Cot Cot Koda.
(Spendor, Rogers, Harbeth,…, Panneaux Quad, BBC Monitor)
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#1 par Aristide » 23 Mai 2013 à 22:49
Histoire d égaier ces tristes journées de mousson et pour coller à l ambiance asiatique , après de longues tergiversations et hésitations , j ai décidé de me mouiller en vous causant d une paire d enceintes qui trônent dans mon Atelier depuis plus d un mois.
Ces enceintes sont ..................Chinoises , décriées sur les forums , et pas valorisées...
Une bonne bagarre en perspective pour celui qui osera les mettre en valeur , et qui aura l outrecuidance d en causer , mais comme je n ai peur de rien et que il faut bien réchauffer l ambiance qui est un peu fraîche , je serais donc celui là ....
Tel le Bayard moyen je serais donc le chevalier qui va vous dire du bien de ces engins , pas ce soir mais au plus tard demain ,préparez les pop corns , le goudron et les plumes........
Christophe

Ces enceintes sont ..................Chinoises , décriées sur les forums , et pas valorisées...
Une bonne bagarre en perspective pour celui qui osera les mettre en valeur , et qui aura l outrecuidance d en causer , mais comme je n ai peur de rien et que il faut bien réchauffer l ambiance qui est un peu fraîche , je serais donc celui là ....

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Re: Cot Cot Koda.
#2 par quadro » 23 Mai 2013 à 22:56
Allons bon, du chinois ! Ton éclectisme surprendra toujours. Souhaites-tu nous entretenir du modèle D-858-effe ?
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Re: Cot Cot Koda.
#3 par Aristide » 23 Mai 2013 à 23:07
Mais Voui mon bon
, cela dit je t associe volontiers à ce fil puisque nous avons eu l occasion de causer en privé de ces bassines et que tu n es pas étranger à cette publication qui est d une certaine manière la suite de nos conversations
,
Donc tu officieras en tant que vaillant spadassin aux cotés du preux chevalier pour cette noble cause qu est la valorisation de la camelote chinoise de super marché.
Certains me diront que je ferais mieux de ne pas gaspiller mes précieux cinq messages pour des bêtises alors que je devrais les conserver pour parler des boîtes vides ou pleines que le mundillo hifiste attend avec impatience , mais nous ne sommes pas le 31 Mai et puis si je n ai pas assez de messages pour en causer et dévoiler les atours des boîtes vous n aurez qu a faire une pétition pour que la direction me rende mon droit intégral à la parole , ayant depuis trop longtemps déjà à mon avis une tenue presque parfaite sur la pelouse
.
Christophe.


Donc tu officieras en tant que vaillant spadassin aux cotés du preux chevalier pour cette noble cause qu est la valorisation de la camelote chinoise de super marché.

Certains me diront que je ferais mieux de ne pas gaspiller mes précieux cinq messages pour des bêtises alors que je devrais les conserver pour parler des boîtes vides ou pleines que le mundillo hifiste attend avec impatience , mais nous ne sommes pas le 31 Mai et puis si je n ai pas assez de messages pour en causer et dévoiler les atours des boîtes vous n aurez qu a faire une pétition pour que la direction me rende mon droit intégral à la parole , ayant depuis trop longtemps déjà à mon avis une tenue presque parfaite sur la pelouse

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Re: Cot Cot Koda.
#4 par quadro » 24 Mai 2013 à 09:44
Larry, avant de m'associer à cette entreprise de valorisation, tu vas devoir ramer seul à contre-courant… le défricheur de bonnes affaires n'échappe pas à sa destinée !
Mon expérience de la bassine coréenne a tourné court…
Mis en appétit par ton commentaire dithyrambique, j'ai fait chauffer la carte de crédit ! A réception, je découvre une bassine et non une paire comme présentée en photo. Sur un site de matériel de foire, j'aurais été vigilant, là… pas !
Résultat, retour à l'envoyeur…
A 212 € la paire, j'aurais pu insister. Hélas, je ne suis pas de cette trempe… !

