On peut se faire virer de Classica pour s'être embrouillé avec Diapason ! Surtout quand Renaud Capuçon et ses amis s'en mêlent.
Voici comment :
Il y a une dizaine de jours j'ai publié ici un post relatif à l'interview-tribune que le site de Diapason et Vincent Agrech avaient offert à qui vous avez compris. …
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https://www.facebook.com/yvesriesel

Pierre

Merci Pierre, C'est édifiant. J'aimerai bien mettre la main sur l'article de la lettre du musicien qui parle de la tournée de GC.

[lupu]

Merci Pierre, C'est édifiant. J'aimerai bien mettre la main sur l'article de la lettre du musicien qui parle de la tournée de GC.

Voici le lien vers l'article publié sur le site de France Musique, article qui donne le lien vers " La lettre du musicien " mais dont la lecture n'est pas possible hors abonnement:
https://www.francemusique.fr/actualite- ... hets-84908

Yves Reisel écrit : " On peut se faire virer de " Classica " pour s'être embrouillé avec " Diapason " . Sans doute et c'est ce qui semble s'être produit. Mais la position de franc-tireur induit naturellement des risques. Lors de  sa première chronique dans " Classica " ( N° 219 février 2020 )  il démolit , sans le nommer, mais en donnant tous les éléments permettant de l'identifier, le pianiste qui a fait l'objet de la rubrique " L'univers d'un musicien " dans le numéro précédent. Il est d'ailleurs parfaitement conscient du risque qu'il prend , cf. le paragraphe 4 de sa chronique: " A ce stade, j'ai peut-être déjà été viré de ma chronique toute neuve " !
On recevra comme on voudra les informations concernant les frères Capuçon. Celle qui me choque le plus , faute artistique indiscutable plus que faute morale ( en l'occurence réparée par Gauthier Capuçon qui maintient ses concerts gratuitement, pour de bon cette fois ! ) c'est l'accompagnement piano à l'aide d'un Ipad et d'enceintes !

[morillon]

si des jbl.....lui sera pardonné !!!! au moin par certains!!  
si le cas, il y aura des pressages directs en 45tr ( les 33tr pressage direct, trucs de gonzess*s a la b-p tronquée et la dynamique limitée!!! ) de ces concerts touchés ainsi par la grace?


ps
le mattera , il vas bien? on le lit plus...

[jeanpascalg]

Le numéro d'été est de bonne facture.

Comme d'habitude tu ne parles pas du cd qui n'est cette fois pas comme tu le leur reproches un disque  d'extraits mais un enregistrement avec des interprètes mythiques :

Ces magasines s'apparentent plus à du publireportages d'artistes que les maisons de disques mettent en avant, l'interview du mois c'est achetez mon dernier disque quand aux articles de fond du verbiage pour vendre des disques. L'intérêt est dans le cd des extraits et le disque du mois.