Altec 604-8K - Et maintenant ... que vais je faire ?

[sondier21]

s'il vous plaît, on pourrait arrêter de parler de nos femmes dans la rubrique "vieilles membranes", j'aurais peur que la mienne tombe dessus    

[ZORGL]

Me concernant, la beauté singulière de cette enceinte me donne l'irrésistible envie de leur faire une belle place dans mon salon ...
Mes jolies Geisha Japonaises pourraient rapidement céder leur place à ces belles Parisiennes ... et se trouver un nouveau logis.
A suivre donc …

???  A peine arrivées au 5éme étage du Sud Pigale que ces enceintes vont déjà devoir être redescendues pour partir dans le Nord  ???

Arrivé à un tel niveau de catapultage, il conviendrait d'investir dans un monte charge (ou une équipe de Rahans bodybuildés non syndicalisés à demeure )???

Z
http://monamsterdam.wordpress.com/2012/ ... rlandaise/

[JérômeB]

'A rien compris, l'gras ...
Cédric veut dire qu'il aimerait bien les mêmes binious chez lui.

[ZORGL]

'A rien compris, l'gras ...
Cédric veut dire qu'il aimerait bien les mêmes binious chez lui.

Pourtant sur ce coup il ne me semblait pas avoir chaussé mes lunettes en peau de saucisson ???? & mon neurone restant semble encore actif ??? (j'ai compris : "Mes Yamamoto vont être revendues pour être remplacées rapidement par CES enceintes de Sudpigale ")  

Mes jolies Geisha Japonaises pourraient rapidement céder leur place à ces belles Parisiennes ... et se trouver un nouveau logis.

ps: peut-être est-ce du à un éblouissement ou un décollement de ta rétine à force de Zieuter des tas de loupiottes dans le noir ?
ps: aprés la surdité maintenant la baisse d'acuité visuelle....La vieillesse, quel naufrage !

Z
pste: en cas de réponse, je ne pourrai pas trop dialoguer (car je suis limité en nombre de réponses , aussi je m'économise afin de me focaliser sur des sujets relatifs à l'amour du son notre passion)

[castellu]

ça me surprendrait que JP se sépare de ses belles sculptures, vu que ça commence juste à bien marchoter
Il va pas tarder à répondre...

B r u n o

[ZORGL]

ça me surprendrait que JP se sépare de ses belles sculptures, vu que ça commence juste à bien marchoter
Il va pas tarder à répondre...

B r u n o

Ses Avant-garde ont bien été revendues juste au moment ou elles marchaient le feu non ?
Z

[castellu]

Non, elles ont marché juste avant de partir
(les Altec étaient commandées il y a longtemps...).

Mais on est sûr de rien avec la catapulte de Pigalle

B r u n o

[JérômeB]

la catapulte de Pigalle

B r u n o

Ouffff ... j'ai bien relu, y a bien le "l".

[AJMARS]

Je pense que Cedric voulait dire qu'il voulait refaire quelque chose dans le même style... pas prendre celles de Jean Pierre....

A plus
André

[adol]

Ouffff ... j'ai bien relu, y a bien le "l".

hahahaha, excellent  

[Cedric.H]

Je pense que Cedric voulait dire qu'il voulait refaire quelque chose dans le même style... pas prendre celles de Jean Pierre....

A plus
André

Merci ;-)

++ Cédric

[SudPigalle]

Ses Avant-garde ont bien été revendues juste au moment ou elles marchaient le feu non ?
Z

Les AVG qui fonctionnaient  à merveille ont trouvé leur nouveau proprio 5 mois avant la réception des Altec

Nous avons convoyé le même WE les AVG sur Aix en Provence et remonté les Altec.

Les différences sont importantes dans l'écoute.

Les AVG étant plus "confortables" que les Altec mais mois précises et sans ce choc des impulsions propre à la compression.
Les Altec sont des enceintes d'égoïste , la surface d'écoute ne dépasse pas le mètre carré pour avoir la totale immersion.

Les contraintes sont, heureusement , compensées par le résultat.