Mon expérience de la bassine coréenne a tourné court…
Mis en appétit par ton commentaire dithyrambique, j'ai fait chauffer la carte de crédit ! A réception, je découvre une bassine et non une paire comme présentée en photo. Sur un site de matériel de foire, j'aurais été vigilant, là… pas !

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Re: Cot Cot Koda.
#5 par Aristide » 24 Mai 2013 à 18:10



Tu ne me l avais pas raconté celle là........
J explique rapidos comment je me suis retrouvé avec ces engins que JAMAIS je n aurais acheté si mon fils n avait pas débarqué triomphant et fier comme bar tabac avec dans le coffre ces enceintes parce que sachant que je cherchais des bassines pour tester mon ampli à l atelier ou il est fabriqué celui ci n étant pas richement équipé en enceintes Nifi...
Je n ai pas osé le vexer et n ai rien dit quand j ai vu ces trucs , et mon fils a vite compris que j étais plutôt suspicieux et méfiant quand je lui ai dit que ça pourrait faire l affaire pour son home cinema

J ai mis deux jours a me décider à les tester tellement j étais sur que ça ne pouvait être que des daubes....
Et quand je les ai testé pour voir ,sur par avance du résultat négatif ,eh Ben j ai pris une claque ....je savais le petit *** fabuleux ...

Photos et suite plus tard.
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Re: Cot Cot Koda.
#6 par Alleuze » 24 Mai 2013 à 18:13
I'll play it and tell you what it is later... (Miles Davis)
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Re: Cot Cot Koda.
#7 par quadro » 24 Mai 2013 à 21:12
Idéales pour remplacer des RC et assurer une transition campagnarde !
Récemment, dans un moment d'égarement, je me suis risqué hors de Paris. Je tairai le nom de la destination pour ne peiner personne et ne susciter aucune jalousie.
La surprise était au bout du chemin vicinal. Passée la première impression d'un monde à part, recroquevillé sur lui-même,
j'ai découvert la passion audiophile qui anime nos vertes contrées en tombant, au détour d'un virage, sur un bureau de VOTT… !
Récemment, dans un moment d'égarement, je me suis risqué hors de Paris. Je tairai le nom de la destination pour ne peiner personne et ne susciter aucune jalousie.
La surprise était au bout du chemin vicinal. Passée la première impression d'un monde à part, recroquevillé sur lui-même,
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Re: Cot Cot Koda.
#8 par Aristide » 26 Mai 2013 à 10:52
Je ne suis pas bien ton histoire de vott Quadro , mais tu vas certainement nous expliquer tout cà je suppose.
Pour en revenir à ces fameuses enceintes à bas prix d'origine asiatique je ne vais pas me lancer dans un cr d 'écoute , je vais juste dire que je les écoute quotidiennement et que je m 'étonne à chaque fois de leurs qualités sonores et de leur finition , un rendement permettant à un petit 8 watts de faire autant de son qu'avec un gros transistor , une définition n 'ayant rien à envier aux Elipson prestige installées à leur coté , une trés belle image tridimensionelle , une capacité dynamique explosant les Reynaud visibles sur la photo , des timbres à l 'occidentale , bref un vrai plaisir à l 'écoute avec une mention particuliére sur le rock sous toutes ses formes et de trés grandes qualités sur les voix humaines ...une aptitude au classique méme symphonique laissant derriére beaucoup de soit disant enceintes de haut de gamme , et un swing de bon aloi en jazz , que demander de plus ?
Je les conseille sans réserve et suggére de les atteler à un ampli vraiment capable pour les exploiter , si l' ampli est moyen ou sans intéret elles seront également sans intéret (voir les commentaires négatifs sur la toile de ceux qui les font fonctionner avec des intégrés quelconques ...) par contre attellées à un ampli et une source de qualité elles se réveleront et pour une somme modique permettront d 'avoir une écoute de haut de gamme.
Les Koda en situation.
Seuls les malins et les opportunistes en profiteront , les incrédules peuvent passer leur chemin et rater ainsi une aubaine , chacun voit midi à sa porte.
Pour étre trés franc je dirais que j 'ai trouvé un lien de parenté assez évident à l 'écoute de ces enceintes avec les Advance Acoustic K11 que j 'ai eu en démo dans mon salon , elles ont d 'ailleurs un certain nombre d 'élements en commun dont l 'excellent tweeter qui les orne , de méme que la finition piano et la facade découplée...ce qui me fait penser qu'elles sortent toutes de la méme usine , ce n 'est qu'une supposition , mais l 'air de famille est bien là.
Christophe.
Pour en revenir à ces fameuses enceintes à bas prix d'origine asiatique je ne vais pas me lancer dans un cr d 'écoute , je vais juste dire que je les écoute quotidiennement et que je m 'étonne à chaque fois de leurs qualités sonores et de leur finition , un rendement permettant à un petit 8 watts de faire autant de son qu'avec un gros transistor , une définition n 'ayant rien à envier aux Elipson prestige installées à leur coté , une trés belle image tridimensionelle , une capacité dynamique explosant les Reynaud visibles sur la photo , des timbres à l 'occidentale , bref un vrai plaisir à l 'écoute avec une mention particuliére sur le rock sous toutes ses formes et de trés grandes qualités sur les voix humaines ...une aptitude au classique méme symphonique laissant derriére beaucoup de soit disant enceintes de haut de gamme , et un swing de bon aloi en jazz , que demander de plus ?
Je les conseille sans réserve et suggére de les atteler à un ampli vraiment capable pour les exploiter , si l' ampli est moyen ou sans intéret elles seront également sans intéret (voir les commentaires négatifs sur la toile de ceux qui les font fonctionner avec des intégrés quelconques ...) par contre attellées à un ampli et une source de qualité elles se réveleront et pour une somme modique permettront d 'avoir une écoute de haut de gamme.

