Vous écoutez quoi en classique, là?

[sax.tenor]

moi, j'ai multiplié les miroirs pour m'habituer à mon image.

Un peu de pub pour tout le monde, dont PP : https://www.ls3-5a-forum.com/viewtopic.php?f=14&t=51868

[love_leeloo]

Gaspar Claus|Tancade

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[PP_65]

Poutre non apparente ^^

[micbog]

Vous aimez Chostakovich ? Vous aimez les disques bien enregistrés ? Essayez ça :

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[sax.tenor]

Un peu de fraicheur avec cette compositrice que je ne connaissais pas jusqu'à hier.

Louise Farrenc  Symphonies Nos. 1-3, Overtures Nos. 1 & 2
Accentus - Laurence Equilbey

Particulièrement recommandé : la symphonie no 3

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Ce n'est pas une dilettante ! WIKI En 1845, les Trente études dans tous les tons majeurs et mineurs, op. 26 (publiées en 1839) sont adoptées par le Conservatoire de Paris comme méthode officielle pour les classes de piano ; ces études deviennent ainsi un ouvrage pédagogique de référence.

Et puis par exemple (je vais parcourir ses opus à mon rythme) :
Louise Farrenc – Musique De Chambre Brigitte Engerer
Ecoutez l'étude Op.26 no17 :

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citons encore : Louise Farrenc: Etudes & Variations for Solo Piano Joanne Polk

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Il existe plusieurs (au moins 3) versions en cd de nonettes, bien différenciées, des pièces pour clarinette etc Choisissez !

[sax.tenor]

Ca y est, j'ai trouvé l'intégrale des études. Brillantes, je dois dire !!
Louise Farrenc, Maria Stratigou – Complete Piano Works • 1

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[shushu]

ach...ces toiles arachnéennes....

Sax, dois-je réveiller d'urgence les statisticiens du verts (qui pioncent à donf) afin qu'ils intègrent dans leur base de donnée sur les fréquences d'écoute ?

[sax.tenor]

j'espère que cette compositrice n'était pas encore indexée dans la base de données ? Il faut élargir notre centre d'intérêt trop couramment réduit à deux ou trois compositeurs fétiches.

[shushu]

Shu-shu-shu-schubert par exemple ?
(avec l'humidité ici on a des cheveux qui poussent sur la langue, désolé).

Sinon, les compositeurs à peine sortis de l'anonymat ont un désavantage : ils sont nombreux.
Les statisticiens du verdâtres planchent actuellement sur un système de tirage au sort complètement impartial et imperturbable.

[Bébert]

Depuis 20 ans, je ne me lasse pas de l'interprétation  des trois concerto pour violon de Bach BVW 1041, 1042 et 1043 par Hillary Hahn et l'orchestre de chambre de Los Angeles. J'en ai tenté d'autres, mais à chaque fois j'y reviens. C'est nerveux quand il faut, et émouvant quand il faut. Le largo du BWV 1043 est magnifique.

Par rapport à la version Harnoncourt, ça réveille bien. J'ai tenté cet après midi le BVW1043 par Ferras et menuhin, et il n'y a décidément pas la même magie.

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[shushu]

Un peu de fraicheur avec cette compositrice que je ne connaissais pas jusqu'à hier.

Louise Farrenc  Symphonies Nos. 1-3, Overtures Nos. 1 & 2
Accentus - Laurence Equilbey
.................................................................etc.........................

Il y a aussi un petit inconvénient avec les compositeurs négligés : ils peuvent être enregistrés par des interprètes de deuxième catégorie, ce qui ne facilite pas le contact. Attention, je ne méprise pas, tant mieux s'il y a beaucoup de pianistes, d'orchestres, de chefs, d'instrumentistes et je suis systématiquement médusés par leurs compétences que mes jeunes et même moins jeunes gènes m'auraient sans doute interdit d'acquérir.
Mais la réalité est quand même là : on a sous la main des enregistrements par des artistes du premier cercle, on a l'expérience de ce que cela apporte; c'est parfois difficile de redescendre d'une ou deux marches.......
Je suis grognon parce que j'ai pas eu mon quignon pour mon 4 heures.