JP

[Cedric.H]

Pourtant sur ce coup il ne me semblait pas avoir chaussé mes lunettes en peau de saucisson ???? & mon neurone restant semble encore actif ??? (j'ai compris : "Mes Yamamoto vont être revendues pour être remplacées rapidement par CES enceintes de Sudpigale ")  

Mes jolies Geisha Japonaises pourraient rapidement céder leur place à ces belles Parisiennes ... et se trouver un nouveau logis.

ps: peut-être est-ce du à un éblouissement ou un décollement de ta rétine à force de Zieuter des tas de loupiottes dans le noir ?
ps: aprés la surdité maintenant la baisse d'acuité visuelle....La vieillesse, quel naufrage !

Z
pste: en cas de réponse, je ne pourrai pas trop dialoguer (car je suis limité en nombre de réponses , aussi je m'économise afin de me focaliser sur des sujets relatifs à l'amour du son notre passion)

Non sinon j'aurais dit "ses belles Parisiennes" ...

Leçon de grammaire : CES   -   SES
"Ces enfants taquinent Paul et lui cachent ses crayons.
Cet enfant taquine Paul et lui cache son crayon.

Règle :
Ces (c.e.s) est un adjectif démonstratif, pluriel de ce, de cet ou de cette.
Ses (s.e.s) est un adjectif possessif, pluriel de son ou de sa.

Il faut écrire ses (s.e.s) quand, après le nom, on peut dire << les siens >>, << les siennes>>

Ex.: .... et lui cachent ses crayons ( les siens)."

De rien ...

++ Cédric

-- 23 Nov 2012, 16:33 --

Les AVG qui fonctionnaient  à merveille ont trouvé leur nouveau proprio 5 mois avant la réception des Altec

Nous avons convoyé le même WE les AVG sur Aix en Provence et remonté les Altec.

Les différences sont importantes dans l'écoute.

Les AVG étant plus "confortables" que les Altec mais mois précises et sans ce choc des impulsions propre à la compression.
Les Altec sont des enceintes d'égoïste , la surface d'écoute ne dépasse pas le mètre carré pour avoir la totale immersion.

Les contraintes sont, heureusement , compensées par le résultat.

JP

Oui pour avoir un « sweet point » plus large, il faut encore plus de recul ...

A titre perso, bien que mon séjour soit spacieux, je n'aurai pas été contre 5m de plus en arrière ...

Que veux tu … la hifi avec le 604, c'est un truc d’égoïste ! (comme une moto de sport d’ailleurs qui ne s’embarrasse pas du SDS dans la majorité des cas).

++ Cédric

PS : SDS = Sac De Sable = nom qualifiant le passager sur une moto .

[ZORGL]

Non sinon j'aurai dit "ses belles Parisiennes" ...

Leçon de grammaire : CES   -   SES
"Ces enfants taquinent Paul et lui cachent ses crayons.
Cet enfant taquine Paul et lui cache son crayon.

Règle :
Ces (c.e.s) est un adjectif démonstratif, pluriel de ce, de cet ou de cette.
Ses (s.e.s) est un adjectif possessif, pluriel de son ou de sa.

Il faut écrire ses (s.e.s) quand, après le nom, on peut dire << les siens >>, << les siennes>>

Ex.: .... et lui cachent ses crayons ( les siens)."

De rien ...

++ Cédric

Merci pour cette leçon de grammaire & cette précision (j'ai du comme Paul m'emmêler les crayons...)

Comprend juste que le propos pouvait préter à confusion (surtout pour un esprit simple comme le mien )

CES belles Parisiennes : lesquelles? : celles là même dont il est question dans le sujet cad celles de Sudpigalle qui habite Paris.

"Mes jolies Geisha Japonaises pourraient [u]rapidement [b]céder leur place à CES belles Parisiennes "
Z

[lcartau]

Bon hier soir redécouverte du système de JP   ... Je connais bien cette pièce pour avoir gravi à plusieurs reprises les cinq étages. Là le système a quand même pas mal évolué depuis ma dernière écoute (full Halgorythme + Avant Garde + Marantz CD94 et VPI de course équipée d'une Ortofon sympatoche il me semble).