Les Koda en situation.
Seuls les malins et les opportunistes en profiteront , les incrédules peuvent passer leur chemin et rater ainsi une aubaine , chacun voit midi à sa porte.
Pour étre trés franc je dirais que j 'ai trouvé un lien de parenté assez évident à l 'écoute de ces enceintes avec les Advance Acoustic K11 que j 'ai eu en démo dans mon salon , elles ont d 'ailleurs un certain nombre d 'élements en commun dont l 'excellent tweeter qui les orne , de méme que la finition piano et la facade découplée...ce qui me fait penser qu'elles sortent toutes de la méme usine , ce n 'est qu'une supposition , mais l 'air de famille est bien là.
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Re: Cot Cot Koda.
#9 par photo.phil » 27 Mai 2013 à 18:16
quadro » 24 Mai 2013, 09:44 a écrit:Larry, avant de m'associer à cette entreprise de valorisation, tu vas devoir ramer seul à contre-courant… le défricheur de bonnes affaires n'échappe pas à sa destinée ! :mrgreen:
Mon expérience de la bassine coréenne a tourné court…
Mis en appétit par ton commentaire dithyrambique, j'ai fait chauffer la carte de crédit ! A réception, je découvre une bassine et non une paire comme présentée en photo. Sur un site de matériel de foire, j'aurais été vigilant, là… pas !![]()
Résultat, retour à l'envoyeur…
A 212 € la paire, j'aurais pu insister. Hélas, je ne suis pas de cette trempe… !
tu descend d'un coup dans mon estime. je suis déçu et tu va perdre beaucoup en crédibilité désormais...
Phil
je suis fan de JMlab / Focal et encore plus d'Onix période Tony. c'est grave docteur ?
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Re: Cot Cot Koda.
#10 par quadro » 27 Mai 2013 à 18:52
Tôt ou tard, selon le principe de Peter, tout individu atteint son niveau d'incompétence !
Si cela peut te permettre d'atténuer ta peine, j'ai beaucoup hésité avant de franchir le rubicon…
D'abord, la réputation sulfureuse de Larry, puis, la possible chute dans ton estime et, in fine, ta sincère et probable déception !
Sois assuré de mon soutien dans ce moment pénible…
Si cela peut te permettre d'atténuer ta peine, j'ai beaucoup hésité avant de franchir le rubicon…
D'abord, la réputation sulfureuse de Larry, puis, la possible chute dans ton estime et, in fine, ta sincère et probable déception !
Sois assuré de mon soutien dans ce moment pénible…

