Quoi de neuf en cd classique?

[Pseudo]

Dans la série des opéras du prêtre Roux chez Naïve, Ottavio Dantone et l'Accademia Bizantina publient Il Tamerlano (aussi connu sous le titre de Bajazet):

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Outre la photo du coffret, qui présente un superbe modèle comme toujours, le charme de cet album ne réside pas tant dans le livret, un tantinet tarabiscoté, ou dans l'engagement des solistes, indéniable (avec la séduisante Delphine Galou), que dans l'approche aérée proposée par Dantone et son académie. Il fait de l'oeuvre un opéra de chambre (douze cordes seulement) et confère une clarté maximale aux lignes de la partition. Ainsi l'inventivité du continuo propose-t-elle de réels petits bonheurs à l'amateur attentif. La prise de son fine et transparente soutient élégamment ce projet, offrant plus de deux heures de plaisir raffiné.

[sax.tenor]

Bonjour, oui, on aime bien D. GALOU, l'académie Byzantine et la collection NAIVE, bien présents dans mes rayonnages. En fait, on devrait dire opus RV 703, qui est déjà paru sous le titre de Bajazet. As-tu pu comparer  Il Tamerlano avec la version Bajazet sortie en 2005 (que je possède) avec David DANIELS, Vivica GENAUX,  Marijana MIJANOVIC sous la direction de l'estimable Fabio BIONDI ? (il y a d'autres versions, bien sûr)

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[bandit]

autant l'interprétation de Rinaldo par l'Accademia byzantina m'a laissé de marbre (j'en suis resté à la version Hogwood), autant cet opéra de Vivaldi est une pure merveille par le même ensemble. Somptueux solistes et direction de main de maître avec un effectif aussi réduit. La prise de son jouissive enfonce le clou. J'écouterai l'autre version ce w.e, pas le temps en semaine

[Pseudo]

autant l'interprétation de Rinaldo par l'Accademia byzantina m'a laissé de marbre...

Vivaldi et Haendel, ce n'est pas du tout le même style!

[sax.tenor]

....

Hors sujet, mais je m'amuse à essayer de trouver la genèse des pseudos.

Dans ton cas, aurais-je trouvé une piste (motocyclable), ou bien il faut appeler la police ?        

J'avais un collègue qui avait une mobylette comme celle-ci. Ce n'était pas cette cylindrée, mais il a parcouru de nombreux km sans pb mécanique notable.

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[bandit]

Vivaldi et Haendel, ce n'est pas du tout le même style!

ha bon, et moi qui croyait que, m'enfin, bon, me serais-je trompé?

-- 08 Déc 2020 à 18:38 --

Hors sujet, mais je m'amuse à essayer de trouver la genèse des pseudos.

Dans ton cas, aurais-je trouvé une piste (motocyclable), ou bien il faut appeler la police ?  :cheesygrin:  :cheesygrin:  :cheesygrin:  :cheesygrin:

J'avais un collègue qui avait une mobylette comme celle-ci. Ce n'était pas cette cylindrée, mais il a parcouru de nombreux km sans pb mécanique notable.


[ Image ]

tu ne crois pas si bien dire, il me reste une tête de fourche qui trône au-dessus de ma bibliothèque en souvenir d'une Bandit 1200... sinon, bandit, c'est le pseudo du toutou

[sax.tenor]

pff même BACH (JS) et BACH (CPE ou autres) ce n'est pas pareil parfois  

-- 08 Déc 2020 à 18:53 --

tu ne crois pas si bien dire, il me reste une tête de fourche qui trône au-dessus de ma bibliothèque en souvenir d'une Bandit 1200... sinon, bandit, c'est le pseudo du toutou

Ouais, c'est le seul bandit qui accoure quand on le siffle !      

[bandit]

j'espère simplement que mon Bandit  ne finira pas comme ma bandit  

-- 08 Déc 2020 à 21:41 --

moi qui "croyais" bien sûr...

[sax.tenor]

ha bon, et moi qui croyait que, m'enfin, bon, me serais-je trompé?
...

moi qui "croyais" bien sûr..



chut ! on n'a qu'à dire que c'était l'heure du T  

[bandit]

comme dans bandiT

[Pseudo]

Je souffre souvent de lire les graphies de certains membres honorables de ce forum, mais là, de voir ce fil envahi par des considérations orthographiques      

[habermas]

Pour en revenir aux disques, j'ai cru comprendre que tu n'avais pas trop aimé ce disque Pseudo:

Pourtant, je lui trouve beaucoup de qualités, certes c'est assez éloigné du style d'interprétation très janséniste habituelle de la musique de Bach. Le choeur Pygmalion est à son comble, la vision musicale est inspirée. De très franches réussites comme le "Singet dem Herrn ein neues Lied" et le "Lobet den Herrn, alle Heiden". J'avais écouté leur concert à la Philharmonie il y a 5 ou 6 ans où l'intégrale des motets y avait été joué, on y retrouve une vision très similaire dans l'interprétation.