J'arrive après un arrêt forcé en métro "rue du Bach" (SMS inside et lapsus révélateur) et je suis accueilli par JP et sa charmante épouse (beau couple, Madame est aussi sympa que Monsieur). Je découvre les merveilles. Bon disons le tout net, c'est d'abord vachement beau. La maitresse de maison le concède aisément. Je lis dans le sourire l'espérance de la fin du sacerdoce de l'épouse compatissante de l'audiophile. Elle l'affirme haut et fort: c'est vraiment beau ! Et c'est vrai que sur la finition et l'apparence globale de cette enceinte, on est largement au dessus des standards hifi habituels. L'enceinte s'intègre bien à la pièce. Je ne suis pas forcément un adepte du Feng shui voyons donc comment ça marche.

Comme je l'ai dit plus haut le système de JP a pas mal changé. Exit les Avant Garde (ça saute aux yeux!) mais aussi changement de pré pour l'occasion (un pré actif Halgorythme déchainant les passions de David) et intégration d'un système dématérialisée de Haut vol, donc j'ai juré de ne pas divulguer la composition    ... ( ça va attirer du Monde...).

"JP me dit, on écoute le système dématérialisé après on mange". Il a raison, écouter le vinyle pour commencer, ce serait dramatique.

Nous commençons donc notre écoute. J'ai écouter plusieurs fois un système "Walter" à base de 604, de schéma Loyez. ça m'avait énormément plu  de spontanéité mais je restais un peu frustré en terme de bande passante. Là ce n'est absolument pas le cas   ... Le grave est absolument superbe, et l'impact dynamique est là. Au début, je suis assez séduit par la démarche globale, par le rendu de la dynamique, la bande passante et les timbres, mais décontenancé par l'absence d'image. Mais je me dis "peut être est ce le disque ?". Jean Pierre interpréte-t-il mon silence (la question du jour: fait il de la télépathie   ?) :" remets toi au centre, c'est une enceinte d'égoiste", et là je constate qu'effectivement il y a une image... Nous commençons par Pierre, sublime chanson de Barbara. L'enceinte révèle une belle richesse dans la matière si particulière de la Dame Noire. Beaucoup de chose étonnante se passent. D'habitude la voix de Barbara est restituée dans un léger vibrato, une voix en souffle à certains égards. Là non, elle prend au contraire une belle épaisseur, et comme lorsque le système marche bien, on entend plein de détail, sur le placement, les variations de tempo, l'intonation de la voix de la Superbe chanteuse. Brel nous ramène à Orly. J'adore cette chanson, c'est triché   ! Nous parcourons quelques monuments du disque, et des trouvailles comme les mélomanes aiment partager, notamment un disque de ballet Sud Africain splendide, et une messe de Bach "africaine" avec une dynamique inouie !

Bref ce machin swingue ! Jean Pierre va finir les préparatifs de la table, et me laisse jouer avec sa tablette. Effectivement, la dématérialisation c'est tentant... J'avais déjà écouté ce type de solution ailleurs, et j'avais eu un PC à base de carte son il y a quelques années.

Le repas est toujours aussi sympa. Je déguste une surprise venue de Morteau façon JP, avec une purée maison. Le St Emilion remplit très correctement sa mission. Un gateau au chocolat (un peu trop chocolaté) de mon pâtissier de "substitution" (le dealer habituel étant fermé le lundi    ...) se marie bien avec le vin. Mention spéciale auparavant à un Brie plus que sympathique !

Nous passons au morceau de choix le vinyle:

J'ai amené quelques galettes sympatoches:
- Pierre Fournier Vivaldi concerto pour violoncelle Mono Decca 25 cm. Bon première tarte, c'est beau c'est incarné et tellement présent. L'orchestre n'est pas en reste (j'ai Münchinger en tête) . Passent deux superbes pièces.