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Re: Cot Cot Koda.
#11 par photo.phil » 27 Mai 2013 à 21:43
mon pauvre Quadro, tu n'imagines même pas l'étendu des dégâts que ces aveux on pu provoquer. un séisme, que dis-je, un tsunami de déception, tout un pan de mes croyances audiophiles sont tombées. tu n'entends donc pas la longue complainte rauque et désespérée que je t'adresse : reviens parmi nous, reviens à la réalité du vert !
pourtant, après toutes ces années passées auprès des maitres du bextrène, je croyais que tu étais à l'abri, protégé de la rechute, ces milliers de post auprès de tous ces sages verts devaient te tenir sur le droit chemin. l'enseignement long et assidu que tu as reçu, toutes les bonnes associations que tu as découvert ici, ça n'a pas pu t'échapper, tu ne peux pas oublier, c'est impossible.
une bonne caisse d'enceintes en agglo vieilli, un beau plaquage de vrai fibres de bois, des haut parleurs avec un châssis en fonte d'aluminium, une membrane en Bextrène, un filtre ou trône de beaux condensateur en papiers huilé, l'odeur qui se dégage de la poussière chaude de l'ampli en classe A, chaud comme le corps brulant d'une femme aux abois (au bois ?), le bruit caractéristique de la pointe qui caresse le vinyl, je parle du diamant sur le disque, voyons, allez enfin tu te rappelle. il y a des choses que l'on ne peut pas oublier.
et toi, même après une longue réflexion, tu.. tu... - j'ai du mal à l'écrire - tu tourne le dos à la magie d'une voix de LS3/5, au chant délicat d'un harbeth, à la puissance évocatrice d'une Tannoy, et pourquoi donc, pour aller fricoter du coté du plastique asiatique !
comprends tu désormais, le désarroi, la peine immense, l'image insoutenable de la brebis qui s'égare, la vision horrible du marin qui plonge hypnotisé par le chant d'une sirène, chinoise qui plus est ! c'en est trop, je t'en supplie, dis moi que tu regrette, que tu ne recommenceras pas. même si la douleur est immense, au moins l'espoir de ta guérison me fera du bien...
pourtant, après toutes ces années passées auprès des maitres du bextrène, je croyais que tu étais à l'abri, protégé de la rechute, ces milliers de post auprès de tous ces sages verts devaient te tenir sur le droit chemin. l'enseignement long et assidu que tu as reçu, toutes les bonnes associations que tu as découvert ici, ça n'a pas pu t'échapper, tu ne peux pas oublier, c'est impossible.
une bonne caisse d'enceintes en agglo vieilli, un beau plaquage de vrai fibres de bois, des haut parleurs avec un châssis en fonte d'aluminium, une membrane en Bextrène, un filtre ou trône de beaux condensateur en papiers huilé, l'odeur qui se dégage de la poussière chaude de l'ampli en classe A, chaud comme le corps brulant d'une femme aux abois (au bois ?), le bruit caractéristique de la pointe qui caresse le vinyl, je parle du diamant sur le disque, voyons, allez enfin tu te rappelle. il y a des choses que l'on ne peut pas oublier.
et toi, même après une longue réflexion, tu.. tu... - j'ai du mal à l'écrire - tu tourne le dos à la magie d'une voix de LS3/5, au chant délicat d'un harbeth, à la puissance évocatrice d'une Tannoy, et pourquoi donc, pour aller fricoter du coté du plastique asiatique !
comprends tu désormais, le désarroi, la peine immense, l'image insoutenable de la brebis qui s'égare, la vision horrible du marin qui plonge hypnotisé par le chant d'une sirène, chinoise qui plus est ! c'en est trop, je t'en supplie, dis moi que tu regrette, que tu ne recommenceras pas. même si la douleur est immense, au moins l'espoir de ta guérison me fera du bien...