Il me semble que la note chez Diapason il y a 2-3 mois se résumait à simplement 3 ou 4 diapasons (de mémoire), ce qui en ferait le disque le plus mal noté de la carrière de Raphaël Pichon. Mais chez Classica, il a eu le droit à un Choc et une belle couverture chez France Mu.

Donc un disque qui divise si on résumé  

[Pseudo]

Pour en revenir aux disques, j'ai cru comprendre que tu n'avais pas trop aimé ce disque:...
Donc un disque qui divise si on résumait...

En effet, si je comprends bien (l'image ayant disparu): les motets constituent pour moi une musique puissamment organisée qui n'offre guère de latitude d'interprétation: colla parte ou pas, voilà tout. Ces oeuvres sont austères, denses, et, au-delà de de la technique des interprètes, du choix des tempi, elles ne se laissent guère façonner "à la façon de"...

[habermas]

Ces oeuvres sont austères, denses, et, au-delà de de la technique des interprètes, du choix des tempi, elles ne se laissent guère façonner "à la façon de"...

Pas forcément d'accord, il y a de tout dans ces motets, aussi bien l'austère sur "Jesu, meine Freude" et "Komm Jesu Komm", alors que "Singet dem Herrn ein neues Lied" et le "Lobet den Herrn, alle Heiden" sont par la nature du texte et de la musique célébratoires.

Autant durant le concert qu'ils avaient donné, ce petit penchant pour le côté exultatoire était un peu systématiquement utilisé sur tous les motets, ici pour les pièces sélectionnées je trouve qu'elles sont utilisées à bon escient à mon humble avis.

[Pseudo]

Même s'il ne tient pas toutes ses promesses, cet album mérite un commentaire pour l'originalité de son projet:

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L'ensemble Richter, fondé par l'ancien premier violon de l'Academy of Ancient Music, se propose en effet de restituer la musique viennoise du 17e au 21e siècle (!), en particulier, les oeuvres de la seconde "Ecole de Vienne" sur des instruments tendus de boyau. Pour cette évocation début de siècle,  l'ensemble s'est attaché à retrouver les pratiques musicales issues du siècle précédent (se référant notamment au quatuor Kolisch). Cela nous vaut  davantage de rubati, de très discrètes amorces de glissandi, un diapason à 432, et ainsi de suite.

Dans le superbe et étonnant deuxième quatuor de Schönberg, la mezzo-soprano Mireille Lebel met sa voix chaleureuse au service  des textes de Stefan George, traduits par Carl Engel. Dans cette oeuvre étonnante, qui mêle modernisme et accents post-romantiques, l'interprétation ne démérite pas face à la vénérable référence du quatuor Juilliard avec Benita Valente, dans un son nettement plus chaleureux.

Mais... car il existe une réserve. Les oeuvres ont été enregistrées à la "paroisse de Villenoy", ce qui laisse supposer qu'il s'agit d'une église. Pour s'affranchir de la forte réverbération du lieu, les micros ont été disposés assez près des musiciens, ce qui favorise l'émission directe des instruments. Les cordes de boyau perdent  une bonne part du moelleux qu'on était en droit d'espérer du fait de cette proximité, et quelques raideurs du "primus" sont mises en évidence. Rien de rhédibitoire: le disque s'écoute avec plaisir, mais un soupçon de frustration.

[Pseudo]

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[pdobdob]

On a les mêmes COUACS, très bien le M WEINBERG.

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J'ai plusieurs versions de ces concertos, cette version est digne d’intérêt.

Pierre

[Pseudo]

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12 préludes et fugues (du deuxième livre, en effet ) dans un ordre choisi par l'interprète

[sax.tenor]

Edit: @ PSEUDO: nos messages se sont télescopés lors de nos rééditions  

J'en ai entendu des extraits sur FM lors de son interview. Il n'y a que des variations du livre 2, qui est moins joué (moins accessible pour l'auditeur?) que le livre 1 souvent joué en intégralité (même en concert dont ce n'était pas la destination).

L'extrait entendu m'a plu.

Piotr Anderszewski m'avait déjà convaincu avec :

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L'INVITÉ DU JOUR sur FRANCE MUSIQUE
Piotr Anderszewski : "Ce qui est extraordinaire chez Bach, c'est la puissance du lyrisme de ses œuvres"
Sur son nouveau disque à paraître le 29 janvier chez Warner Classics, l'audacieux pianiste polonais Piotr Anderszewski adopte une approche personnelle du Clavier Bien Tempéré de Bach, en y sélectionnant douze pièces de son propre choix, "12 personnages conversant les uns avec les autres".

à écouter ou reécouter

[Pseudo]

Le Triple concerto... sans orchestre! (arrangement de Reinecke)

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