- Petrouchka de Stravinski par Ansermet et l'Orchestre de la Suisse Romande Ace of Clubs (Decca) 1957. Là autant le dire de suite, c'est un feu d'artifice. Le disque est en superbe état, et je suis très perturbé, c'est du Mono ??

Ce ballet est une explosion de musicalité ! C'est vraiment très beau et impressionnant. ça swingue de partout, je comprends que ces enceintes ne sont pas que belles, il se passe un truc. JP me dit "et elles ne sont pas rôdées. Va falloir aussi travailler sur l'optimisation".
- On continue avec Ansermet puisque tout se passe bien; Saint Saens Danse macabre:

Le disque est en moins bon état. Pour autant, le violon a une texture que je n'ai jamais entendu sur un système numérique. Je suis prêt à le constater si certains d'entre vous s'en sentent. C'est le moment d'ailleurs où l'on partage après ce disque sur le niveau et la mise en oeuvre du vinyle chez le taulier. On est d'accord pour dire que cette Lyra est merveilleuse...

- Je me dis "glissons en douceur vers la performance". Un disque dur, mais une merveilleuse prise de son.

Un disque de la même collection et du même interprète, mais dans la Walstein de Beethoven avait totalement était transfiguré par la système de Jérôme. Là c'est peut être moins "gros" son, on est dans une texture plus analytique. Mais qu'est ce que ça swingue ! Bien evidemment des choses sont améliorables. A mon sens, les amplicateurs de Cédric sont splendides, mais plus orientés comme me le souffle Jean Pierre sur une culture baroque et instrument d'époque de la musique. On est loin d'un romantisme Beethovien ! En clair, va falloir bosser sur les tubes, notamment les drivers, pour approcher d'une écoute aussi riche en matière, mais un peu moins "pointue". Il y a aussi sans doute là dedans du rodage à faire (Note à la l'attention de Mambo: mes oreilles ne vont pas vivre avec ces paires d'enceintes   ... Je verrai bien le prochain coup).

Le Piano Forte c'est un peu comme le violon par Bobby Lapointe, ça peut rapidement devenir "Tsigane"    ! Et bien là tout va bien, on s'amuse, on suit le caractère enjoué d'une partition très fortement marqué par la découverte des Fugues de Bach. Mozart vient de découvrir en 1782 les merveilles du génie de Leipzig. ça s'entend fortement. Jean Pierre me dit "je ne reconnais pas Mozart", pourtant bien enfoui après le contrepoint on entend la malice de l'autrichien.

On revient vers du plus classique, mais merveilleux. J'ai aussi envie de faire plaisir à mon hôte:

Girl Talk (1967) C'est d'une virtuosité incroyable! Quelle main droite... Le disque est poussiéreux, JP lui fait une beauté. C'est quand même génial.

On finit par une petite "sucrerie". Un disque à la prise de son stupéfiante que certains d'entre vous doivent connaitre:

Prise de son parisienne de 1984. Très beau et gros son. La voix est assez merveilleuse. Un début de "I love Paris" a capella d'anthologie...

Suivront quelques petites bonninesques... Un Pablo Live de dingue, et un guitariste accompagnateur de Ella sublime: musicalité et virtuosité de fou encore une fois.

Bref, JP est en forme ses enceintes aussi. Je pense qu'on n'a pas fini d'avoir envie de faire l'ascension de St Georges à Pigalle...

[Cartel]

Grand merci pour ce papier compte rendu d'écoute. Ça met vraiment en appétit. Pour les visiteurs, faudrait peut-être prévoir qqes chambres d'hôtes.  

[lcartau]

Grand merci pour ce papier compte rendu d'écoute. Ça met vraiment en appétit. Pour les visiteurs, faudrait peut-être prévoir qqes chambres d'hôtes.  

Jean Pierre propose plein de chose à ses hôtes il me semble, mais pas de chambre   ... En tout cas, j'ai passé une excellente soirée musicale.