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Re: Cot Cot Koda.
#12 par quadro » 28 Mai 2013 à 14:50
Phil, je perçois une grande détresse chez toi…
Il n'est d'expérience humaine sincère sans remise en question des connaissances acquises…
Remettre sans cesse sur le métier acquis et croyances constitue le cœur et l'oxygène indispensables à toute quête. Ta longue expérience aurait dû t'enseigner ce fait, jeune padawan !
Sur ce chemin, le désespoir n'a pas sa place, la déception, pas plus ! L'homme engagé dans cette voie ne mesure plus l'intérêt de son choix en termes de distance ou de durée.
Cette homme se conjugue au présent…
Larry Steed est de cette trempe ! Voilà, un homme que la passion anime. Un homme prêt à relever manches et défis et qui, suprême outrecuidance, se permet toutes les audaces. Il est de toutes les aventures de la conception à la réalisation sans négliger l'exotisme.
Il est artisan, poète, troubadour, au fond, inclassable.
Larry Steed brûle la chandelle par les deux bouts. Il se consume dans une frénésie d'activités, de rencontres, d'échanges sans jamais se départir de cet air enjoué qui sied au défricheur de terres vierges
Et pourtant, voilà un homme qui prend des coups, sans jamais distribuer d'orions en retour, et qui, malgré cette cabale organisée, ne renonce jamais ! Pis, il assume cette singularité et la revendique…
Joli pied de nez !
Phil, au vu du doute qui te submerge actuellement, cette digression m'a semblé nécessaire pour ton équilibre et ta progression personnelle !
Elle démontre que l'espoir est encore permis. Que renoncer revient à se priver de liberté, celle d'agir. Tu devrais pouvoir dépasser cette douleur en affrontant tes démons.
Reconsidère tes acquis et tes croyances en osant l'écoute de ces Koda ! Si la peur d'éveiller les consciences t'étreint trop fortement, il te sera toujours loisible de le faire sous un nom d'emprunt…
La vérité n'est pas nominative !
Il n'est d'expérience humaine sincère sans remise en question des connaissances acquises…
Remettre sans cesse sur le métier acquis et croyances constitue le cœur et l'oxygène indispensables à toute quête. Ta longue expérience aurait dû t'enseigner ce fait, jeune padawan !

Sur ce chemin, le désespoir n'a pas sa place, la déception, pas plus ! L'homme engagé dans cette voie ne mesure plus l'intérêt de son choix en termes de distance ou de durée.
Cette homme se conjugue au présent…
Larry Steed est de cette trempe ! Voilà, un homme que la passion anime. Un homme prêt à relever manches et défis et qui, suprême outrecuidance, se permet toutes les audaces. Il est de toutes les aventures de la conception à la réalisation sans négliger l'exotisme.
Il est artisan, poète, troubadour, au fond, inclassable.
Larry Steed brûle la chandelle par les deux bouts. Il se consume dans une frénésie d'activités, de rencontres, d'échanges sans jamais se départir de cet air enjoué qui sied au défricheur de terres vierges
Et pourtant, voilà un homme qui prend des coups, sans jamais distribuer d'orions en retour, et qui, malgré cette cabale organisée, ne renonce jamais ! Pis, il assume cette singularité et la revendique…
Joli pied de nez !
Phil, au vu du doute qui te submerge actuellement, cette digression m'a semblé nécessaire pour ton équilibre et ta progression personnelle !
Elle démontre que l'espoir est encore permis. Que renoncer revient à se priver de liberté, celle d'agir. Tu devrais pouvoir dépasser cette douleur en affrontant tes démons.
Reconsidère tes acquis et tes croyances en osant l'écoute de ces Koda ! Si la peur d'éveiller les consciences t'étreint trop fortement, il te sera toujours loisible de le faire sous un nom d'emprunt…
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Re: Cot Cot Koda.
#13 par Aristide » 28 Mai 2013 à 17:34
Salut Quadro , je prend ton épitre pour un compliment et t'en remercie car tu as su définir un type de réalité qui me colle assez bien à la peau , Mr est fin psychologue
.
Et ma foi , j 'apprécie par les temps qui courent d' étre reconnu tel que je suis entre deux séances de chataignes
, que je dois l 'avouer je provoque un peu (mais il y a des distributeurs de qualité sur le vert et ma foi sans étre masochiste j 'aime bien voir la nature humaine en action dans ce quelle a de pas net...................
).
Je suis ainsi et ne me referais pas , il faut vivre chaque jour comme si c 'était le dernier disait l 'autre , c'est ainsi que l 'on reste libre et que l 'on échappe aux regrets et à la monotonie , c'est aussi une affaire de tempérament on nait comme cà , mais on peu le devenir également.
Le jeune pasdawan Phil se doit aprés telle épitre d 'aller effectivement se confronter aux mystéres de l'Asie sonore et en tirer les conclusions qui s'imposent
.
Amicalement .
Christophe.

