Ben oui, il ne suffit pas de couler du jaja dans la douille (ne cherchez pas, il n'y a pas de contrepèterie ...) et d'y emprisonner les gaines de sorte que c'est quasi indémontable pour réaliser un câblage correct.
En l'occurrence, sur le bras de Yann, la discontinuité était sur le fil de masse du bras, au niveau de cette douille : soudure "collée" et récalcitrante.
Bien sûr, comme les fils de modulation sont noyés dans la résine et qu'aucune boucle de réserve (le B-A-BA du câblage, pourtant) n'avait été faite , une fois la douille libérée du fût du bras, il n'y avait qu'un demi-centimètre d'ouverture pour accéder à la soudure mauvaise.
L'art de faire pire en promettant mieux ...
A la défense de ce "câbleur", le blindage des cordons n'était pas relié au point froid au niveau des RCA.
Pour le côté hum-hum, le bras et sa tête (monobloc) étant entièrement peints, il n'y avait pas moyen de vérifier la continuité de la masse de bout en bout ; pour ceux qui veulent vérifier leur continuité de masse, je recommande de gratter la peinture sur un millimètre à un endroit où ça ne se voit pas de sorte à pouvoir y poser la pointe de l'ohmmètre.
Je laisse d'autres s'épancher sur les mérites du recâblage avec des bouts de fil vendus à prix d'or et destinés à enrichir leurs vendeurs et leurs poseurs.
Désolé, pas pu m'en empêcher