[peyrerouge]

Konstanze est très en colère...



https://www.opera-massy.com/documents/p ... l-2018.pdf

[sax.tenor]

Un grand BRAVO Bertrand CHAMAYOU. Vous m'avez permis d'écouter (= d'apprécier) John CAGE. Bon, le 1er morceau est très facile. Le reste... ben, je fais des efforts. Mais je loue l'approche de John CAGE.

Si la musique d'Erik Satie a traversé l'Atlantique, c'est en grande partie grâce à John Cage. En 1948, année où il écrit In a Landscape, John Cage donne au Mountain College de Caroline du Nord une série de 25 concerts dédiés à la musique d’Erik Satie ainsi que des conférences sur le compositeur. Un an plus tard, il se rend à Paris, étudie les manuscrits du natif d’Honfleurs et se passionne pour deux partitions : les Musiques d’Ameublement et les Vexations. Lire la suite sur :FRANCE MUSIQUE

CRESCENDO MAGAZINE
Bertrand Chamayou nous propose une confrontation entre deux compositeurs si proches : Erik Satie et John Cage. Deux compositeurs pour qui l’idée et le concept sont la fondation de l’acte créatif et deux compositeurs qui ont en commun d’être plus commentés que foncièrement joués ou enregistrés tels des noms des Histoires de la musique devant lesquels on s’attarde avec révérence mais sans foncièrement se plonger dans leurs musiques.  Outre le lien dans la démarche créatrice, les frontières entre les deux musiciens s’imbriquent, ainsi John Cage vouait une immense admiration à Satie au point d’en transcrire pour deux pianos son Socrate.  Pourtant, au disque cette double proposition Satie / Cage reste rare, alors qu’elle est évidente.

QOBUZ
Pour finir, c’est une anecdote qui m’a donné l’envie de réaliser cet album : l’histoire de cette gymnopédie apocryphe ayant pour titre complet All Sides of the Small Stone, for Erik Satie and (Secretly given to Jim Tenney as a Koan). *
Cette courte page écrite en hommage à Satie aurait été glissée dans une partition du compositeur expérimental James Tenney à son insu, par son mentor John Cage. Retrouvée après la mort de Tenney par sa femme Lauren Pratt alors qu’elle feuilletait des manuscrits de son défunt mari avec un ensemble de musiciens mexicains, on ne peut dire avec certitude qui en est l’auteur. Cependant Lauren Pratt affirme sans hésitation reconnaître la main de Cage et nous explique que la petite pierre est un souvenir, et que « Koan », dans ce cas, est une énigme ou un mystère ou encore une contradiction.

* KOAN

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[jeanpascalg]

Konstanze est très en colère...

[ Vidéo ]

https://www.opera-massy.com/documents/p ... l-2018.pdf

Pas trop mal la voix mais pour l'orchestre.

Le même air :

[sax.tenor]

Depuis 20 ans, je ne me lasse pas de l'interprétation  des trois concerto pour violon de Bach BVW 1041, 1042 et 1043 par Hillary Hahn et l'orchestre de chambre de Los Angeles. J'en ai tenté d'autres, mais à chaque fois j'y reviens. C'est nerveux quand il faut, et émouvant quand il faut. Le largo du BWV 1043 est magnifique.

Par rapport à la version Harnoncourt, ça réveille bien. J'ai tenté cet après midi le BVW1043 par Ferras et menuhin, et il n'y a décidément pas la même magie.



[ Image ]

Je vais écouter cela. Perso., j'ai retenu la version de Carmignola, Concerto Köln que j'apprécie dans différentes œuvres, Y COMPRIS dans les 4 saisons qui ne sont pas ennuyeuses sous son archet.

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[Bébert]

Merci, je ne connais pas.

Pour les 4 saisons un peu dynamique, j'en suis resté à Fabio Bondi.

Mais pour l'instant je suis dans une période Bach. Ce soir c'était les sonates et partita pour violon seul, par Milstein et/ou Szering, je n'ai pas plus récent.