Et ma foi , j 'apprécie par les temps qui courent d' étre reconnu tel que je suis entre deux séances de chataignes


Je suis ainsi et ne me referais pas , il faut vivre chaque jour comme si c 'était le dernier disait l 'autre , c'est ainsi que l 'on reste libre et que l 'on échappe aux regrets et à la monotonie , c'est aussi une affaire de tempérament on nait comme cà , mais on peu le devenir également.
Le jeune pasdawan Phil se doit aprés telle épitre d 'aller effectivement se confronter aux mystéres de l'Asie sonore et en tirer les conclusions qui s'imposent

Amicalement .
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Re: Cot Cot Koda.
#14 par quadro » 02 Juin 2013 à 22:57
Toujours pas d'engouement pour ces colonnes coréennes… Photo.Phil avoue !
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Re: Cot Cot Koda.
#15 par photo.phil » 03 Juin 2013 à 13:25
non, non, je n'avoue rien, il ne s'est rien passé, c'est plus fort que moi, je n'ai pas pu.
je vous raconte l'aventure, mais c'est encore frais et mes doigts tremblent sur le clavier, je sors tout juste d'une torpeur, presque un coma, la joue collée depuis trois jours à des membranes bextrène afin de répudier le choc de la rencontre avec les Kooodddd..., je n'arrive pas encore à prononcer leur noms !
je suis allé, donc, d'un pas décidé, gonflé à bloc par votre courage et vos commentaires partisans, vers la vitrine d'un cash local, antre du rachat contre monnaie sonnante des moindres de vos reliquats, restes de vos vies passées à servir la société de consommation et parmi elles, des Koddaaas, neuves, brillantes, clinquantes comme les strass en plastique sur le petit haut bien trop petit qui peine à contenir la poitrine opulente de la caissière muette (et c'est tant mieux) devant tant de misère. les colonnes, tel des phallus, se dressent devant moi, prêtes à me sortir leur musique fluide et certainement divine, la vision est terrible, je suis hypnotisé, je m'approche, je sens leurs HP prêt à déglutir leur sonorité suave et limpide, elles sont là, tout près et sans le vouloir, instinctivement, comme le lion qui lèche sa proie fraichement tuée dans un geste possessif, comme l'enfant vers le jouet tant attendu, je tente un geste maladroit, je les touche du bout du doigt et ...
... attends, je respire, il faut du courage pour écrire un moment pareil. je sens encore cette sensation, la sueur perlé sur le front, de la découverte d'un trésor caché, du mystère qui n'en sera plus un, du premier pas sur une planète inconnu, comme le jeune premier le soir de sa première représentation, un mélange d'angoisse, de peur refrénée, on approche du but, le geste est délicat mais conquérant, imagine l'effort surhumain qu'il aura fallu !
... je les touches donc du bout du doigt et à ce moment là, juste à ce moment là, un vendeur - piètre technicien, dans ce gourbis pathétique, mais maitre de la vente rapide au consommateur avide et attiré par la promesse d'une affaire - ce margoulin, dont la carrière terne et passée dans différentes échoppes, fatigué de vendre, un jour du jambon industriel rose, un autre jour des aspirateur centralisé censés révolutionner la vie trépidante de nos femmes d'intérieurs, ce cloporte au teint blafard, arrivé donc ici par le hasard des agences d'intérim, éclairé par des néons usés et scintillants de leur couleurs indéfinissables, se permet un geste vif et rapide, c'en est même étonnant, vu l’absence d'énergie dont fait preuve l'individu, ce type dont le visage ne sera jamais gravé dans ma mémoire, tente de tourner le bouton de volume de l'ampli misérable qui leur sert de "démonstration", ampli gris et terne, lui aussi, assemblé comme les Kooddaaaa par des petites mains blanches d'enfants asiatiques qui ne voient jamais le soleil, des mains sales et déjà durcies du travail acharné à fabriquer ces totems exportés et dédiés à notre société dite civilisée. soudain, prompt comme un chat, rapide comme un justicier marvelien, tellement véloce que le pauvre vendeur, fit un bond en arrière, je lui crie :"NON" !
je ne pouvais pas, voilà, c'était trop rapide, comme l'amant éperdu devant la fille trop belle qui s'offre dès le premier soir, je n'ai pas pu, j'ai dis non, "je viens juste les voir" dis-je au pauvre commerçant et sur ce, je sors de suite, d'un pas leste, à la limite de courir, je dois fuir, je passe devant la jeune et plantureuse caissière (a qui je ne dirais pas non d'ailleurs, mais c'est une autre histoire...), qui doit me regarder d'un œil interrogatif, mais je ne regarde pas ces yeux, non, mon regard se situe 20cm plus bas, sur le pauvre petit haut, prêt à craquer, dont les courbes rondes, pleines et finalement maternelles me rassurent, je rentre chez moi, je me vautre lamentablement sur le canapé, fatigué, lavé, comme le perdant d'un match frénétique, non, je n'ai pas pu les écouter. il faudra revenir, mais j'y arriverai, je le ferais, le grand saut vers l'inconnu, je saurais enfin.