[JérômeB]

D'habitude la voix de Barbara est restituée dans un léger vibrato, une voix en souffle à certains égards. Là non, elle prend au contraire une belle épaisseur, et comme lorsque le système marche bien, on entend plein de détail, sur le placement, les variations de tempo, l'intonation de la voix de la Superbe chanteuse.

En toute logique, si les tubes ne sont pas anémiques et si on n'abuse pas de la pédale woua-woua, pas de raison pour que la voix de Barbara sonne comme tu le décris.
Sauf si c'est sur le disque ...

[lcartau]

En toute logique, si les tubes ne sont pas anémiques et si on n'abuse pas de la pédale woua-woua, pas de raison pour que la voix de Barbara sonne comme tu le décris.
Sauf si c'est sur le disque ...

tut tut    ! Objection ! J'ose à peine imaginer ce qu'aurait donner la voix de Barbara sur les JBL qui officiaient "avant la révolution en marche" chez toi. Un système approximatif a vite fait de transformer Barbara en Véronique Sanson   ... Idem, la voix de Brel, notamment avec un vinyle bien réglé gagne une épaisseur qu'elle n'a absolument pas lorsque tu écoutes un beau reportage à la télévision avec des extraits de chanson.

C'était un peu le sens de ma remarque, plein de système sont jolis en terme de rendu, mais rendent généralement un tout approximatif, cohérent, mais sonnant de manière très simplifiée. Bien sûr il y a des gradations dans ce genre de tendance. Là ce n'est pas le cas. Comme souvent avec les systèmes de Cédric, on éprouve une forte sensation de matière et d'information, qui peut laisser croire un instant que l'on va gagner en détail et perdre en musicalité. Cela est une apparence trompeuse. Puisque lorsque tout s'équilibre en terme d'utilisation des tubes, on garde du détail et l'on gagne en musicalité. Ce fut le cas chez Jean Pierre et c'est le cas chez toi   . Donc on peut construire un système avec beaucoup de détail sans que cela soit sec et manque de musicalité ( c'est simplement ton système en vinyle). Mais il est incroyablement tendant, de mettre un médium en avant et de parler alors de message musical. C'est d'ailleurs ce qui se produit consciemment ou inconsciemment lorsque on se dit "pourquoi je me prends la tête avec tous ces bidules, alors que c'est tellement musical quand je roule en voiture"  

Si je devais illustrer le débat par un exemple que tu connais: je dirais que c'est l'exacte différence qu'il peut y avoir entre le CD et le vinyle chez toi   ... A mon avis, tout à coup c'est parlant là non ?

[adol]

On finit par une petite "sucrerie". Un disque à la prise de son stupéfiante que certains d'entre vous doivent connaitre:
[ Image ]

Prise de son parisienne de 1984. Très beau et gros son. La voix est assez merveilleuse. Un début de "I love Paris" a capella d'anthologie...

Suivront quelques petites bonninesques... Un Pablo Live de dingue, et un guitariste accompagnateur de Ella sublime: musicalité et virtuosité de fou encore une fois.

Bref, JP est en forme ses enceintes aussi. Je pense qu'on n'a pas fini d'avoir envie de faire l'ascension de St Georges à Pigalle...

Je m'arrête sur la sucrerie, car j'ai du faire une indigestion. Je ne sais pas si c'est un travers courant des albums qu'on utilise en démo, je serais tenté de le penser car d'autres "coups de coeur" m'ont fait cet effet la, je pense notamment à We get request d'Oscar Peterson ou à celui de Patricia Barber.

Mais aussi ce sentiment d'un mixage totalement artificiel sur le I Love Paris justement, c'est vrai qu'il me dressait les poils sur les bras au début, jusqu'à commencer à me pencher plus en détails sur cette voix, entre la grosse reverb d'outre tombe, la voix étalée sur 10 mètre de large, et le gain de la respiration remonté au maximum, je trouve que cet enregistrement en fait juste beaucoup trop.

Mais je conçois volontiers qu'à trop entendre un titre, on finisse par se détacher du charme instantané qui s'en dégage au profit d'une analyse plus objective...