Configuration Hi-Fi: Enceintes Revel Ultima Studio 1 Préampli Honor C-11(tubes) avec blocs mono icepower iceEdge 1200AS PC avec dac Topping dx3 pro Platine vinyle Ariston RD11S avec bras Grace 714 et pré phono Cambridge CP1
Enceintes Mirage m3si en alternance avec les Revel Preamplis KTR (diy), Acurus RL11 ampli Linn Klout ou UP (diy) en réserve
Merci pour toutes ces reponses. Argerich ne m'a pas totalement séduit. Une fougue et un engagement total, mais son tempo m'a épuisé...pas le bon moment pour moi probablement. Polini : j'y ai jeté une oreille cet aprem. Il faut que j'y revienne...ça m'a touché. Richter ....évidemment, somptueux.
Configuration Hi-Fi: Système 1 : Ailepédouze, tic-toc, Cetech, Geddon (Cédric H.), plaplaque d'airbus du Roy, Cellule Ortofon "Q" (pour un son bien charnu !), Pass Xono. Lecteur CD Meridian 596 Préampli Nagra PLL Ampli Exposure 2010 Leedh Elfe Ampli Casque Talisman / Grado RS1
Système 2 Tuner et ampli A&R Cambridge Dac Sonic Frontiers Transdac pour la musique stockée sur le Mac portable (sortie en fibre optique) LS3/5a Kef RC, pieds STAE1
Système 3 Lecteur CD Jadis Orchestra Tuner Onix BWD-1 + alim séparée DIY Ampli Onix OA21 + Soap LS3/5a Harbeth, pieds STAE1.
Dans ma vie de nodiophile, j'ai aussi eu des enceintes Vision Acoustique MV2, des Acoustic Energy AE1, des Focus FS688 ; un ampli Rega Elex et un Rega Elicit, des blocs WattElse, un tuner Rega Radio et un Magnum Dynalab MD90, un lecteur CD Micromega Stage 6 et un Linn Ikémi, et pour la partie phono un Isem Modulis, un Accuphase C7, un Cochet PP2 et un ASR mini Basis. À réviser : un Pass Aleph 0.S et un Jadis DA 60
Comme souvent, j'ai une franche admiration pour Arrau, cet incroyable sculpteur de sons, qui me captive toujours de bout en bout.
Dans un tout autre style, Zimerman pour l'élégance romantique et sa délicatesse de toucher, mais une interprétation peut-être un petit peu trop uniforme.
Aux antipodes, j'ai un peu de mal avec la lecture de Pogorelich : c'est intéressant comme parti pris de modernité extrême, j'apprécie le geste intellectuellement, mais j'ai peu de plaisir à l'écouter.
Voici le commentaire de la version de Khatia Buniatishvili , écoutée à l'aveugle, au cours de la " Tribune des critiques de disques " consacrée à cette oeuvre sur France Musique, et placée 2ème pour les critiques. J'insiste sur les conditions d'écoute, car on sait que les jugements sur cette artiste peuvent être parasités par des considérations extra-musicales. Le " vainqueur " de la confrontation pour les critiques était Jean-Frédéric Neuburger. Sinon, on peut réécouter Horowitz ( la " Tribune " ne considérait que des versions des 20 dernières années.)
" Khatia Buniatishvili divise et ne laisse pas indifférent : la première partie de la Sonate est folle, diabolique, hyper colorée et narrative, jusque dans ses caprices. L’Andante sostenuto fascine ou irrite, céleste ou sirupeux, c’est selon ; pourtant comme ce piano chante, s’envole, percute ! Une lecture habitée ou bourrée de clichés, on choisit, qui est celle d’une immense interprète. Le public la place sur la première marche du podium, à une large majorité."
Jubilator » Aujourd’hui à 00:47 a écrit:Comme souvent, j'ai une franche admiration pour Arrau, cet incroyable sculpteur de sons, qui me captive toujours de bout en bout. [ Vidéo ]
Dans un tout autre style, Zimerman pour l'élégance romantique et sa délicatesse de toucher, mais une interprétation peut-être un petit peu trop uniforme.
Aux antipodes, j'ai un peu de mal avec la lecture de Pogorelich : c'est intéressant comme parti pris de modernité extrême, j'apprécie le geste intellectuellement, mais j'ai peu de plaisir à l'écouter.
J'adore aussi la version d'Arrau, une de mes favorites, une vision incarnée et d'une grande justesse je trouve. Et puis essentiel à mes yeux: il rend la partition dans tout ce qu'elle a de mystérieuse, pour ne pas dire mystique (comme souvent avec Arrau je me dis qu'au final, c'est lui qui a raison...) Pogorelich c'est très particulier, on est ailleurs. Mais quel discours je trouve. Pour moi un sommet, mais j'admets aisément que cela puisse rebuter. Je vis avec cette version depuis des décennies, suis pas objectif !
EMT a écrit:Clayderman aussi a beaucoup de succès auprès du public…
Ce public-là est constitué par les auditeurs de France Musique. Raison pour laquelle cette remarque me paraît un peu dénuée de pertinence. Mais je peux me tromper...
Jubilator » Aujourd’hui à 00:47 a écrit:Comme souvent, j'ai une franche admiration pour Arrau, cet incroyable sculpteur de sons, qui me captive toujours de bout en bout.
Arrau, c'est une pâte magnifique, une construction des plans impressionnante, mais aussi des variations de tempo, particulièrement des rallentandi subiti avant de poser certains accords, un peu à l'ancienne, qui me convainquent moins. Mais là, tandis que j'écoute, à 6'00 environ du premier mouvement (je n'ai pas la partition), il éclaire le timbre d'une manière superbe.
Si vous êtes un peu fatigué de cette sonate , voici une version pour renouveler l'écoute: décantée, élégante, presque tranquille, avec un son de piano un peu particulier. Le début est un peu déconcertant: l'oeuvre ne se dresse pas sur ses ergots, mais assez rapidement on ne peut plus abandonner ( ce qui m'arrive assez souvent avec d'autres versions ).
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Configuration Hi-Fi: mac pro fibre optique apple lossless Ampli Roksan kandy K2 cable HP Kimber 4vs HP acoustic Energy biblio AE1 et colonne Infinity Ref 81 mKII
Découvert un groupe génial: les Kapsber'girls !. 2couter d'urgence "Che fai tu ", disque de morceaux de Kapberger, musicien du 16-17 eme siècle italien. Chantent et interprètent comme on le devine du Kapsberger mais pas que. D'une finesse incroyable, très grande justesse musicale et d'une douceur infinie... A écouter d'urgence ! On en reparlera surement !!
lupu » 20 Jan 2022, 10:55 a écrit:Voici le commentaire de la version de Khatia Buniatishvili , écoutée à l'aveugle, au cours de la " Tribune des critiques de disques "
Tout le problème de la tribune c’est que s’il gardent toutes les versions alors c’est soit Argerich, Horovitz ou Arrau qui vont gagner il faut donc renouveller le genre en découvrait qui aujourd’hui se démarque des autres : https://www.francemusique.fr/musique-cl ... iszt-36614
A l’époque Benjamin Grosvenor ne l’avait pas encore enregistré
jeanpascalg a écrit: Tout le problème de la tribune c’est que, s’ils gardent toutes les versions, alors c’est soit Argerich, Horovitz ou Arrau qui vont gagner. Il faut donc renouveler le genre en découvrant qui aujourd’hui se démarque des autres
La problématique du concert est différente de celle de la gestion d'une discothèque, il me semble.