je vous raconte l'aventure, mais c'est encore frais et mes doigts tremblent sur le clavier, je sors tout juste d'une torpeur, presque un coma, la joue collée depuis trois jours à des membranes bextrène afin de répudier le choc de la rencontre avec les Kooodddd..., je n'arrive pas encore à prononcer leur noms !
je suis allé, donc, d'un pas décidé, gonflé à bloc par votre courage et vos commentaires partisans, vers la vitrine d'un cash local, antre du rachat contre monnaie sonnante des moindres de vos reliquats, restes de vos vies passées à servir la société de consommation et parmi elles, des Koddaaas, neuves, brillantes, clinquantes comme les strass en plastique sur le petit haut bien trop petit qui peine à contenir la poitrine opulente de la caissière muette (et c'est tant mieux) devant tant de misère. les colonnes, tel des phallus, se dressent devant moi, prêtes à me sortir leur musique fluide et certainement divine, la vision est terrible, je suis hypnotisé, je m'approche, je sens leurs HP prêt à déglutir leur sonorité suave et limpide, elles sont là, tout près et sans le vouloir, instinctivement, comme le lion qui lèche sa proie fraichement tuée dans un geste possessif, comme l'enfant vers le jouet tant attendu, je tente un geste maladroit, je les touche du bout du doigt et ...
... attends, je respire, il faut du courage pour écrire un moment pareil. je sens encore cette sensation, la sueur perlé sur le front, de la découverte d'un trésor caché, du mystère qui n'en sera plus un, du premier pas sur une planète inconnu, comme le jeune premier le soir de sa première représentation, un mélange d'angoisse, de peur refrénée, on approche du but, le geste est délicat mais conquérant, imagine l'effort surhumain qu'il aura fallu !
... je les touches donc du bout du doigt et à ce moment là, juste à ce moment là, un vendeur - piètre technicien, dans ce gourbis pathétique, mais maitre de la vente rapide au consommateur avide et attiré par la promesse d'une affaire - ce margoulin, dont la carrière terne et passée dans différentes échoppes, fatigué de vendre, un jour du jambon industriel rose, un autre jour des aspirateur centralisé censés révolutionner la vie trépidante de nos femmes d'intérieurs, ce cloporte au teint blafard, arrivé donc ici par le hasard des agences d'intérim, éclairé par des néons usés et scintillants de leur couleurs indéfinissables, se permet un geste vif et rapide, c'en est même étonnant, vu l’absence d'énergie dont fait preuve l'individu, ce type dont le visage ne sera jamais gravé dans ma mémoire, tente de tourner le bouton de volume de l'ampli misérable qui leur sert de "démonstration", ampli gris et terne, lui aussi, assemblé comme les Kooddaaaa par des petites mains blanches d'enfants asiatiques qui ne voient jamais le soleil, des mains sales et déjà durcies du travail acharné à fabriquer ces totems exportés et dédiés à notre société dite civilisée. soudain, prompt comme un chat, rapide comme un justicier marvelien, tellement véloce que le pauvre vendeur, fit un bond en arrière, je lui crie :"NON" !
