05 Fév 2019 à 21:16
05 Fév 2019 à 21:22
micbog » 04 Fév 2019, 08:17 a écrit:Il y a quelques années je m’étais amusé à passer la soirée à une écoute comparative de la Winterreise en compagnie de quelques amis. La version citée plus haut par Hans Hotter l’avait emporté, en particulier grâce au Laiermann. Parmi les versions écoutées ce soir là une autre est ressortie, celle par Peter Anders qui date de la même époque et qui fait, elle aussi, ressortir cette urgence dramatique sans doute liée à la noirceur de l’époque de l’enregistrement. Enfin, c’est comme cela que le l’ai ressenti.
07 Fév 2019 à 17:30
07 Fév 2019 à 18:44
07 Fév 2019 à 19:22
08 Fév 2019 à 22:07
vintage a écrit:En ce moment le complete work de Claude Debussy
09 Fév 2019 à 14:08
lupu » 07 Fév 2019 17:44 a écrit:
Des voix ? Ah oui, celle du piano qui murmure, grommelle, soupire, ou jase comme les roseaux...
09 Fév 2019 à 14:31
09 Fév 2019 à 15:23
09 Fév 2019 à 23:58
10 Fév 2019 à 00:55
lupu a écrit:Des voix ? Ah oui, celle du piano qui murmure, grommelle, soupire, ou jase comme les roseaux...
SudPigalle a écrit:Pas tout compris![]()
Une explication ?
Pseudo a écrit:On est dans la métaphore, je suppose: le piano chante, il évoque, il soupire, il grommelle: c'est sa voix!
Et pourquoi ne pas, dans ce monde de froide réalité commerciale, créer un peu de poésie en s'amusant sur l'axe paradigmatique du langageIt's fun, folks!
SudPigalle a écrit:Tu as écouté le disque ?
JP
SudPigalle a écrit:Tu as écouté le disque ?
JP
10 Fév 2019 à 10:06
10 Fév 2019 à 10:20
lupu » 09 Fév 2019 23:55 a écrit:
Dans le " Winterreise " que vous semblez avoir beaucoup aimé, SudPigalle, on entend un ténor et un pianiste, ce qui ne fait qu'une voix. Ainsi d'ailleurs que lorsqu'il s'agit d'un baryton en lieu et place d'un ténor. Et dans les différents " Winterreise " que je peux connaître, je n'entends, au sens littéral, toujours qu'une seule voix . Or, vous écrivez : " Des voix à tomber ". Raison pour laquelle j'ai cherché une explication, peut-être en effet plus "poétique " que rationnelle.
A l'évidence mon explication vous semble plus incongrue encore ne m'est apparu le pluriel de vos " voix ".
Si ces voix sont " à tomber " , je conçois bien qu'il vaille mieux les écouter "assis". Ce n'est donc pas cette partie de votre discours qui m'interroge, et je suis donc bien obligé de revenir à ce " des voix ".
Si on ne peut assimiler métaphoriquement l'accompagnement du piano ( en l'occurrence pianoforte) à une seconde voix, et si cette explication est peu recevable au point d'être perçue comme incompréhensible, il faut bien chercher autre chose.
Un deuxième chanteur dans cette interprétation ? La présentation du disque ne semble pas en faire mention, et les commentaires qui accompagnent sa parution - je ne l'ai pas moi-même écouté - pas davantage.
Vous l'avez pourtant écouté bien attentivement , vous, ce disque , puisque vous apostrophez " Pseudo " qui doit montrer patte blanche,et ne semble autorisé à risquer une interprétation de ce que j'ai écrit que s'il en a , comme vous, parfaite connaissance.
Ce qui me trouble alors , c'est que, au-delà de la justesse de son intervention en ce qui concerne ce que j'ai cru pouvoir appeler la "voix" du piano, il ne semble pas s'être arrêté à ce " des voix " , comme s'il lui paraissait tout naturel qu'on évoque, encore une fois littéralement comme vous semblez l'avoir fait, plusieurs voix pour une seule et même interprétation de ce " Winterreise ". Aurait-il, depuis toujours, ce " Winterreise " , été chanté à deux voix ou plus , originellement conçu ainsi ? Et n'en aurais-je - par quel étrange phénomène ? - toujours entendu qu' une seule de ces voix ? Ou advient-il que le pianiste s'y mette à chanter lui aussi , à donner naturellement de la voix, conformément aux indications du compositeur , sans que je m'en sois jamais aperçu ?
Voilà qui est bien étrange. Quelle invisible muraille aurais-je donc à franchir pour accéder à ces multiples voix que tout le monde semble entendre , et dont je voudrais, moi aussi , " tomber " d'admiration ? Car il m'est impossible de supposer que vous ayez " entendu des voix ", au sens où on le dit plaisamment de ceux qu'on soupçonne d'un peu de folie, ou encore des mystiques .
Non, c'est moi qui me trouve mis en demeure de m'expliquer, c'est donc bien vous qui êtes dans le vrai : j'en suis extrêmement confus. Et je reconnais donc que voilà une version du " Winterreise " dont les voix sont véritablement, indiscutablement, " à tomber " , quand bien même, pauvre de moi, je ne les entendrais pas : pan sur mon bec !
10 Fév 2019 à 11:05
SudPigalle a écrit:Je conseille tout de même cette version qui m'a ému
10 Fév 2019 à 12:14
bt761 » Aujourd’hui à 09:06 a écrit:un peu de bourre pif sur le Winterreise....incro'able yerk..
ce matin je voulais évoquer un disque et en même temps un compositeur ou plutôt une compositrice...
Elisabeth Jacquet de la Guerre qui composa au temps de Louis XIV puis sous le régent..
elle fut fort appréciée et reconnue par le grand roi..je pense que c'est une des (trop) rares compositrices du XVII XVIII éme
j'ai découvert cet ensemble La Réveuse et j'apprécie leurs productions chez Mirare
j'ai reçu 2 disques dont celui ci
[ Image ]
et celui ci
[ Image ]
trés beaux enregistrements interprétations impec..
sonates trios et quatuors avec viole de gambe
Telemann était plus jeune que Jacquet de la Guerre né en 1681 pour l'un et née en 1665 pour l'autre
Le choc musical fut l'écoute des sonates de notre compositrice..Une sacrée écriture avec une richesse harmonique.....Amateurs de musique baroque de viole de gambe et de musique de chambre, écoutez le :wink:
10 Fév 2019 à 13:12
SudPigalle » 09 Fév 2019, 14:23 a écrit:Tu as écouté le disque ?
10 Fév 2019 à 15:59
Mais les concertos de Blavet et Naudot que je ne connaissais pas avant de découvrir ce disque sont de belles petites perles qui méritent qu'on s'y intéresse davantage
10 Fév 2019 à 17:01
10 Fév 2019 à 21:26
micbog a écrit:il y a tant d'autres versions plus réussies !
10 Fév 2019 à 22:06