[Jubilator]

Il y a beaucoup de grandes dames du violon qui se sont attaquées à ce monument : Hilary Hahn (simplement la moitié du corpus, chez Sony, mais c'est un disque extraordinaire qui a fait beaucoup pour sa notoriété. J'avais eu la chance d'assister à un concert au Festival de Verbier en 1999 – où je m'étais fait embaucher comme videur  . Il y avait bien sûr l'attrait de la virtuosité de celle qui était alors une jeune prodige, et c'est effectivement une version "jeune", dynamique, mais il y a déjà une grande sûreté du geste. J'étais ressorti de ce concert vraiment ébloui, et le disque garde quelque chose de cette impression) ; Julia Fischer, chez Pentatone, là aussi une version de très haut niveau, un peu dans le même esprit, avec peut-être moins de fraîcheur et un peu plus de maturité chez cette artiste aussi très jeune : Hilary Hahn, c'est l'évidence radicale du geste, un son d'une très grande beauté, que je qualifierais volontiers de "lumineuse", Julia Fischer plutôt une maîtrise qui semble davantage calculée, mais très impressionnante aussi. Déception en revanche avec Amandine Beyer, chez Zig-Zag : l'impression qu'elle cherche à toute force à innover pour chaque trait mélodique, d'où une impression désagréable d'artificialité, accentuée par une prise de son proche et grossissante. Isabelle Faust a gravé une version saluée par la critique (Harmonia Mundi), mais je ne la connais pas (j'ai juste écouté quelques extraits, qui m'ont bien plu).

Sinon, la lecture extraordinaire de Sigiswald Kuijken (Deutsche Harmonia Mundi), d'une sensibilité prodigieuse mais desservie par un violon assez râpeux un peu fatigant à l'écoute (il paraît que c'est moins sensible en vinyle). Mais à petite dose, quel régal !!! C'est ma référence personnelle : en l'écoutant, j'ai l'impression d'être au cœur de la partition, de la "fabrique" de l'œuvre. Le grain particulier de violon y contribue sans doute largement, on a vraiment l'impression d'accompagner la construction de la lecture. C'est une réussite totale, de bout en bout.
Sinon, grand souvenir de la rarissime (et du coup très chère ) version en vinyle de Patrick Bismuth, chez Stil, écoutée à plusieurs reprises chez notre regretté Jean-Pierre. Quelle présence, sur les Klipshorns ! Et une lecture de bon goût, qui n'en fait jamais trop, constamment juste dans ses choix.
Enfin, un peu en marge car c'est une lecture assez particulière, j'ai risqué l'achat de la version de Fabio Biondi : on connaît son tempérament, il ne résiste pas à quelques fioritures, c'est clairement un Bach "méditerranéen", assez joueur, mais qui ne tombe pas dans une facilité excessive, et c'est précisément ce qui m'a beaucoup intéressé : car c'est aussi la version d'un violoniste dans sa maturité, nettement assagi par rapport à certaines exubérance de sa jeunesse. Sans doute pas "LA" version de l'île déserte, incontestable, mais une lecture très personnelle que je trouve passionnante, justement par cette place de l'ornementation, présente mais jamais gratuite. Pas du tout l'évidence lumineuse d'Hilary Hahn ou de Julia Fischer. Mais quelque chose de la profondeur de la lecture de Kuijken, avec un côté moins "nordique" ou rigoureux. Ce n'est pas non plus une version à écouter distraitement, car elle ne se livre pas immédiatement.

Voilà, en quelques mots forcément un peu trop métaphoriques , le résumé de mon expérience de ces œuvres.

[Nicodimdom]

Il y a beaucoup de grandes dames du violon qui se sont attaquées à ce monument

Tu as oublié la grande Viktoria.

[Pseudo]

Personne ne parle de Christian Tetzlaff?

Techniquement le meilleur, probablement, même s'il ne faut pas oublier  Milstein, rayonnant, et Kuijken, merveilleusement inventif (je crois que je préfère sa première lecture à la seconde).

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[love_leeloo]

Paavo Järvi|Arvo Pärt: Credo

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