je ne pouvais pas, voilà, c'était trop rapide, comme l'amant éperdu devant la fille trop belle qui s'offre dès le premier soir, je n'ai pas pu, j'ai dis non, "je viens juste les voir" dis-je au pauvre commerçant et sur ce, je sors de suite, d'un pas leste, à la limite de courir, je dois fuir, je passe devant la jeune et plantureuse caissière (a qui je ne dirais pas non d'ailleurs, mais c'est une autre histoire...), qui doit me regarder d'un œil interrogatif, mais je ne regarde pas ces yeux, non, mon regard se situe 20cm plus bas, sur le pauvre petit haut, prêt à craquer, dont les courbes rondes, pleines et finalement maternelles me rassurent, je rentre chez moi, je me vautre lamentablement sur le canapé, fatigué, lavé, comme le perdant d'un match frénétique, non, je n'ai pas pu les écouter. il faudra revenir, mais j'y arriverai, je le ferais, le grand saut vers l'inconnu, je saurais enfin.
Phil
je suis fan de JMlab / Focal et encore plus d'Onix période Tony. c'est grave docteur ?
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Re: Cot Cot Koda.
#16 par Aristide » 03 Juin 2013 à 16:43
Quel suspens ! bravo ! une plume délicate, ciselée par un orfévre du verbe , épaté je suis ! tu devrais t 'exprimer plus souvent , encore un génie méconnu sur cette verte prairie , qui nous fait partager une pamoison de jouvenceau face à la geisha fardée et apprétée pour les noces shinto.
Courage jeune padawan , l'esprit du samourai est sur toi , retente l 'aventure et laisse donc aller cette main concupiscente sur les formes voluptueuses de cette Koda , ferme les yeux , imagine qu'il s'agit des bras de ta nounou de jeunesse et laisse toi emporter par l 'élan de tes émois.
Oublie donc l 'avantageuse poitrine de cette caissiére qui n'est que l 'illusion de la charcutiére qui te présente un bas morceau au rayon cochonnaille
: et envole toi vers le graal aux yeux bridés en emportant tel le guerrier la prise conquise de haute lutte vers ta demeure celeste.
Pour t'encourager je vais te mettre une photo plus détaillée des atours de l 'affriolante asiate
.
Je suis presque sur que Quadro le vénérable saura lui aussi t 'encourager sur le délicat chemin qui méne à l 'affranchissement et la liberté .
Kingkofe le djedai.

Courage jeune padawan , l'esprit du samourai est sur toi , retente l 'aventure et laisse donc aller cette main concupiscente sur les formes voluptueuses de cette Koda , ferme les yeux , imagine qu'il s'agit des bras de ta nounou de jeunesse et laisse toi emporter par l 'élan de tes émois.
Oublie donc l 'avantageuse poitrine de cette caissiére qui n'est que l 'illusion de la charcutiére qui te présente un bas morceau au rayon cochonnaille

Pour t'encourager je vais te mettre une photo plus détaillée des atours de l 'affriolante asiate

Je suis presque sur que Quadro le vénérable saura lui aussi t 'encourager sur le délicat chemin qui méne à l 'affranchissement et la liberté .
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